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Kaléidoscope, 1. Images et idées / Tristan Garcia
Titre de série : Kaléidoscope, 1 Titre : Images et idées Type de document : texte imprimé Auteurs : Tristan Garcia (1981-....), Auteur Editeur : Paris : Léo Scheer Collection : Kaléidoscope num. 1 Importance : 1 vol. (401 p.) Présentation : ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7561-1266-4 Prix : 22 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Cet ouvrage est le premier d'une série de recueils, sous le titre Kaléidoscope. Il rassemble seize textes, hétéroclites en apparence, par leur style et par leurs objets, qui expriment pourtant une même vision du monde et de l'époque : il y est question de philosophie, de politique, de foi, de sciences et d'arts, de sons, de textes et d'images, de culture populaire et savante, de réalité et de fiction, du beau et du laid, du faux et du vrai, de l'espace et du temps, d'animaux humains et non humains, de genres, de races, de classes et de générations... L'important étant de les considérer tous sans hiérarchie, mais avec distinction. Les textes se répondent et s'enchaînent, afin de construire une manière de vivre et de penser, mais ne sont pas régis par un ordre général. Ainsi, le volume peut s'ouvrir au hasard, sans risquer de perdre le sens de l'ensemble. Kaléidoscope II paraîtra en octobre 2019. Kaléidoscope, 1. Images et idées [texte imprimé] / Tristan Garcia (1981-....), Auteur . - Paris : Léo Scheer, [s.d.] . - 1 vol. (401 p.) : ill. ; 23 cm. - (Kaléidoscope; 1) .
ISBN : 978-2-7561-1266-4 : 22 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Cet ouvrage est le premier d'une série de recueils, sous le titre Kaléidoscope. Il rassemble seize textes, hétéroclites en apparence, par leur style et par leurs objets, qui expriment pourtant une même vision du monde et de l'époque : il y est question de philosophie, de politique, de foi, de sciences et d'arts, de sons, de textes et d'images, de culture populaire et savante, de réalité et de fiction, du beau et du laid, du faux et du vrai, de l'espace et du temps, d'animaux humains et non humains, de genres, de races, de classes et de générations... L'important étant de les considérer tous sans hiérarchie, mais avec distinction. Les textes se répondent et s'enchaînent, afin de construire une manière de vivre et de penser, mais ne sont pas régis par un ordre général. Ainsi, le volume peut s'ouvrir au hasard, sans risquer de perdre le sens de l'ensemble. Kaléidoscope II paraîtra en octobre 2019. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11313 PHI GAR Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Mécréance et discrédit. Mécréance et discrédit / Bernard Stiegler
Titre de série : Mécréance et discrédit Titre : Mécréance et discrédit : 1; la décadence des démocraties industrielles Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Stiegler (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : impr. 2005, cop. Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 1 vol. (214 p.) Format : 24 cm Accompagnement : avec le concours du CNL ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0660-6 Mots-clés : épokhè modes de vie crétinisation existence misère symbolique prolétarisation généralisée Index. décimale : ESS Essais Résumé : L'évolution du système techno-scientifique mondial forme la base du devenir des sociétés humaines et constitue une individuation au sens défini par Simondon.
Mais le devenir en quoi consiste cette individuation n'est possible qu'à la condition de se transformer en avenir par son insertion dans le processus d'une individuation psychique et collective. C'est ce que j'ai développé dans La technique et le temps. Après la publication de Aimer, s'aimer, nous aimer. Du 11 septembre au 21 avril, il m'a parfois été dit que le ton de mes ouvrages était devenu " pessimiste ", et que j'avais, en fin de compte, modifié ma compréhension de la question de la technique et de la technologie.
Or, j'ai toujours écrit que le devenir du système technique nécessitait, pour devenir l'avenir de la société où il se produit, un double redoublement épokhal, c'est-à-dire une double interruption du cours ordinaire des choses : dans ce processus complexe qu'est l'individuation psycho-sociale, une mutation technique suspendant un état de fait dominant - ce qui est la première épokhè, la première suspension de l'ordre établi -, il faut que la société opère une seconde suspension pour que se constitue une époque à proprement parler, ce qui signifie : pour que s'élabore une pensée nouvelle se traduisant dans de nouveaux modes de vie, et, autrement dit, que s'affirme une volonté nouvelle d'avenir, établissant un nouvel ordre - une civilisation, une civilité réinventées.
Dans le présent ouvrage, il s'agit d'examiner ce qui empêche que s'accomplisse ce double redoublement comme invention de nouveaux modes de vie. Cet empêchement induit une décadence des démocraties industrielles. L'hypothèse générale est que le modèle industriel mis en œuvre depuis le début du XXe siècle, et qui repose sur la partition production/consommation, est devenu totalement caduc, et conduit dans une impasse le capitalisme et les démocraties où il se développe.
Un signe de cette impasse et de la déchéance qui s'y produit est la crétinisation des consommateurs délibérément organisée par les chaînes de télévision. Une pensée n'a de sens que si elle a la force d'ouvrir à neuf l'indétermination d'un avenir. Mais cet avenir ne peut donner de nouveaux modes de vie que si ces vies constituent de nouveaux modes d'existences : la vie humaine est une existence. Or, la situation présente est caractérisée par le fait que cela ne se produit pas, et qu'à la création nécessaire de ces nouveaux modes d'existence s'est substitué un processus adaptatif de survie d'où disparaissent les possibilités mêmes d'exister, rabattues sur de simples modalités de la subsistance - où l'on vend " du temps de cerveau humain ".
C'est ce que j'ai appelé la misère symbolique, que j'analyse ici comme prolétarisation généralisée. L'homme peut sans doute subsister sans exister. Je crois cependant que cette subsistance n'est pas durable : elle devient rapidement psychiquement et socialement insupportable, parce qu'elle conduit inexorablement à la liquidation du narcissisme primordial. Et cette liquidation conduit elle-même à celle de la loi.
C'est-à-dire de ce qui constitue la condition d'un démos : la différence du fait et du droit. Le modèle industriel caduc liquide ainsi le politique, et il fait de la démocratie une farce dont ne peuvent surgir que mécréante et discrédit.Mécréance et discrédit. Mécréance et discrédit : 1; la décadence des démocraties industrielles [texte imprimé] / Bernard Stiegler (1952-....), Auteur . - Paris : Galilée, impr. 2005, cop. . - 1 vol. (214 p.) ; 24 cm + avec le concours du CNL. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0660-6
Mots-clés : épokhè modes de vie crétinisation existence misère symbolique prolétarisation généralisée Index. décimale : ESS Essais Résumé : L'évolution du système techno-scientifique mondial forme la base du devenir des sociétés humaines et constitue une individuation au sens défini par Simondon.
Mais le devenir en quoi consiste cette individuation n'est possible qu'à la condition de se transformer en avenir par son insertion dans le processus d'une individuation psychique et collective. C'est ce que j'ai développé dans La technique et le temps. Après la publication de Aimer, s'aimer, nous aimer. Du 11 septembre au 21 avril, il m'a parfois été dit que le ton de mes ouvrages était devenu " pessimiste ", et que j'avais, en fin de compte, modifié ma compréhension de la question de la technique et de la technologie.
Or, j'ai toujours écrit que le devenir du système technique nécessitait, pour devenir l'avenir de la société où il se produit, un double redoublement épokhal, c'est-à-dire une double interruption du cours ordinaire des choses : dans ce processus complexe qu'est l'individuation psycho-sociale, une mutation technique suspendant un état de fait dominant - ce qui est la première épokhè, la première suspension de l'ordre établi -, il faut que la société opère une seconde suspension pour que se constitue une époque à proprement parler, ce qui signifie : pour que s'élabore une pensée nouvelle se traduisant dans de nouveaux modes de vie, et, autrement dit, que s'affirme une volonté nouvelle d'avenir, établissant un nouvel ordre - une civilisation, une civilité réinventées.
Dans le présent ouvrage, il s'agit d'examiner ce qui empêche que s'accomplisse ce double redoublement comme invention de nouveaux modes de vie. Cet empêchement induit une décadence des démocraties industrielles. L'hypothèse générale est que le modèle industriel mis en œuvre depuis le début du XXe siècle, et qui repose sur la partition production/consommation, est devenu totalement caduc, et conduit dans une impasse le capitalisme et les démocraties où il se développe.
Un signe de cette impasse et de la déchéance qui s'y produit est la crétinisation des consommateurs délibérément organisée par les chaînes de télévision. Une pensée n'a de sens que si elle a la force d'ouvrir à neuf l'indétermination d'un avenir. Mais cet avenir ne peut donner de nouveaux modes de vie que si ces vies constituent de nouveaux modes d'existences : la vie humaine est une existence. Or, la situation présente est caractérisée par le fait que cela ne se produit pas, et qu'à la création nécessaire de ces nouveaux modes d'existence s'est substitué un processus adaptatif de survie d'où disparaissent les possibilités mêmes d'exister, rabattues sur de simples modalités de la subsistance - où l'on vend " du temps de cerveau humain ".
C'est ce que j'ai appelé la misère symbolique, que j'analyse ici comme prolétarisation généralisée. L'homme peut sans doute subsister sans exister. Je crois cependant que cette subsistance n'est pas durable : elle devient rapidement psychiquement et socialement insupportable, parce qu'elle conduit inexorablement à la liquidation du narcissisme primordial. Et cette liquidation conduit elle-même à celle de la loi.
C'est-à-dire de ce qui constitue la condition d'un démos : la différence du fait et du droit. Le modèle industriel caduc liquide ainsi le politique, et il fait de la démocratie une farce dont ne peuvent surgir que mécréante et discrédit.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00410 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Mécréance et discrédit, 2. Mécréance et discrédit / Bernard Stiegler
Titre de série : Mécréance et discrédit, 2 Titre : Mécréance et discrédit : 2. Les sociétés incontrôlables d'individus désaffectés Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Stiegler (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : impr. 2006 Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 1 vol. (178 p.) Format : 24 cm Accompagnement : avec le concours du CNL ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0706-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : désespérance "desperados" autorité mécanisme de répression Index. décimale : ESS Essais Résumé : Dans son analyse de l'esprit du capitalisme, Max Weber posait en principe que celui-ci ne se développerait que comme désenchantement et rationalisation de la , société - cette rationalisation étant alors entendue au sens de l'application du calcul à toutes les activités humaines. Le capitalisme est aujourd'hui devenu planétaire, et il semble bien que le processus que décrivait Weber est arrivé à son terme.
Or, comme résultat de la rationalisation, ce terme paraît condamné à s'effondrer dans l'irrationnel le plus inquiétant. Il engendre une misère spirituelle (une paralysie des fonctions de l'esprit humain) d'où a disparu la raison comme motif d'espérer: comme " règne des fins ", selon l'expression de Kant. Comme disparition de tout horizon d'attente - de toute croyance, religieuse, politique, ou libidinale, quelle soit amoureuse, filiale ou sociale, constituant le tissu des solidarités sans lesquelles aucune société n'est possible, ce qu'Aristote nommait la philia-, le désenchantement absolu frappe en particulier ceux qui pensent ne plus rien avoir à attendre du développement des sociétés hyperindustrielles.
Ces désespérés sont des " desperados ", et ils seront de plus en plus nombreux. Or, n'avoir plus rien à attendre signifie tout aussi bien n'avoir plus rien à craindre, ce qui est également le sens de l'elpis grecque: attente qui est porteuse à la fois de l'espoir et de la crainte. Dans le désespoir, il n'y a plus de crainte - et les mécanismes de répression, qui prolifèrent pour tenter de colmater les effets de la perte d'autorité qu'est aussi la perte d'esprit, sont de moins en moins efficaces.
Car finalement, ils engendrent de plus en plus le contraire de ce pour quoi ils sont faits - et sous des formes extrêmes, et totalement irrationnelles, c'est-à-dire imprévisibles. C'est ce qui advient en ce moment, et c'est une très mauvaise nouvelle : l'hyperpuissance du système technique de l'époque hyperindustrielle ne peut demeurer puissante que pour autant qu'y règne une confiance ordinaire que l'irrationalité destructrice engendrée par la liquidation du règne des fins ne peut que ruiner.
La confiance est le préalable du fonctionnement de l'hyperpuissance: dès lors que celle-ci est perdue, l'hyperpuissance se renverse en hypervulnérabilité et en impuissance. La perte des motifs d'espérer se répand alors à tous comme une maladie contagieuse. Ce tous n'est plus un nous : c'est une panique.Mécréance et discrédit, 2. Mécréance et discrédit : 2. Les sociétés incontrôlables d'individus désaffectés [texte imprimé] / Bernard Stiegler (1952-....), Auteur . - Paris : Galilée, impr. 2006 . - 1 vol. (178 p.) ; 24 cm + avec le concours du CNL. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0706-8
Langues : Français (fre)
Mots-clés : désespérance "desperados" autorité mécanisme de répression Index. décimale : ESS Essais Résumé : Dans son analyse de l'esprit du capitalisme, Max Weber posait en principe que celui-ci ne se développerait que comme désenchantement et rationalisation de la , société - cette rationalisation étant alors entendue au sens de l'application du calcul à toutes les activités humaines. Le capitalisme est aujourd'hui devenu planétaire, et il semble bien que le processus que décrivait Weber est arrivé à son terme.
Or, comme résultat de la rationalisation, ce terme paraît condamné à s'effondrer dans l'irrationnel le plus inquiétant. Il engendre une misère spirituelle (une paralysie des fonctions de l'esprit humain) d'où a disparu la raison comme motif d'espérer: comme " règne des fins ", selon l'expression de Kant. Comme disparition de tout horizon d'attente - de toute croyance, religieuse, politique, ou libidinale, quelle soit amoureuse, filiale ou sociale, constituant le tissu des solidarités sans lesquelles aucune société n'est possible, ce qu'Aristote nommait la philia-, le désenchantement absolu frappe en particulier ceux qui pensent ne plus rien avoir à attendre du développement des sociétés hyperindustrielles.
Ces désespérés sont des " desperados ", et ils seront de plus en plus nombreux. Or, n'avoir plus rien à attendre signifie tout aussi bien n'avoir plus rien à craindre, ce qui est également le sens de l'elpis grecque: attente qui est porteuse à la fois de l'espoir et de la crainte. Dans le désespoir, il n'y a plus de crainte - et les mécanismes de répression, qui prolifèrent pour tenter de colmater les effets de la perte d'autorité qu'est aussi la perte d'esprit, sont de moins en moins efficaces.
Car finalement, ils engendrent de plus en plus le contraire de ce pour quoi ils sont faits - et sous des formes extrêmes, et totalement irrationnelles, c'est-à-dire imprévisibles. C'est ce qui advient en ce moment, et c'est une très mauvaise nouvelle : l'hyperpuissance du système technique de l'époque hyperindustrielle ne peut demeurer puissante que pour autant qu'y règne une confiance ordinaire que l'irrationalité destructrice engendrée par la liquidation du règne des fins ne peut que ruiner.
La confiance est le préalable du fonctionnement de l'hyperpuissance: dès lors que celle-ci est perdue, l'hyperpuissance se renverse en hypervulnérabilité et en impuissance. La perte des motifs d'espérer se répand alors à tous comme une maladie contagieuse. Ce tous n'est plus un nous : c'est une panique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00411 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible La méthode, 1. La Nature de la nature / Edgar Morin
Titre de série : La méthode, 1 Titre : La Nature de la nature Type de document : texte imprimé Auteurs : Edgar Morin, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 1977 Collection : La Méthode num. 1 Importance : 398 p. Présentation : Couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-004634-2 Note générale : Bibliogr. p. 391-398 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Nous sommes à la recherche d'une connaissance qui traduise la complexité de ce qu'on appelle le réel, respecte l'existence des êtres et le mystère des choses, et comporte le principe de sa propre connaissance.
Il nous faut une connaissance dont l'explication ne soit pas mutilation et dont l'action ne soit pas manipulation. Aujourd'hui où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus irrationnel se tapit sous le couvert de la raison, il importe de poser fondamentalement le problème d'une nouvelle méthode.
Le propos de ce premier volume est d'articuler la science de l'homme à la science de la nature. Dans ce sens, il est nécessaire d'abandonner le principe d'explication qui ne retient que l'ordre des phénomènes (lois, déterminismes, régularités, moyennes) et laisse dans l'ombre le désordre (l'irrégulier, le déviant, l'incertain, l'indéterminé, l'aléatoire), ainsi que l'organisation, qui est pourtant la réalité la plus remarquable de notre univers, puisqu'elle caractérise à la fois l'atome, l'étoile, l'être vivant, la société.
Il est proposé ici une conception complexe de la relation ordre/désordre/organisation et - à partir d'une intégration critique de la théorie des systèmes et de la cybernétique - une théorie de l'organisation. Dès lors, nous pouvons voir que notre déviance à l'égard de la nature est animée par la Nature de la Nature. Mais le problème de la connaissance de la nature ne saurait être dissocié du problème de la nature de la connaissance.
La connaissance de l'objet le plus physique ne saurait être dissociée d'un sujet connaissant enraciné dans une culture, une société, une histoire. Il est aussi nécessaire de considérer toute connaissance physique dans son enracinement anthropo-social que de considérer toute réalité sociale dans son enracinement physique. Dès lors peut s'ébaucher la méthode de la complexité.La méthode, 1. La Nature de la nature [texte imprimé] / Edgar Morin, Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 1977 . - 398 p. : Couv. ill. ; 24 cm. - (La Méthode; 1) .
ISBN : 2-02-004634-2
Bibliogr. p. 391-398
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Nous sommes à la recherche d'une connaissance qui traduise la complexité de ce qu'on appelle le réel, respecte l'existence des êtres et le mystère des choses, et comporte le principe de sa propre connaissance.
Il nous faut une connaissance dont l'explication ne soit pas mutilation et dont l'action ne soit pas manipulation. Aujourd'hui où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus irrationnel se tapit sous le couvert de la raison, il importe de poser fondamentalement le problème d'une nouvelle méthode.
Le propos de ce premier volume est d'articuler la science de l'homme à la science de la nature. Dans ce sens, il est nécessaire d'abandonner le principe d'explication qui ne retient que l'ordre des phénomènes (lois, déterminismes, régularités, moyennes) et laisse dans l'ombre le désordre (l'irrégulier, le déviant, l'incertain, l'indéterminé, l'aléatoire), ainsi que l'organisation, qui est pourtant la réalité la plus remarquable de notre univers, puisqu'elle caractérise à la fois l'atome, l'étoile, l'être vivant, la société.
Il est proposé ici une conception complexe de la relation ordre/désordre/organisation et - à partir d'une intégration critique de la théorie des systèmes et de la cybernétique - une théorie de l'organisation. Dès lors, nous pouvons voir que notre déviance à l'égard de la nature est animée par la Nature de la Nature. Mais le problème de la connaissance de la nature ne saurait être dissocié du problème de la nature de la connaissance.
La connaissance de l'objet le plus physique ne saurait être dissociée d'un sujet connaissant enraciné dans une culture, une société, une histoire. Il est aussi nécessaire de considérer toute connaissance physique dans son enracinement anthropo-social que de considérer toute réalité sociale dans son enracinement physique. Dès lors peut s'ébaucher la méthode de la complexité.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00953 PHI MOR Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible La méthode, 2. La Vie de la Vie / Edgar Morin
Titre de série : La méthode, 2 Titre : La Vie de la Vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Edgar Morin, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 1980 Collection : La Méthode num. 1 Importance : 1 vol. (471 p.) Présentation : Couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-005637-3 Prix : 39.60 EUR Note générale : Bibliogr. p.461-472 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La « révolution biologique ouverte par la découverte de l’ADN n’est pas encore devenue la révolution conceptuelle qui, éclairant ses propres découvertes, permette d’élucider l’autonomie et la dépendance de l’organisation vivante par rapport à son environnement, l’autonomie et la dépendance mutuelle entre l’individu et l’espèce, et, pour un très grand nombre d’animaux, la société.D’où un problème capital de la MÉTHODE. Il est d’autant plus nécessaire de penser la vie que la biologie concerne non seulement la connaissance de nous-mêmes, mais aussi, de plus en plus, le destin de nos vies. Elle a ouvert l’ère des manipulations génétiques et cérébrales, l’ère de la biologisation et de l’industrialisation de la vie. Faut-il que, là encore, nous soyons incapables de contrôler elle-même et que contrôlent désormais les moins contrôlés des contrôleurs, les puissances économiques vouées au profit ? E. M. La méthode, 2. La Vie de la Vie [texte imprimé] / Edgar Morin, Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 1980 . - 1 vol. (471 p.) : Couv. ill. ; 24 cm. - (La Méthode; 1) .
ISBN : 978-2-02-005637-3 : 39.60 EUR
Bibliogr. p.461-472
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La « révolution biologique ouverte par la découverte de l’ADN n’est pas encore devenue la révolution conceptuelle qui, éclairant ses propres découvertes, permette d’élucider l’autonomie et la dépendance de l’organisation vivante par rapport à son environnement, l’autonomie et la dépendance mutuelle entre l’individu et l’espèce, et, pour un très grand nombre d’animaux, la société.D’où un problème capital de la MÉTHODE. Il est d’autant plus nécessaire de penser la vie que la biologie concerne non seulement la connaissance de nous-mêmes, mais aussi, de plus en plus, le destin de nos vies. Elle a ouvert l’ère des manipulations génétiques et cérébrales, l’ère de la biologisation et de l’industrialisation de la vie. Faut-il que, là encore, nous soyons incapables de contrôler elle-même et que contrôlent désormais les moins contrôlés des contrôleurs, les puissances économiques vouées au profit ? E. M. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00954 PHI MOR Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le mythe de la machine, 1. La Technologie et le développement / Lewis Mumford
Titre de série : Le mythe de la machine, 1 Titre : La Technologie et le développement Type de document : texte imprimé Auteurs : Lewis Mumford Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 1973 Collection : Le Phénomène scientifique Importance : 643 p Présentation : ill Format : 21 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Ce premier volume établit les fondements religieux et magiques de la technologie ancienne et moderne, traite également des aspects irrationnels de la science et de la technologie et remonte jusqu'à leur manifestations premières, en Egypte et en Mésopotamie. Le mythe de la machine, 1. La Technologie et le développement [texte imprimé] / Lewis Mumford . - Paris : Fayard, 1973 . - 643 p : ill ; 21 cm. - (Le Phénomène scientifique) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Ce premier volume établit les fondements religieux et magiques de la technologie ancienne et moderne, traite également des aspects irrationnels de la science et de la technologie et remonte jusqu'à leur manifestations premières, en Egypte et en Mésopotamie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00956 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le mythe de la machine, 2. Le Pentagone de la puissance / Lewis Mumford
Titre de série : Le mythe de la machine, 2 Titre : Le Pentagone de la puissance Type de document : texte imprimé Auteurs : Lewis Mumford, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : impr. 1974 Collection : Le Phénomène scientifique num. 6 Importance : 1 vol. (II-643-[32 p. de pl.]) Présentation : ill. Format : 23 cm. ISBN/ISSN/EAN : 2-213-00049-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : ESS Essais Résumé : ce deuxième volume s'ouvre sur l'âge de l'exploration terrestre et de la découverte scientifique et retrace la formation du nouveau pentagone de la puissance: absolutisme politique, puissance (énergie), productivité, profit pécuniaire et publicité. Le mythe de la machine, 2. Le Pentagone de la puissance [texte imprimé] / Lewis Mumford, Auteur . - Paris : Fayard, impr. 1974 . - 1 vol. (II-643-[32 p. de pl.]) : ill. ; 23 cm.. - (Le Phénomène scientifique; 6) .
ISBN : 2-213-00049-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : ce deuxième volume s'ouvre sur l'âge de l'exploration terrestre et de la découverte scientifique et retrace la formation du nouveau pentagone de la puissance: absolutisme politique, puissance (énergie), productivité, profit pécuniaire et publicité. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00957 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Oeuvres, 1. Oeuvres I / Walter Benjamin
Titre de série : Oeuvres, 1 Titre : Oeuvres I Type de document : texte imprimé Auteurs : Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Collection : Collection Folio Sous-collection : Essais num. 372 Importance : 1 vol. (400 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-040666-0 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Walter Benjamin (1892-1940), l'un des rares penseurs contemporains qui comptent dans le monde international de la pensée, échappe aux querelles d'écoles, survit aux modes, passe pour une référence obligée.
Cette résistance au temps tient à la fois aux qualités littéraires de ses écrits, à sa biographie exceptionnelle - tragiquement représentative du destin de l'intelligentsia judéo-allemande au XXe siècle - et à un sens aigu des enjeux théoriques de l'époque. Ces trois volumes d'Œuvres, soit devenues inaccessibles au public français depuis presque vingt ans, soit, pour un tiers d'entre elles, tout à fait inédites, ont pour ambition de débarrasser Benjamin des mythes qui l'entourent, de le donner à lire, de le faire entendre.Oeuvres, 1. Oeuvres I [texte imprimé] / Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur . - Paris : Gallimard, 2000 . - 1 vol. (400 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Collection Folio. Essais; 372) .
ISBN : 2-07-040666-0
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Walter Benjamin (1892-1940), l'un des rares penseurs contemporains qui comptent dans le monde international de la pensée, échappe aux querelles d'écoles, survit aux modes, passe pour une référence obligée.
Cette résistance au temps tient à la fois aux qualités littéraires de ses écrits, à sa biographie exceptionnelle - tragiquement représentative du destin de l'intelligentsia judéo-allemande au XXe siècle - et à un sens aigu des enjeux théoriques de l'époque. Ces trois volumes d'Œuvres, soit devenues inaccessibles au public français depuis presque vingt ans, soit, pour un tiers d'entre elles, tout à fait inédites, ont pour ambition de débarrasser Benjamin des mythes qui l'entourent, de le donner à lire, de le faire entendre.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10042 ESS BEN Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Oeuvres, 2. Oeuvres II / Walter Benjamin
Titre de série : Oeuvres, 2 Titre : Oeuvres II Type de document : texte imprimé Auteurs : Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Collection : Folio Sous-collection : Essais num. 373 Importance : 1 vol. (459 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-040667-9 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Y a-t-il une unité de la pensée de Walter Benjamin Il écrivit un jour : " Ma pensée se rapporte à la théologie comme le buvard à l'encre : elle en est totalement imbibée.
Mais s'il ne tenait qu'au buvard, il ne resterait rien de ce qui est écrit. " De fait, saisir l'unité de la pensée de Benjamin n'est pas chose aisée ; son identité même semble parfois échapper et se réduire à un style. Si nombre ont pu s'approprier des visages différents de cet auteur - privilégiant qui l'approche théologique, qui l'approche matérialiste, qui l'approche esthétique, esquissant qui un Benjamin baroque, qui un défenseur des avant-gardes surréaliste ou brechtienne, qui un moderne proche de Baudelaire ou bien encore un penseur du génocide à venir -, c'est du fait de la prodigieuse diversité des écrits, approches et curiosités de l'auteur, de la particularité de sa critique esthétique visant à restituer à chaque fois la singularité irréductible d'une " façon de voir le monde ". Le choix de ces Œuvres, parcours au sein d'une production qui va du texte de circonstance, gagne-pain journalistique, au texte spéculatif trouvant sa place légitime au Panthéon de la philosophie du XXe siècle, veut répondre à une seule attente : qu'enfin Benjamin soit rendu d lui-même.Oeuvres, 2. Oeuvres II [texte imprimé] / Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur . - Paris : Gallimard, 2000 . - 1 vol. (459 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Folio. Essais; 373) .
ISBN : 2-07-040667-9
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Y a-t-il une unité de la pensée de Walter Benjamin Il écrivit un jour : " Ma pensée se rapporte à la théologie comme le buvard à l'encre : elle en est totalement imbibée.
Mais s'il ne tenait qu'au buvard, il ne resterait rien de ce qui est écrit. " De fait, saisir l'unité de la pensée de Benjamin n'est pas chose aisée ; son identité même semble parfois échapper et se réduire à un style. Si nombre ont pu s'approprier des visages différents de cet auteur - privilégiant qui l'approche théologique, qui l'approche matérialiste, qui l'approche esthétique, esquissant qui un Benjamin baroque, qui un défenseur des avant-gardes surréaliste ou brechtienne, qui un moderne proche de Baudelaire ou bien encore un penseur du génocide à venir -, c'est du fait de la prodigieuse diversité des écrits, approches et curiosités de l'auteur, de la particularité de sa critique esthétique visant à restituer à chaque fois la singularité irréductible d'une " façon de voir le monde ". Le choix de ces Œuvres, parcours au sein d'une production qui va du texte de circonstance, gagne-pain journalistique, au texte spéculatif trouvant sa place légitime au Panthéon de la philosophie du XXe siècle, veut répondre à une seule attente : qu'enfin Benjamin soit rendu d lui-même.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00783 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Oeuvres, 3. Oeuvres III / Walter Benjamin
Titre de série : Oeuvres, 3 Titre : Oeuvres III Type de document : texte imprimé Auteurs : Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Collection : Folio Sous-collection : Essais num. 374 Importance : 1 vol. (482 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-040668-7 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Trois grands thèmes irriguent l'œuvre de Walter Benjamin, s'entraînent, se recoupent, se recouvrent, sinon au fil des ans se contredisent : une philosophie du langage, d'abord, une philosophie de l'art, une philosophie de l'histoire.
Trois préoccupations qui définissent le rapport de Benjamin à la tradition, son souci de restituer ce que cette dernière a refoulé, parfois éradiqué. Quel que soit le domaine auquel il s'arrête, il entend toujours dénoncer l'illusion de la continuité, l'oubli des ruptures décisives, des interruptions libératrices. Restituer la vision des " vaincus ", des défaits de la tradition, est à ses yeux vital pour le destin de la liberté. Le parti ici pris de rassembler des œuvres de Walter Benjamin dans leur strict ordre chronologique, sans regroupement thématique ni périodique, vise à faire apparaître les avancées comme les impasses d'une œuvre sans égal, parce qu'inclassable.Oeuvres, 3. Oeuvres III [texte imprimé] / Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur . - Paris : Gallimard, 2000 . - 1 vol. (482 p.) ; 18 cm. - (Folio. Essais; 374) .
ISBN : 2-07-040668-7
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Trois grands thèmes irriguent l'œuvre de Walter Benjamin, s'entraînent, se recoupent, se recouvrent, sinon au fil des ans se contredisent : une philosophie du langage, d'abord, une philosophie de l'art, une philosophie de l'histoire.
Trois préoccupations qui définissent le rapport de Benjamin à la tradition, son souci de restituer ce que cette dernière a refoulé, parfois éradiqué. Quel que soit le domaine auquel il s'arrête, il entend toujours dénoncer l'illusion de la continuité, l'oubli des ruptures décisives, des interruptions libératrices. Restituer la vision des " vaincus ", des défaits de la tradition, est à ses yeux vital pour le destin de la liberté. Le parti ici pris de rassembler des œuvres de Walter Benjamin dans leur strict ordre chronologique, sans regroupement thématique ni périodique, vise à faire apparaître les avancées comme les impasses d'une œuvre sans égal, parce qu'inclassable.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00784 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Oeuvres philosophiques, 3. L'art comme expérience / John Dewey
Titre de série : Oeuvres philosophiques, 3 Titre : L'art comme expérience Autre titre : Avec une postface "John Dewey et les arts plastiques" Type de document : texte imprimé Auteurs : John Dewey, Auteur ; Jean-Pierre Cometti, Traducteur ; Richard Shusterman (1949-....), Préfacier, etc. Editeur : [Pau] : Publ. de l'Université de Pau Année de publication : impr. 2005 Collection : Oeuvres philosophiques num. 3 Importance : 1 vol. (417 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-84490-174-3 Note générale : Issu d'une série de conférences prononcées à Havard en 1931 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Issu d'une série de conférences que Dewey donna en 1931 à Harvard, L'art comme expérience propose une vision de l'art adaptée aux sociétés démocratiques et débarrassée des mythes qui en obscurcissent la signification et les potentialités.
Ce livre, qui s'attaque aux présupposés majeurs auxquels nos conceptions restent encore largement subordonnées, est à la source de préoccupations et d'orientations dont l'art américain s'est amplement nourri depuis plus d'un demi-siècle. L'intérêt tardif qu'il a commencé à susciter dans le contexte français exigeait qu'une traduction en fût enfin proposée. Il répond à une double attente, celle des philosophes qui s'intéressent à l'art vivant et celles des artistes ou des critiques qui s'attachent à ressaisir leur pratique à la lumière des actions et des formes d'expérience qui en sont réellement constitutives.Oeuvres philosophiques, 3. L'art comme expérience ; Avec une postface "John Dewey et les arts plastiques" [texte imprimé] / John Dewey, Auteur ; Jean-Pierre Cometti, Traducteur ; Richard Shusterman (1949-....), Préfacier, etc. . - [Pau] : Publ. de l'Université de Pau, impr. 2005 . - 1 vol. (417 p.) ; 21 cm. - (Oeuvres philosophiques; 3) .
ISBN : 2-84490-174-3
Issu d'une série de conférences prononcées à Havard en 1931
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Issu d'une série de conférences que Dewey donna en 1931 à Harvard, L'art comme expérience propose une vision de l'art adaptée aux sociétés démocratiques et débarrassée des mythes qui en obscurcissent la signification et les potentialités.
Ce livre, qui s'attaque aux présupposés majeurs auxquels nos conceptions restent encore largement subordonnées, est à la source de préoccupations et d'orientations dont l'art américain s'est amplement nourri depuis plus d'un demi-siècle. L'intérêt tardif qu'il a commencé à susciter dans le contexte français exigeait qu'une traduction en fût enfin proposée. Il répond à une double attente, celle des philosophes qui s'intéressent à l'art vivant et celles des artistes ou des critiques qui s'attachent à ressaisir leur pratique à la lumière des actions et des formes d'expérience qui en sont réellement constitutives.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00874 PHI DEW Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible L'Opinion publique et son double, 1. L'Opinion sondée / Joëlle Zask
Titre de série : L'Opinion publique et son double, 1 Titre : L'Opinion sondée Type de document : texte imprimé Auteurs : Joëlle Zask, Auteur Editeur : Paris : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : La philosophie en commun Importance : 204 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7384-8517-0 Note générale : Bibliogr. p. 197-202 Langues : Français (fre) Index. décimale : ESS Essais Résumé : L'opinion publique est ce vers quoi convergent tous les principes du régime démocratique : la participation du peuple au gouvernement, le vote, la liberté d'expression comme l'éducation.
C'est pourquoi la formation de l'opinion publique est un problème qui ne peut être laissé dans les marges d'une pensée et d'une pratique démocratiques. Or, ce problème a été abandonné au profit de l'élaboration de méthodes statistiques d'enquête et de sondage, et ce en même temps que l'opinion acquérait un pouvoir immense et se voyait discréditée au titre d'opinion de la masse. L'incompétence, le conformisme, l'irrationalité, la versatilité, sont encore réputés ses traits dominants.
Mais ces derniers proviennent-ils des transformations sociales du public, comme cela a souvent été affirmé, ou sont-ils avant tout solidaires des présupposés - notamment psychologiques, comportementalistes - qui ont présidé à l'invention des outils de quantification au cours de la première moitié de notre siècle ? Afin de contribuer à renouveler la pensée de la démocratie, il est important de mettre en évidence les enjeux politiques des définitions psychosociales de l'opinion publique auxquelles la science politique, d'abord américaine, doit sa naissance.
Sur cette base, il faut dénoncer la dérive antidémocratique qui a justifié l'appel aux experts et, de là, le fait que le public a été réduit à n'exercer qu'un contrôle diffus, largement passif et réactif, de l'exercice du pouvoir.Note de contenu : L'avènement du comportement : John B Watson, fondateur du behaviorisme
La réduction psychologique de la politique : Charles Merriam
De l'irrationalité humaine à la réduction psychologique de l'opinion publique
Walter Lippmann : de l'étude des mécanismes psychiques à la redéfinition de l'opinion publique et du public
L'opinion sondée : déterminants de l'opinion et techniques de sondage
Définir l'opinion publique
L'Opinion publique et son double, 1. L'Opinion sondée [texte imprimé] / Joëlle Zask, Auteur . - Paris : L'Harmattan, 1999 . - 204 p. ; 22 cm. - (La philosophie en commun) .
ISBN : 2-7384-8517-0
Bibliogr. p. 197-202
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : L'opinion publique est ce vers quoi convergent tous les principes du régime démocratique : la participation du peuple au gouvernement, le vote, la liberté d'expression comme l'éducation.
C'est pourquoi la formation de l'opinion publique est un problème qui ne peut être laissé dans les marges d'une pensée et d'une pratique démocratiques. Or, ce problème a été abandonné au profit de l'élaboration de méthodes statistiques d'enquête et de sondage, et ce en même temps que l'opinion acquérait un pouvoir immense et se voyait discréditée au titre d'opinion de la masse. L'incompétence, le conformisme, l'irrationalité, la versatilité, sont encore réputés ses traits dominants.
Mais ces derniers proviennent-ils des transformations sociales du public, comme cela a souvent été affirmé, ou sont-ils avant tout solidaires des présupposés - notamment psychologiques, comportementalistes - qui ont présidé à l'invention des outils de quantification au cours de la première moitié de notre siècle ? Afin de contribuer à renouveler la pensée de la démocratie, il est important de mettre en évidence les enjeux politiques des définitions psychosociales de l'opinion publique auxquelles la science politique, d'abord américaine, doit sa naissance.
Sur cette base, il faut dénoncer la dérive antidémocratique qui a justifié l'appel aux experts et, de là, le fait que le public a été réduit à n'exercer qu'un contrôle diffus, largement passif et réactif, de l'exercice du pouvoir.Note de contenu : L'avènement du comportement : John B Watson, fondateur du behaviorisme
La réduction psychologique de la politique : Charles Merriam
De l'irrationalité humaine à la réduction psychologique de l'opinion publique
Walter Lippmann : de l'étude des mécanismes psychiques à la redéfinition de l'opinion publique et du public
L'opinion sondée : déterminants de l'opinion et techniques de sondage
Définir l'opinion publique
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01116 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible L'opinion publique et son double., 2. John Dewey, philosophe du public / Joëlle Zask
Titre de série : L'opinion publique et son double., 2 Titre : John Dewey, philosophe du public Type de document : texte imprimé Auteurs : Joëlle Zask, Auteur Editeur : Paris : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : La philosophie en commun Importance : 312 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7384-8518-9 Note générale : Bibliogr. p. 301-309 Langues : Français (fre) Index. décimale : ESS Essais Résumé : La démocratie est susceptible de plus ou de moins.
Quel sens lui donner ? Comment comprendre la participation des citoyens qui en forme, au moins nominalement, le cœur ? Et comment, lorsque l'on voit dans cette dernière bien plus que l'acte de voter de temps en temps, promouvoir la formation de véritables jugements politiques ? Contrairement aux conceptions de ses contemporains - et à celles de bien des auteurs actuels - la démocratie est pour le philosophe américain John Dewey (1859-1952) un idéal " radical ", à la fois éthique, social et politique, avec lequel il ne transige pas.
Participer signifie contribuer à fixer individuellement les conditions dans lesquelles l'expérience future prendra place ; tout aussi bien développer son individualité, s'associer librement ou être membre du publie. La reconstruction d'un public effectif, dévolu avant tout, non à critiquer la domination politique comme le veut la pensée libérale traditionnelle, mais à politiser les impasses de la vie sociale (ou à restaurer la liberté), est un projet vers lequel convergent tous les pans de la philosophie de Dewey: sa psychologie, sa théorie de l'éducation, sa conception expérimentale de la connaissance comme sa pensée politique. Dans un monde mobile qui ne cesse de produire de nouveaux types d'interdépendance et d'exclusion, une conception pragmatiste du public, attentive aux conséquences des activités sociales plus qu'à leurs causes, est une contribution particulièrement solide au renouveau de la démocratie.Note de contenu : ANTHROPOLOGIE ET DEMOCRATIE CHEZ JOHN DEWEY:
Anthropologie et politique : problématique
La théorie de l'expérience
La psychologie de Dewey
La " foi dans la nature humaine "
LA PENSEE POLITIQUE DE JOHN DEWEY:
Préliminaires
Le public et l'Etat
Société et communauté
Elitisme et expertise
L'enquête sociale et la formation de l'opinion publique.
L'opinion publique et son double., 2. John Dewey, philosophe du public [texte imprimé] / Joëlle Zask, Auteur . - Paris : L'Harmattan, 1999 . - 312 p. ; 22 cm. - (La philosophie en commun) .
ISBN : 2-7384-8518-9
Bibliogr. p. 301-309
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : La démocratie est susceptible de plus ou de moins.
Quel sens lui donner ? Comment comprendre la participation des citoyens qui en forme, au moins nominalement, le cœur ? Et comment, lorsque l'on voit dans cette dernière bien plus que l'acte de voter de temps en temps, promouvoir la formation de véritables jugements politiques ? Contrairement aux conceptions de ses contemporains - et à celles de bien des auteurs actuels - la démocratie est pour le philosophe américain John Dewey (1859-1952) un idéal " radical ", à la fois éthique, social et politique, avec lequel il ne transige pas.
Participer signifie contribuer à fixer individuellement les conditions dans lesquelles l'expérience future prendra place ; tout aussi bien développer son individualité, s'associer librement ou être membre du publie. La reconstruction d'un public effectif, dévolu avant tout, non à critiquer la domination politique comme le veut la pensée libérale traditionnelle, mais à politiser les impasses de la vie sociale (ou à restaurer la liberté), est un projet vers lequel convergent tous les pans de la philosophie de Dewey: sa psychologie, sa théorie de l'éducation, sa conception expérimentale de la connaissance comme sa pensée politique. Dans un monde mobile qui ne cesse de produire de nouveaux types d'interdépendance et d'exclusion, une conception pragmatiste du public, attentive aux conséquences des activités sociales plus qu'à leurs causes, est une contribution particulièrement solide au renouveau de la démocratie.Note de contenu : ANTHROPOLOGIE ET DEMOCRATIE CHEZ JOHN DEWEY:
Anthropologie et politique : problématique
La théorie de l'expérience
La psychologie de Dewey
La " foi dans la nature humaine "
LA PENSEE POLITIQUE DE JOHN DEWEY:
Préliminaires
Le public et l'Etat
Société et communauté
Elitisme et expertise
L'enquête sociale et la formation de l'opinion publique.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01115 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Philosophie (Revue), 47. Gilles Deleuze
Titre de série : Philosophie (Revue), 47 Titre : Gilles Deleuze Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : Les éd. de Minuit Année de publication : 1995 Collection : Philosophie, ISSN 0294-1805 num. 47 Importance : 95 p. Présentation : couv. ill. en noir Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1528-1 Langues : Français (fre) Index. décimale : ESS Essais Philosophie (Revue), 47. Gilles Deleuze [texte imprimé] . - Paris : Les éd. de Minuit, 1995 . - 95 p. : couv. ill. en noir ; 22 cm. - (Philosophie, ISSN 0294-1805; 47) .
ISBN : 2-7073-1528-1
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ESS Essais Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00856 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Prendre soin, 1. De la jeunesse et des générations / Bernard Stiegler
Titre de série : Prendre soin, 1 Titre : De la jeunesse et des générations Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Stiegler (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : impr. 2008 Collection : La Bibliothèque des savoirs, ISSN 1951-7734 Importance : 1 vol. (342 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-120736-3 Prix : 22 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le biopouvoir que Michel Foucault s'est si puissamment attaché à décrire n'est plus ce qui trame notre époque : l'enjeu est désormais le psychopouvoir, où il s'agit moins d'" utiliser la population" pour la production que de la constituer en marchés pour la consommation.
Foucault décrit la genèse de l'État s'acheminant vers la révolution industrielle avec la conquête du pouvoir par la bourgeoisie et les conditions de formation du capitalisme typique du me siècle, tel que l'aura analysé Marx, où la première préoccupation est la production. Or, la seconde moitié du XXe siècle rencontre de tout autres questions : il s'agit d'organiser la révolution des modes d'existence humains, voire leur liquidation, comme modes de consommation éliminant les savoir-vivre dans ce qui devient une économie industrielle de services dont les industries de programmes sont la base.
La science de cette nouvelle mobilisation totale est moins la cybernétique, comme le croyait Heidegger, que le marketing. Le psychopouvoir apparaît de nos jours pour ce qu'il est : ce qui fait des enfants les prescripteurs de leurs parents, et de ces parents, de grands enfants - le marketing détruisant ainsi tout système de soin et, en particulier, les circuits intergénérationnels. Il en résulte une destruction systématique de l'appareil psychique juvénile.
Les psychotechnologies monopolisées par le psychopouvoir sont des cas de ce que Platon, critiquant l'usage de l'écriture par les sophistes, appelait un pharmakon : un poison qui peut aussi être un remède. Au début du XXIe siècle, la reconstitution d'un système de soin exige de renverser la logique du psycho-pouvoir pour mettre en œuvre une politique de l'esprit. Cela requiert l'élaboration d'une pharmacologie qui analyse les caractéristiques des psychotechnologies contemporaines et d'une thérapeutique qui les mette au service d'un nouveau système de soin.Prendre soin, 1. De la jeunesse et des générations [texte imprimé] / Bernard Stiegler (1952-....), Auteur . - Paris : Flammarion, impr. 2008 . - 1 vol. (342 p.) ; 22 cm. - (La Bibliothèque des savoirs, ISSN 1951-7734) .
ISBN : 978-2-08-120736-3 : 22 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le biopouvoir que Michel Foucault s'est si puissamment attaché à décrire n'est plus ce qui trame notre époque : l'enjeu est désormais le psychopouvoir, où il s'agit moins d'" utiliser la population" pour la production que de la constituer en marchés pour la consommation.
Foucault décrit la genèse de l'État s'acheminant vers la révolution industrielle avec la conquête du pouvoir par la bourgeoisie et les conditions de formation du capitalisme typique du me siècle, tel que l'aura analysé Marx, où la première préoccupation est la production. Or, la seconde moitié du XXe siècle rencontre de tout autres questions : il s'agit d'organiser la révolution des modes d'existence humains, voire leur liquidation, comme modes de consommation éliminant les savoir-vivre dans ce qui devient une économie industrielle de services dont les industries de programmes sont la base.
La science de cette nouvelle mobilisation totale est moins la cybernétique, comme le croyait Heidegger, que le marketing. Le psychopouvoir apparaît de nos jours pour ce qu'il est : ce qui fait des enfants les prescripteurs de leurs parents, et de ces parents, de grands enfants - le marketing détruisant ainsi tout système de soin et, en particulier, les circuits intergénérationnels. Il en résulte une destruction systématique de l'appareil psychique juvénile.
Les psychotechnologies monopolisées par le psychopouvoir sont des cas de ce que Platon, critiquant l'usage de l'écriture par les sophistes, appelait un pharmakon : un poison qui peut aussi être un remède. Au début du XXIe siècle, la reconstitution d'un système de soin exige de renverser la logique du psycho-pouvoir pour mettre en œuvre une politique de l'esprit. Cela requiert l'élaboration d'une pharmacologie qui analyse les caractéristiques des psychotechnologies contemporaines et d'une thérapeutique qui les mette au service d'un nouveau système de soin.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 07418 PHI STI Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le Principe Espérance, 1. Le Principe Espérance. / Ernst Bloch
Titre de série : Le Principe Espérance, 1 Titre : Le Principe Espérance. : Parties I, II, III. Type de document : texte imprimé Auteurs : Ernst Bloch, Auteur ; Françoise Wuilmart, Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1976 Collection : bibliothèque de philosophie Importance : 535 p ISBN/ISSN/EAN : 2-07-029295-9 Note générale : anthropologie des besoins et des désirs.monde naturel et social dans son mouvement.
Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Aboutissement des thèses formulées dès 1918 par L'Esprit de Utopie et développées par les œuvres suivantes, Le Principe Espérance, qui parut en R.D.A.
entre 1954 et 1959, fut sinon la cause du moins le pretexte idéologique de la rupture entre Bloch et le marxisme officiel. Le livre mettait en œuvre sur le front philosophique de l'histoire un objectivité active, la conscience anticipante, où le marxisme officiel vit une véritable agression contre le matérialisme dogmatique de l'orthodoxie. Ce risque d'idéalisme, volontairement encouru, n'est certes pas seul paradoxe de l'œuvre blochienne.
Mais son enjeu livre le sens de tous les autres : lutter contre la pétrification de la dialectique, combattre toute clôture péremptoire en métaphysique. Car la reconquête de soi entreprise par l'homme, le dépassement du règne de l'aliénation et de la marchandise, la réalisation de ce monde nouveau dont toutes les utopies sont l'anticipation abstraite - en un mot : le projet même du marxisme - ne sont pas encore accomplis.
En ce sens le système hégélien, pour Marx l'obstacle philosophique majeur, constitue pour Bloch aussi le carcan à briser pour se libérer de l'envoûtement de l'anamnèse et penser le futur. Œuvre-système, Le Principe Espérance remet en cause toute idée de système, tout système culminant en une Idée : il s'ouvre sur le futur de l'homme et du monde. Tel est le sens de l'affirmation, à la fin de l'ouvrage, de ce principe que la sécularisation de la religion (" Seul un chrétien peut être un bon athée ") permet d'identifier comme celui celui de l'Espérance - principe d'un combat qui reste le nôtre et dans lequel, par un rappel de l'histoire, nous entreprenons l'apprentissage de l'espérance.
Le tome 1 de l'œuvre (qui en comprendra trois en français) constitue le premier moment de la réflexion. Bloch y enracine l'espérance dans une anthropologie des besoins et des désirs, des forces subjectives qui se mêlent aux avant-postes du réel avec les tendances historiques trouvent en elles leur corrélat objectif : le monde naturel et social dans son mouvement.Le Principe Espérance, 1. Le Principe Espérance. : Parties I, II, III. [texte imprimé] / Ernst Bloch, Auteur ; Françoise Wuilmart, Traducteur . - Paris : Gallimard, 1976 . - 535 p. - (bibliothèque de philosophie) .
ISBN : 2-07-029295-9
anthropologie des besoins et des désirs.monde naturel et social dans son mouvement.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Aboutissement des thèses formulées dès 1918 par L'Esprit de Utopie et développées par les œuvres suivantes, Le Principe Espérance, qui parut en R.D.A.
entre 1954 et 1959, fut sinon la cause du moins le pretexte idéologique de la rupture entre Bloch et le marxisme officiel. Le livre mettait en œuvre sur le front philosophique de l'histoire un objectivité active, la conscience anticipante, où le marxisme officiel vit une véritable agression contre le matérialisme dogmatique de l'orthodoxie. Ce risque d'idéalisme, volontairement encouru, n'est certes pas seul paradoxe de l'œuvre blochienne.
Mais son enjeu livre le sens de tous les autres : lutter contre la pétrification de la dialectique, combattre toute clôture péremptoire en métaphysique. Car la reconquête de soi entreprise par l'homme, le dépassement du règne de l'aliénation et de la marchandise, la réalisation de ce monde nouveau dont toutes les utopies sont l'anticipation abstraite - en un mot : le projet même du marxisme - ne sont pas encore accomplis.
En ce sens le système hégélien, pour Marx l'obstacle philosophique majeur, constitue pour Bloch aussi le carcan à briser pour se libérer de l'envoûtement de l'anamnèse et penser le futur. Œuvre-système, Le Principe Espérance remet en cause toute idée de système, tout système culminant en une Idée : il s'ouvre sur le futur de l'homme et du monde. Tel est le sens de l'affirmation, à la fin de l'ouvrage, de ce principe que la sécularisation de la religion (" Seul un chrétien peut être un bon athée ") permet d'identifier comme celui celui de l'Espérance - principe d'un combat qui reste le nôtre et dans lequel, par un rappel de l'histoire, nous entreprenons l'apprentissage de l'espérance.
Le tome 1 de l'œuvre (qui en comprendra trois en français) constitue le premier moment de la réflexion. Bloch y enracine l'espérance dans une anthropologie des besoins et des désirs, des forces subjectives qui se mêlent aux avant-postes du réel avec les tendances historiques trouvent en elles leur corrélat objectif : le monde naturel et social dans son mouvement.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00831 PHI BLO 1 Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le Principe Espérance, 2. Les épures du monde meilleur / Ernst Bloch
Titre de série : Le Principe Espérance, 2 Titre : Les épures du monde meilleur : Partie IV Type de document : texte imprimé Auteurs : Ernst Bloch, Auteur ; Françoise Wuilmart, Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1982 Collection : bibliothèque de philosophie Importance : 578 p Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-026728-8 Note générale : Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le Principe Espérance est l'œuvre majeure du philosophe allemand Ernst Bloch, récemment disparu à Tübingen où il s'était retiré.
Dans cet ouvrage monumental, Ernst Bloch s'applique à recenser ce qui, sous la forme de rêves diffus, d'utopies fragiles, sous la forme même de contes d'enfants, se trouve porteur des espérances de l'humanité. Il insiste sur la catégorie du possible dont il montre comment elle tend à se réaliser dans ce qui n'en livre encore que des traces. Il dresse un tableau du destin humain dont sa pensée visionnaire discerne les contours futurs à travers ce que révèlent le passé et le présent.
Dans ce tome II, consacré aux " Epures d'un monde meilleur ", l'auteur passe en revue - les utopies médicales et tout ce que l'homme a imaginé pour faire échec au vieillissement ou même pour abolir la mort; - les utopies techniques, depuis le grand eeuvre des alchimistes jusqu'aux ambitions modernes de maîtrise de la nature; - les utopies architecturales, où l'auteur oppose notamment la conception de l'espace des Egyptiens et celle du monde gothique; - les utopies géographiques, des îles Fortunées, de l'Eldorado, de Thulé, parmi d'autres; - et bien entendu les utopies sociales auxquelles Ernst Bloch consacre le plus long chapitre du livre et dont il dresse un magnifique panorama, de Platon jusqu'à la société socialiste telle que Marx l'a conçue.
Cette somme, qui repose sur un savoir impressionnant, fournira même au sceptique d'innombrables sujets de réflexion. Elle retrace en quelque sorte l'histoire du désir humain à la recherche de sa réalisation, la trajectoire de son mouvement vers un but final de l'humanité.Le Principe Espérance, 2. Les épures du monde meilleur : Partie IV [texte imprimé] / Ernst Bloch, Auteur ; Françoise Wuilmart, Traducteur . - Paris : Gallimard, 1982 . - 578 p ; 23 cm. - (bibliothèque de philosophie) .
ISBN : 2-07-026728-8
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le Principe Espérance est l'œuvre majeure du philosophe allemand Ernst Bloch, récemment disparu à Tübingen où il s'était retiré.
Dans cet ouvrage monumental, Ernst Bloch s'applique à recenser ce qui, sous la forme de rêves diffus, d'utopies fragiles, sous la forme même de contes d'enfants, se trouve porteur des espérances de l'humanité. Il insiste sur la catégorie du possible dont il montre comment elle tend à se réaliser dans ce qui n'en livre encore que des traces. Il dresse un tableau du destin humain dont sa pensée visionnaire discerne les contours futurs à travers ce que révèlent le passé et le présent.
Dans ce tome II, consacré aux " Epures d'un monde meilleur ", l'auteur passe en revue - les utopies médicales et tout ce que l'homme a imaginé pour faire échec au vieillissement ou même pour abolir la mort; - les utopies techniques, depuis le grand eeuvre des alchimistes jusqu'aux ambitions modernes de maîtrise de la nature; - les utopies architecturales, où l'auteur oppose notamment la conception de l'espace des Egyptiens et celle du monde gothique; - les utopies géographiques, des îles Fortunées, de l'Eldorado, de Thulé, parmi d'autres; - et bien entendu les utopies sociales auxquelles Ernst Bloch consacre le plus long chapitre du livre et dont il dresse un magnifique panorama, de Platon jusqu'à la société socialiste telle que Marx l'a conçue.
Cette somme, qui repose sur un savoir impressionnant, fournira même au sceptique d'innombrables sujets de réflexion. Elle retrace en quelque sorte l'histoire du désir humain à la recherche de sa réalisation, la trajectoire de son mouvement vers un but final de l'humanité.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00832 PHI BLO 2 Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le Principe Espérance, 3. Les images-souhaits de l'Instant exaucé / Ernst Bloch
Titre de série : Le Principe Espérance, 3 Titre : Les images-souhaits de l'Instant exaucé Type de document : texte imprimé Auteurs : Ernst Bloch, Auteur ; Françoise Wuilmart, Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1991 Collection : bibliothèque de philosophie Importance : 563 p Format : 23 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Théoricien de l'utopie concrète et du prophétisme révolutionnaire, Bloch s'est aussi proclamé marxiste.
Mais l'est-il encore vraiment ? Certes, il prend au pied de la lettre consigne de Marx pour qui la philosophie ne doit pas seulement interpréter mais aussi changer le monde. Toutefois l'enjeu profond de son œuvre est son opposition au matérialisme vulgaire, au marxisme mécaniste et à l'impuissance politique qui en découle. Bloch se propose de réhabiliter l'imaginaire et le sentiment dont il souligne l'effet dynamisant.
C'est l'oubli de l'idéal socialiste qui a mué celui-ci en son contraire : le totalitarisme. Quelle que soit la classe à laquelle il appartient, l'individu acquiert une fonction primordiale en tant que contradiction humaine purement et simplement : celle figurée par Prométhée, l'homme qui se crée soi-même, par Job, l'instigateur de la révolte contre toute forme de despotisme, par Moïse, " l'inventeur de la catégorie de l'Exode ", par le Christ qui prêche l'Apocalypse et veut " faire toute chose nouvelle ", par Faust enfin à qui il importe fondamentalement d'extraire la quintessence (l'or) de ce qui se trouve dispersé et dégradé sous tant de formes (le plomb) dans le monde.
Ce tome 3, consacré à l'" Identité ", sanctionne l'inadéquation de la raison technique en situant sa vérité plus loin et plus haut : vers ce qui se nommait jadis Royaume de Dieu ou Souverain Bien. Pour Bloch, ce chrétien athée, le facteur humain subversif, à la recherche de son soi et de son Chez-soi (Heimat), transcendera donc mais sans plus aucune transcendance. C'est d'une part le franchissement de frontières sous toutes ses formes, et de l'autre l'échec par excellence, la mort, cet " ultime fiasco ", que Bloch analyse dans cet cinquième et dernière partie où il passe en revue : les différents paradigmes, souvent contradictoires, de l'existence de bon aloi - les prototypes du franchissement de frontières abstrait ou au contraire médiatisé - la musique, le plus utopique de tous les arts, ce " partout et nulle part " où l'homme pressent la révélation de son incognito - la mort enfin, la riposte la plus dure qui soit à l'utopie ; Bloch s'interroge ici sur les rêves de l'Espérance en une victoire sur la mort, qui se déploient dans l'art et surtout dans la religion.
Le dernier chapitre réaffirme que le dépassement de l'inadéquation et la quête " Foyer " (Heimat), ce lieu de l'identité avec soi-même et avec les choses, sont aussi tâche politique.Le Principe Espérance, 3. Les images-souhaits de l'Instant exaucé [texte imprimé] / Ernst Bloch, Auteur ; Françoise Wuilmart, Traducteur . - Paris : Gallimard, 1991 . - 563 p ; 23 cm. - (bibliothèque de philosophie) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Théoricien de l'utopie concrète et du prophétisme révolutionnaire, Bloch s'est aussi proclamé marxiste.
Mais l'est-il encore vraiment ? Certes, il prend au pied de la lettre consigne de Marx pour qui la philosophie ne doit pas seulement interpréter mais aussi changer le monde. Toutefois l'enjeu profond de son œuvre est son opposition au matérialisme vulgaire, au marxisme mécaniste et à l'impuissance politique qui en découle. Bloch se propose de réhabiliter l'imaginaire et le sentiment dont il souligne l'effet dynamisant.
C'est l'oubli de l'idéal socialiste qui a mué celui-ci en son contraire : le totalitarisme. Quelle que soit la classe à laquelle il appartient, l'individu acquiert une fonction primordiale en tant que contradiction humaine purement et simplement : celle figurée par Prométhée, l'homme qui se crée soi-même, par Job, l'instigateur de la révolte contre toute forme de despotisme, par Moïse, " l'inventeur de la catégorie de l'Exode ", par le Christ qui prêche l'Apocalypse et veut " faire toute chose nouvelle ", par Faust enfin à qui il importe fondamentalement d'extraire la quintessence (l'or) de ce qui se trouve dispersé et dégradé sous tant de formes (le plomb) dans le monde.
Ce tome 3, consacré à l'" Identité ", sanctionne l'inadéquation de la raison technique en situant sa vérité plus loin et plus haut : vers ce qui se nommait jadis Royaume de Dieu ou Souverain Bien. Pour Bloch, ce chrétien athée, le facteur humain subversif, à la recherche de son soi et de son Chez-soi (Heimat), transcendera donc mais sans plus aucune transcendance. C'est d'une part le franchissement de frontières sous toutes ses formes, et de l'autre l'échec par excellence, la mort, cet " ultime fiasco ", que Bloch analyse dans cet cinquième et dernière partie où il passe en revue : les différents paradigmes, souvent contradictoires, de l'existence de bon aloi - les prototypes du franchissement de frontières abstrait ou au contraire médiatisé - la musique, le plus utopique de tous les arts, ce " partout et nulle part " où l'homme pressent la révélation de son incognito - la mort enfin, la riposte la plus dure qui soit à l'utopie ; Bloch s'interroge ici sur les rêves de l'Espérance en une victoire sur la mort, qui se déploient dans l'art et surtout dans la religion.
Le dernier chapitre réaffirme que le dépassement de l'inadéquation et la quête " Foyer " (Heimat), ce lieu de l'identité avec soi-même et avec les choses, sont aussi tâche politique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00833 PHI BLO 3 Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Questions, 1. Questions I et II / Martin Heidegger
Titre de série : Questions, 1 Titre : Questions I et II Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin Heidegger, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1990 Collection : Collection Tel num. 156 Importance : 582 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-071852-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Questions, tel est le titre, choisi par Martin Heidegger lui-même, pour le recueil de ses opuscules. La question, c'est la recherche précaire en vue de correspondre, c'est-à-dire de répondre à ce qui nous met en question, et nous tient ainsi suspendus dans la dimension salutaire de l'interrogation. Questions rassemble les textes les plus théoriques de Heidegger concernant la question de la pensée.
Depuis Vom Wesen des Grundes (1929) jusqu'à Zur Seinsfrage (1935), c'est, en effet, au développement de la question de l'être que travaillent ces textes. Ce volume recueille également des contributions où Heidegger tente de prendre en vue la philosophie comme " libre succession " des divers systèmes philosophiques (Platon, Kant, Hegel), en deçà de leur enchaînement historique. Ce premier volume qui rassemble tous les textes des Questions I et II sera suivi d'un second recueil (Questions III et IV).Questions, 1. Questions I et II [texte imprimé] / Martin Heidegger, Auteur . - Paris : Gallimard, 1990 . - 582 p. : couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Collection Tel; 156) .
ISBN : 2-07-071852-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Questions, tel est le titre, choisi par Martin Heidegger lui-même, pour le recueil de ses opuscules. La question, c'est la recherche précaire en vue de correspondre, c'est-à-dire de répondre à ce qui nous met en question, et nous tient ainsi suspendus dans la dimension salutaire de l'interrogation. Questions rassemble les textes les plus théoriques de Heidegger concernant la question de la pensée.
Depuis Vom Wesen des Grundes (1929) jusqu'à Zur Seinsfrage (1935), c'est, en effet, au développement de la question de l'être que travaillent ces textes. Ce volume recueille également des contributions où Heidegger tente de prendre en vue la philosophie comme " libre succession " des divers systèmes philosophiques (Platon, Kant, Hegel), en deçà de leur enchaînement historique. Ce premier volume qui rassemble tous les textes des Questions I et II sera suivi d'un second recueil (Questions III et IV).Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00902 PHI HEI Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Questions, 2. Questions III et IV / Martin Heidegger
Titre de série : Questions, 2 Titre : Questions III et IV Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin Heidegger, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1990 Collection : Collection Tel num. 172 Importance : 488 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-072130-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Questions III rassemble des textes très différents dans leur forme.
La " poésie " philosophique du Chemin de campagne, de l'Expérience de la pensée et de Sérénité constitue une innovation stylistique en un sens éminent puisqu'il s'agit d'un langage qui entend " dépasser " le discours de la métaphysique. La Lettre sur l'humanisme est un traité fondamental où Heidegger clarifie sa position par rapport à l'existentialisme et au marxisme - c'est ce texte qui a inspiré tout le courant français marqué par Althusser, Foucault, Lacan et Derrida. Questions IV offre les textes à travers lesquels Heidegger a cherché à prolonger comme à dépasser ce qu'il avait atteint avec Etre et Temps : c'est ainsi qu'on lira Le Tournant, Temps et Etre ou La Fin de la philosophie et la tâche de la pensée.
En outre, on trouvera dans ce recueil les protocoles des séminaires que Heidegger accepta de faire au Thor, en 1966, 1968 et 1969, à l'invitation de René Char.Questions, 2. Questions III et IV [texte imprimé] / Martin Heidegger, Auteur . - Paris : Gallimard, 1990 . - 488 p. : couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Collection Tel; 172) .
ISBN : 2-07-072130-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Questions III rassemble des textes très différents dans leur forme.
La " poésie " philosophique du Chemin de campagne, de l'Expérience de la pensée et de Sérénité constitue une innovation stylistique en un sens éminent puisqu'il s'agit d'un langage qui entend " dépasser " le discours de la métaphysique. La Lettre sur l'humanisme est un traité fondamental où Heidegger clarifie sa position par rapport à l'existentialisme et au marxisme - c'est ce texte qui a inspiré tout le courant français marqué par Althusser, Foucault, Lacan et Derrida. Questions IV offre les textes à travers lesquels Heidegger a cherché à prolonger comme à dépasser ce qu'il avait atteint avec Etre et Temps : c'est ainsi qu'on lira Le Tournant, Temps et Etre ou La Fin de la philosophie et la tâche de la pensée.
En outre, on trouvera dans ce recueil les protocoles des séminaires que Heidegger accepta de faire au Thor, en 1966, 1968 et 1969, à l'invitation de René Char.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00903 PHI HEI Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible