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Mécréance et discrédit, 2. Mécréance et discrédit / Bernard Stiegler
Titre de série : Mécréance et discrédit, 2 Titre : Mécréance et discrédit : 2. Les sociétés incontrôlables d'individus désaffectés Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Stiegler (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : impr. 2006 Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 1 vol. (178 p.) Format : 24 cm Accompagnement : avec le concours du CNL ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0706-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : désespérance "desperados" autorité mécanisme de répression Index. décimale : ESS Essais Résumé : Dans son analyse de l'esprit du capitalisme, Max Weber posait en principe que celui-ci ne se développerait que comme désenchantement et rationalisation de la , société - cette rationalisation étant alors entendue au sens de l'application du calcul à toutes les activités humaines. Le capitalisme est aujourd'hui devenu planétaire, et il semble bien que le processus que décrivait Weber est arrivé à son terme.
Or, comme résultat de la rationalisation, ce terme paraît condamné à s'effondrer dans l'irrationnel le plus inquiétant. Il engendre une misère spirituelle (une paralysie des fonctions de l'esprit humain) d'où a disparu la raison comme motif d'espérer: comme " règne des fins ", selon l'expression de Kant. Comme disparition de tout horizon d'attente - de toute croyance, religieuse, politique, ou libidinale, quelle soit amoureuse, filiale ou sociale, constituant le tissu des solidarités sans lesquelles aucune société n'est possible, ce qu'Aristote nommait la philia-, le désenchantement absolu frappe en particulier ceux qui pensent ne plus rien avoir à attendre du développement des sociétés hyperindustrielles.
Ces désespérés sont des " desperados ", et ils seront de plus en plus nombreux. Or, n'avoir plus rien à attendre signifie tout aussi bien n'avoir plus rien à craindre, ce qui est également le sens de l'elpis grecque: attente qui est porteuse à la fois de l'espoir et de la crainte. Dans le désespoir, il n'y a plus de crainte - et les mécanismes de répression, qui prolifèrent pour tenter de colmater les effets de la perte d'autorité qu'est aussi la perte d'esprit, sont de moins en moins efficaces.
Car finalement, ils engendrent de plus en plus le contraire de ce pour quoi ils sont faits - et sous des formes extrêmes, et totalement irrationnelles, c'est-à-dire imprévisibles. C'est ce qui advient en ce moment, et c'est une très mauvaise nouvelle : l'hyperpuissance du système technique de l'époque hyperindustrielle ne peut demeurer puissante que pour autant qu'y règne une confiance ordinaire que l'irrationalité destructrice engendrée par la liquidation du règne des fins ne peut que ruiner.
La confiance est le préalable du fonctionnement de l'hyperpuissance: dès lors que celle-ci est perdue, l'hyperpuissance se renverse en hypervulnérabilité et en impuissance. La perte des motifs d'espérer se répand alors à tous comme une maladie contagieuse. Ce tous n'est plus un nous : c'est une panique.Mécréance et discrédit, 2. Mécréance et discrédit : 2. Les sociétés incontrôlables d'individus désaffectés [texte imprimé] / Bernard Stiegler (1952-....), Auteur . - Paris : Galilée, impr. 2006 . - 1 vol. (178 p.) ; 24 cm + avec le concours du CNL. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0706-8
Langues : Français (fre)
Mots-clés : désespérance "desperados" autorité mécanisme de répression Index. décimale : ESS Essais Résumé : Dans son analyse de l'esprit du capitalisme, Max Weber posait en principe que celui-ci ne se développerait que comme désenchantement et rationalisation de la , société - cette rationalisation étant alors entendue au sens de l'application du calcul à toutes les activités humaines. Le capitalisme est aujourd'hui devenu planétaire, et il semble bien que le processus que décrivait Weber est arrivé à son terme.
Or, comme résultat de la rationalisation, ce terme paraît condamné à s'effondrer dans l'irrationnel le plus inquiétant. Il engendre une misère spirituelle (une paralysie des fonctions de l'esprit humain) d'où a disparu la raison comme motif d'espérer: comme " règne des fins ", selon l'expression de Kant. Comme disparition de tout horizon d'attente - de toute croyance, religieuse, politique, ou libidinale, quelle soit amoureuse, filiale ou sociale, constituant le tissu des solidarités sans lesquelles aucune société n'est possible, ce qu'Aristote nommait la philia-, le désenchantement absolu frappe en particulier ceux qui pensent ne plus rien avoir à attendre du développement des sociétés hyperindustrielles.
Ces désespérés sont des " desperados ", et ils seront de plus en plus nombreux. Or, n'avoir plus rien à attendre signifie tout aussi bien n'avoir plus rien à craindre, ce qui est également le sens de l'elpis grecque: attente qui est porteuse à la fois de l'espoir et de la crainte. Dans le désespoir, il n'y a plus de crainte - et les mécanismes de répression, qui prolifèrent pour tenter de colmater les effets de la perte d'autorité qu'est aussi la perte d'esprit, sont de moins en moins efficaces.
Car finalement, ils engendrent de plus en plus le contraire de ce pour quoi ils sont faits - et sous des formes extrêmes, et totalement irrationnelles, c'est-à-dire imprévisibles. C'est ce qui advient en ce moment, et c'est une très mauvaise nouvelle : l'hyperpuissance du système technique de l'époque hyperindustrielle ne peut demeurer puissante que pour autant qu'y règne une confiance ordinaire que l'irrationalité destructrice engendrée par la liquidation du règne des fins ne peut que ruiner.
La confiance est le préalable du fonctionnement de l'hyperpuissance: dès lors que celle-ci est perdue, l'hyperpuissance se renverse en hypervulnérabilité et en impuissance. La perte des motifs d'espérer se répand alors à tous comme une maladie contagieuse. Ce tous n'est plus un nous : c'est une panique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00411 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le mythe de la machine, 1. La Technologie et le développement / Lewis Mumford
Titre de série : Le mythe de la machine, 1 Titre : La Technologie et le développement Type de document : texte imprimé Auteurs : Lewis Mumford Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 1973 Collection : Le Phénomène scientifique Importance : 643 p Présentation : ill Format : 21 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Ce premier volume établit les fondements religieux et magiques de la technologie ancienne et moderne, traite également des aspects irrationnels de la science et de la technologie et remonte jusqu'à leur manifestations premières, en Egypte et en Mésopotamie. Le mythe de la machine, 1. La Technologie et le développement [texte imprimé] / Lewis Mumford . - Paris : Fayard, 1973 . - 643 p : ill ; 21 cm. - (Le Phénomène scientifique) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Ce premier volume établit les fondements religieux et magiques de la technologie ancienne et moderne, traite également des aspects irrationnels de la science et de la technologie et remonte jusqu'à leur manifestations premières, en Egypte et en Mésopotamie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00956 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le mythe de la machine, 2. Le Pentagone de la puissance / Lewis Mumford
Titre de série : Le mythe de la machine, 2 Titre : Le Pentagone de la puissance Type de document : texte imprimé Auteurs : Lewis Mumford, Auteur Editeur : Paris : Fayard Année de publication : impr. 1974 Collection : Le Phénomène scientifique num. 6 Importance : 1 vol. (II-643-[32 p. de pl.]) Présentation : ill. Format : 23 cm. ISBN/ISSN/EAN : 2-213-00049-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : ESS Essais Résumé : ce deuxième volume s'ouvre sur l'âge de l'exploration terrestre et de la découverte scientifique et retrace la formation du nouveau pentagone de la puissance: absolutisme politique, puissance (énergie), productivité, profit pécuniaire et publicité. Le mythe de la machine, 2. Le Pentagone de la puissance [texte imprimé] / Lewis Mumford, Auteur . - Paris : Fayard, impr. 1974 . - 1 vol. (II-643-[32 p. de pl.]) : ill. ; 23 cm.. - (Le Phénomène scientifique; 6) .
ISBN : 2-213-00049-2
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : ce deuxième volume s'ouvre sur l'âge de l'exploration terrestre et de la découverte scientifique et retrace la formation du nouveau pentagone de la puissance: absolutisme politique, puissance (énergie), productivité, profit pécuniaire et publicité. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00957 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Oeuvres, 1. Oeuvres I / Walter Benjamin
Titre de série : Oeuvres, 1 Titre : Oeuvres I Type de document : texte imprimé Auteurs : Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Collection : Collection Folio Sous-collection : Essais num. 372 Importance : 1 vol. (400 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-040666-0 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Walter Benjamin (1892-1940), l'un des rares penseurs contemporains qui comptent dans le monde international de la pensée, échappe aux querelles d'écoles, survit aux modes, passe pour une référence obligée.
Cette résistance au temps tient à la fois aux qualités littéraires de ses écrits, à sa biographie exceptionnelle - tragiquement représentative du destin de l'intelligentsia judéo-allemande au XXe siècle - et à un sens aigu des enjeux théoriques de l'époque. Ces trois volumes d'Œuvres, soit devenues inaccessibles au public français depuis presque vingt ans, soit, pour un tiers d'entre elles, tout à fait inédites, ont pour ambition de débarrasser Benjamin des mythes qui l'entourent, de le donner à lire, de le faire entendre.Oeuvres, 1. Oeuvres I [texte imprimé] / Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur . - Paris : Gallimard, 2000 . - 1 vol. (400 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Collection Folio. Essais; 372) .
ISBN : 2-07-040666-0
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Walter Benjamin (1892-1940), l'un des rares penseurs contemporains qui comptent dans le monde international de la pensée, échappe aux querelles d'écoles, survit aux modes, passe pour une référence obligée.
Cette résistance au temps tient à la fois aux qualités littéraires de ses écrits, à sa biographie exceptionnelle - tragiquement représentative du destin de l'intelligentsia judéo-allemande au XXe siècle - et à un sens aigu des enjeux théoriques de l'époque. Ces trois volumes d'Œuvres, soit devenues inaccessibles au public français depuis presque vingt ans, soit, pour un tiers d'entre elles, tout à fait inédites, ont pour ambition de débarrasser Benjamin des mythes qui l'entourent, de le donner à lire, de le faire entendre.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10042 ESS BEN Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Oeuvres, 2. Oeuvres II / Walter Benjamin
Titre de série : Oeuvres, 2 Titre : Oeuvres II Type de document : texte imprimé Auteurs : Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Collection : Folio Sous-collection : Essais num. 373 Importance : 1 vol. (459 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-040667-9 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Y a-t-il une unité de la pensée de Walter Benjamin Il écrivit un jour : " Ma pensée se rapporte à la théologie comme le buvard à l'encre : elle en est totalement imbibée.
Mais s'il ne tenait qu'au buvard, il ne resterait rien de ce qui est écrit. " De fait, saisir l'unité de la pensée de Benjamin n'est pas chose aisée ; son identité même semble parfois échapper et se réduire à un style. Si nombre ont pu s'approprier des visages différents de cet auteur - privilégiant qui l'approche théologique, qui l'approche matérialiste, qui l'approche esthétique, esquissant qui un Benjamin baroque, qui un défenseur des avant-gardes surréaliste ou brechtienne, qui un moderne proche de Baudelaire ou bien encore un penseur du génocide à venir -, c'est du fait de la prodigieuse diversité des écrits, approches et curiosités de l'auteur, de la particularité de sa critique esthétique visant à restituer à chaque fois la singularité irréductible d'une " façon de voir le monde ". Le choix de ces Œuvres, parcours au sein d'une production qui va du texte de circonstance, gagne-pain journalistique, au texte spéculatif trouvant sa place légitime au Panthéon de la philosophie du XXe siècle, veut répondre à une seule attente : qu'enfin Benjamin soit rendu d lui-même.Oeuvres, 2. Oeuvres II [texte imprimé] / Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur . - Paris : Gallimard, 2000 . - 1 vol. (459 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Folio. Essais; 373) .
ISBN : 2-07-040667-9
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Y a-t-il une unité de la pensée de Walter Benjamin Il écrivit un jour : " Ma pensée se rapporte à la théologie comme le buvard à l'encre : elle en est totalement imbibée.
Mais s'il ne tenait qu'au buvard, il ne resterait rien de ce qui est écrit. " De fait, saisir l'unité de la pensée de Benjamin n'est pas chose aisée ; son identité même semble parfois échapper et se réduire à un style. Si nombre ont pu s'approprier des visages différents de cet auteur - privilégiant qui l'approche théologique, qui l'approche matérialiste, qui l'approche esthétique, esquissant qui un Benjamin baroque, qui un défenseur des avant-gardes surréaliste ou brechtienne, qui un moderne proche de Baudelaire ou bien encore un penseur du génocide à venir -, c'est du fait de la prodigieuse diversité des écrits, approches et curiosités de l'auteur, de la particularité de sa critique esthétique visant à restituer à chaque fois la singularité irréductible d'une " façon de voir le monde ". Le choix de ces Œuvres, parcours au sein d'une production qui va du texte de circonstance, gagne-pain journalistique, au texte spéculatif trouvant sa place légitime au Panthéon de la philosophie du XXe siècle, veut répondre à une seule attente : qu'enfin Benjamin soit rendu d lui-même.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00783 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Oeuvres, 3. Oeuvres III / Walter Benjamin
Titre de série : Oeuvres, 3 Titre : Oeuvres III Type de document : texte imprimé Auteurs : Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Collection : Folio Sous-collection : Essais num. 374 Importance : 1 vol. (482 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-040668-7 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : ESS Essais Résumé : Trois grands thèmes irriguent l'œuvre de Walter Benjamin, s'entraînent, se recoupent, se recouvrent, sinon au fil des ans se contredisent : une philosophie du langage, d'abord, une philosophie de l'art, une philosophie de l'histoire.
Trois préoccupations qui définissent le rapport de Benjamin à la tradition, son souci de restituer ce que cette dernière a refoulé, parfois éradiqué. Quel que soit le domaine auquel il s'arrête, il entend toujours dénoncer l'illusion de la continuité, l'oubli des ruptures décisives, des interruptions libératrices. Restituer la vision des " vaincus ", des défaits de la tradition, est à ses yeux vital pour le destin de la liberté. Le parti ici pris de rassembler des œuvres de Walter Benjamin dans leur strict ordre chronologique, sans regroupement thématique ni périodique, vise à faire apparaître les avancées comme les impasses d'une œuvre sans égal, parce qu'inclassable.Oeuvres, 3. Oeuvres III [texte imprimé] / Walter Benjamin, Auteur ; Rainer Rochlitz (1946-2002), Traducteur . - Paris : Gallimard, 2000 . - 1 vol. (482 p.) ; 18 cm. - (Folio. Essais; 374) .
ISBN : 2-07-040668-7
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : Trois grands thèmes irriguent l'œuvre de Walter Benjamin, s'entraînent, se recoupent, se recouvrent, sinon au fil des ans se contredisent : une philosophie du langage, d'abord, une philosophie de l'art, une philosophie de l'histoire.
Trois préoccupations qui définissent le rapport de Benjamin à la tradition, son souci de restituer ce que cette dernière a refoulé, parfois éradiqué. Quel que soit le domaine auquel il s'arrête, il entend toujours dénoncer l'illusion de la continuité, l'oubli des ruptures décisives, des interruptions libératrices. Restituer la vision des " vaincus ", des défaits de la tradition, est à ses yeux vital pour le destin de la liberté. Le parti ici pris de rassembler des œuvres de Walter Benjamin dans leur strict ordre chronologique, sans regroupement thématique ni périodique, vise à faire apparaître les avancées comme les impasses d'une œuvre sans égal, parce qu'inclassable.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00784 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible L'Opinion publique et son double, 1. L'Opinion sondée / Joëlle Zask
Titre de série : L'Opinion publique et son double, 1 Titre : L'Opinion sondée Type de document : texte imprimé Auteurs : Joëlle Zask, Auteur Editeur : Paris : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : La philosophie en commun Importance : 204 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7384-8517-0 Note générale : Bibliogr. p. 197-202 Langues : Français (fre) Index. décimale : ESS Essais Résumé : L'opinion publique est ce vers quoi convergent tous les principes du régime démocratique : la participation du peuple au gouvernement, le vote, la liberté d'expression comme l'éducation.
C'est pourquoi la formation de l'opinion publique est un problème qui ne peut être laissé dans les marges d'une pensée et d'une pratique démocratiques. Or, ce problème a été abandonné au profit de l'élaboration de méthodes statistiques d'enquête et de sondage, et ce en même temps que l'opinion acquérait un pouvoir immense et se voyait discréditée au titre d'opinion de la masse. L'incompétence, le conformisme, l'irrationalité, la versatilité, sont encore réputés ses traits dominants.
Mais ces derniers proviennent-ils des transformations sociales du public, comme cela a souvent été affirmé, ou sont-ils avant tout solidaires des présupposés - notamment psychologiques, comportementalistes - qui ont présidé à l'invention des outils de quantification au cours de la première moitié de notre siècle ? Afin de contribuer à renouveler la pensée de la démocratie, il est important de mettre en évidence les enjeux politiques des définitions psychosociales de l'opinion publique auxquelles la science politique, d'abord américaine, doit sa naissance.
Sur cette base, il faut dénoncer la dérive antidémocratique qui a justifié l'appel aux experts et, de là, le fait que le public a été réduit à n'exercer qu'un contrôle diffus, largement passif et réactif, de l'exercice du pouvoir.Note de contenu : L'avènement du comportement : John B Watson, fondateur du behaviorisme
La réduction psychologique de la politique : Charles Merriam
De l'irrationalité humaine à la réduction psychologique de l'opinion publique
Walter Lippmann : de l'étude des mécanismes psychiques à la redéfinition de l'opinion publique et du public
L'opinion sondée : déterminants de l'opinion et techniques de sondage
Définir l'opinion publique
L'Opinion publique et son double, 1. L'Opinion sondée [texte imprimé] / Joëlle Zask, Auteur . - Paris : L'Harmattan, 1999 . - 204 p. ; 22 cm. - (La philosophie en commun) .
ISBN : 2-7384-8517-0
Bibliogr. p. 197-202
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : L'opinion publique est ce vers quoi convergent tous les principes du régime démocratique : la participation du peuple au gouvernement, le vote, la liberté d'expression comme l'éducation.
C'est pourquoi la formation de l'opinion publique est un problème qui ne peut être laissé dans les marges d'une pensée et d'une pratique démocratiques. Or, ce problème a été abandonné au profit de l'élaboration de méthodes statistiques d'enquête et de sondage, et ce en même temps que l'opinion acquérait un pouvoir immense et se voyait discréditée au titre d'opinion de la masse. L'incompétence, le conformisme, l'irrationalité, la versatilité, sont encore réputés ses traits dominants.
Mais ces derniers proviennent-ils des transformations sociales du public, comme cela a souvent été affirmé, ou sont-ils avant tout solidaires des présupposés - notamment psychologiques, comportementalistes - qui ont présidé à l'invention des outils de quantification au cours de la première moitié de notre siècle ? Afin de contribuer à renouveler la pensée de la démocratie, il est important de mettre en évidence les enjeux politiques des définitions psychosociales de l'opinion publique auxquelles la science politique, d'abord américaine, doit sa naissance.
Sur cette base, il faut dénoncer la dérive antidémocratique qui a justifié l'appel aux experts et, de là, le fait que le public a été réduit à n'exercer qu'un contrôle diffus, largement passif et réactif, de l'exercice du pouvoir.Note de contenu : L'avènement du comportement : John B Watson, fondateur du behaviorisme
La réduction psychologique de la politique : Charles Merriam
De l'irrationalité humaine à la réduction psychologique de l'opinion publique
Walter Lippmann : de l'étude des mécanismes psychiques à la redéfinition de l'opinion publique et du public
L'opinion sondée : déterminants de l'opinion et techniques de sondage
Définir l'opinion publique
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01116 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible L'opinion publique et son double., 2. John Dewey, philosophe du public / Joëlle Zask
Titre de série : L'opinion publique et son double., 2 Titre : John Dewey, philosophe du public Type de document : texte imprimé Auteurs : Joëlle Zask, Auteur Editeur : Paris : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : La philosophie en commun Importance : 312 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7384-8518-9 Note générale : Bibliogr. p. 301-309 Langues : Français (fre) Index. décimale : ESS Essais Résumé : La démocratie est susceptible de plus ou de moins.
Quel sens lui donner ? Comment comprendre la participation des citoyens qui en forme, au moins nominalement, le cœur ? Et comment, lorsque l'on voit dans cette dernière bien plus que l'acte de voter de temps en temps, promouvoir la formation de véritables jugements politiques ? Contrairement aux conceptions de ses contemporains - et à celles de bien des auteurs actuels - la démocratie est pour le philosophe américain John Dewey (1859-1952) un idéal " radical ", à la fois éthique, social et politique, avec lequel il ne transige pas.
Participer signifie contribuer à fixer individuellement les conditions dans lesquelles l'expérience future prendra place ; tout aussi bien développer son individualité, s'associer librement ou être membre du publie. La reconstruction d'un public effectif, dévolu avant tout, non à critiquer la domination politique comme le veut la pensée libérale traditionnelle, mais à politiser les impasses de la vie sociale (ou à restaurer la liberté), est un projet vers lequel convergent tous les pans de la philosophie de Dewey: sa psychologie, sa théorie de l'éducation, sa conception expérimentale de la connaissance comme sa pensée politique. Dans un monde mobile qui ne cesse de produire de nouveaux types d'interdépendance et d'exclusion, une conception pragmatiste du public, attentive aux conséquences des activités sociales plus qu'à leurs causes, est une contribution particulièrement solide au renouveau de la démocratie.Note de contenu : ANTHROPOLOGIE ET DEMOCRATIE CHEZ JOHN DEWEY:
Anthropologie et politique : problématique
La théorie de l'expérience
La psychologie de Dewey
La " foi dans la nature humaine "
LA PENSEE POLITIQUE DE JOHN DEWEY:
Préliminaires
Le public et l'Etat
Société et communauté
Elitisme et expertise
L'enquête sociale et la formation de l'opinion publique.
L'opinion publique et son double., 2. John Dewey, philosophe du public [texte imprimé] / Joëlle Zask, Auteur . - Paris : L'Harmattan, 1999 . - 312 p. ; 22 cm. - (La philosophie en commun) .
ISBN : 2-7384-8518-9
Bibliogr. p. 301-309
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ESS Essais Résumé : La démocratie est susceptible de plus ou de moins.
Quel sens lui donner ? Comment comprendre la participation des citoyens qui en forme, au moins nominalement, le cœur ? Et comment, lorsque l'on voit dans cette dernière bien plus que l'acte de voter de temps en temps, promouvoir la formation de véritables jugements politiques ? Contrairement aux conceptions de ses contemporains - et à celles de bien des auteurs actuels - la démocratie est pour le philosophe américain John Dewey (1859-1952) un idéal " radical ", à la fois éthique, social et politique, avec lequel il ne transige pas.
Participer signifie contribuer à fixer individuellement les conditions dans lesquelles l'expérience future prendra place ; tout aussi bien développer son individualité, s'associer librement ou être membre du publie. La reconstruction d'un public effectif, dévolu avant tout, non à critiquer la domination politique comme le veut la pensée libérale traditionnelle, mais à politiser les impasses de la vie sociale (ou à restaurer la liberté), est un projet vers lequel convergent tous les pans de la philosophie de Dewey: sa psychologie, sa théorie de l'éducation, sa conception expérimentale de la connaissance comme sa pensée politique. Dans un monde mobile qui ne cesse de produire de nouveaux types d'interdépendance et d'exclusion, une conception pragmatiste du public, attentive aux conséquences des activités sociales plus qu'à leurs causes, est une contribution particulièrement solide au renouveau de la démocratie.Note de contenu : ANTHROPOLOGIE ET DEMOCRATIE CHEZ JOHN DEWEY:
Anthropologie et politique : problématique
La théorie de l'expérience
La psychologie de Dewey
La " foi dans la nature humaine "
LA PENSEE POLITIQUE DE JOHN DEWEY:
Préliminaires
Le public et l'Etat
Société et communauté
Elitisme et expertise
L'enquête sociale et la formation de l'opinion publique.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01115 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Philosophie (Revue), 47. Gilles Deleuze
Titre de série : Philosophie (Revue), 47 Titre : Gilles Deleuze Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : Les éd. de Minuit Année de publication : 1995 Collection : Philosophie, ISSN 0294-1805 num. 47 Importance : 95 p. Présentation : couv. ill. en noir Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1528-1 Langues : Français (fre) Index. décimale : ESS Essais Philosophie (Revue), 47. Gilles Deleuze [texte imprimé] . - Paris : Les éd. de Minuit, 1995 . - 95 p. : couv. ill. en noir ; 22 cm. - (Philosophie, ISSN 0294-1805; 47) .
ISBN : 2-7073-1528-1
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ESS Essais Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00856 ESS Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible