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Éditeur Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO
localisé à Genève
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherchePhilippe Gronon / Éric de Chassey
Titre : Philippe Gronon : L'objet de la photographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Éric de Chassey (1965-....), Auteur ; Catherine Perret (1956-....), Auteur Editeur : Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO Année de publication : DL 2010 Importance : 1 vol. (207 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940159-42-0 Prix : 32 € Langues : Français (fre) Index. décimale : MON Monographie Résumé : Depuis le tout début des années 1990, Philippe Gronon (né en 1964 à Rochefort sur Mer, vit et travaille à Malakoff) développe un travail photographique dont le point de départ est la définition la plus simple – et historique – de la photographie elle-même, à savoir qu'elle est une technique de fabrication d'images qui enregistre la réalité telle qu'elle est.
Chez Gronon, ce constat se traduit par un protocole de production bien réglé : la quasi-totalité des objets photographiés (amplis, coffres-forts, tableaux de cotation, écritoires, pierres lithographiques, tableaux électriques, versos de peintures…) le sont à l'échelle 1 si bien que le spectateur a devant lui le motif choisi dans sa vérité la plus frontale et criante. La façon dont l'artiste le restitue la plupart du temps est elle aussi exemplaire de la dimension réaliste de cet enregistrement des aspects du monde : l'objet photographié est bien souvent découpé c'est-à-dire détouré se donnant ainsi à voir tel quel, de face et sans encadrement. L'image est alors l'exact portrait du sujet mais aplati, sans profondeur.
Loin de la mise en scène du corps explorée par la photographie plasticienne dans la période récente, loin aussi de toute idée de reportage liée à un style documentaire, la photo est ici un relevé aussi chirurgical et direct que possible des choses, de leur picturalité, ce qui fait toute la singularité de cet art et des images qui le définissent, lesquelles sont bien souvent d'authentiques tableaux.
Travail à la logique implacable et impeccable, travail retenu, l'art de Philippe Gronon montre somptueusement qu'il ne peut y avoir de réalité telle quelle, de réalité absolue, et que c'est en travaillant au plus près de la distance (infime et intime) entre ce qui est visible et ce qui est photographié, entre l'objet dans la réalité et l'objet de la photographie, que l'artiste invente un coefficient d'art.Note de contenu : Cet ouvrage amplement illustré montre dans son ensemble ce qui est une véritable entreprise de saisie – de capture – des objets. Deux essais situent l'importance de cet œuvre dans la création actuelle : Eric de Chassey propose un éclairage historique sur ses développements les plus récents tandis que Catherine Perret en relève toute la portée et la profondeur théoriques. Philippe Gronon : L'objet de la photographie [texte imprimé] / Éric de Chassey (1965-....), Auteur ; Catherine Perret (1956-....), Auteur . - Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO, DL 2010 . - 1 vol. (207 p.) : ill., couv. ill. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-940159-42-0 : 32 €
Langues : Français (fre)
Index. décimale : MON Monographie Résumé : Depuis le tout début des années 1990, Philippe Gronon (né en 1964 à Rochefort sur Mer, vit et travaille à Malakoff) développe un travail photographique dont le point de départ est la définition la plus simple – et historique – de la photographie elle-même, à savoir qu'elle est une technique de fabrication d'images qui enregistre la réalité telle qu'elle est.
Chez Gronon, ce constat se traduit par un protocole de production bien réglé : la quasi-totalité des objets photographiés (amplis, coffres-forts, tableaux de cotation, écritoires, pierres lithographiques, tableaux électriques, versos de peintures…) le sont à l'échelle 1 si bien que le spectateur a devant lui le motif choisi dans sa vérité la plus frontale et criante. La façon dont l'artiste le restitue la plupart du temps est elle aussi exemplaire de la dimension réaliste de cet enregistrement des aspects du monde : l'objet photographié est bien souvent découpé c'est-à-dire détouré se donnant ainsi à voir tel quel, de face et sans encadrement. L'image est alors l'exact portrait du sujet mais aplati, sans profondeur.
Loin de la mise en scène du corps explorée par la photographie plasticienne dans la période récente, loin aussi de toute idée de reportage liée à un style documentaire, la photo est ici un relevé aussi chirurgical et direct que possible des choses, de leur picturalité, ce qui fait toute la singularité de cet art et des images qui le définissent, lesquelles sont bien souvent d'authentiques tableaux.
Travail à la logique implacable et impeccable, travail retenu, l'art de Philippe Gronon montre somptueusement qu'il ne peut y avoir de réalité telle quelle, de réalité absolue, et que c'est en travaillant au plus près de la distance (infime et intime) entre ce qui est visible et ce qui est photographié, entre l'objet dans la réalité et l'objet de la photographie, que l'artiste invente un coefficient d'art.Note de contenu : Cet ouvrage amplement illustré montre dans son ensemble ce qui est une véritable entreprise de saisie – de capture – des objets. Deux essais situent l'importance de cet œuvre dans la création actuelle : Eric de Chassey propose un éclairage historique sur ses développements les plus récents tandis que Catherine Perret en relève toute la portée et la profondeur théoriques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 05676 MON GRO Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Disponible Le point d'Ithaque / Yvan Salomone
Titre : Le point d'Ithaque : cahiers 1991-2006 Type de document : texte imprimé Auteurs : Yvan Salomone (1957-....), Auteur Editeur : Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (600 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940159-40-6 Prix : 32 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : Entre 1991 et 2006, Yvan Salomone a rédigé dix carnets de soixante pages chacun selon un protocole simple : chaque page a pour point de départ une aquarelle réalisée par l'artiste lui-même selon des règles très précises (utilisation d'une photographie comme embrayeur de l'image peinte, format immuable de cette dernière, absence de figure humaine, paysages industriels comme motifs quasi exclusifs du travail). De cette entreprise, qui se poursuit encore aujourd'hui, résulte ce livre inclassable.
Ni écrit d'artiste ni journal ni exégèse d'un travail visuel, Le Point d'Ithaque offre un exemple rare d'écriture qui associe approche personnelle voire intime de l'image et verbalisation de sa plasticité. Le texte vient donc après le dessin, après la peinture, le signe vient après le visible dans un retard qui le rend possible. Et pourtant c'est dans l'écriture elle-même que se produit quelque chose comme une vie supplémentaire, c'est-à-dire à part entière, de la représentation, puisqu'on imagine cette dernière à partir de la page qui l'écrit plus qu'elle ne la décrit autrement dit qui lui donne une autre incarnation, une autre existence matérielle et symbolique. Pas donc d'ekphrasis ici au sens classique et technique du terme mais bien l'exposition, la traversée, par Yvan Salomone lui-même, des multiples linéaments qui conduisent à faire une image.
On trouve d'autre part dans ces lignes des références explicites ou cryptiques à un univers de pensée qui est celui de l'auteur, un ensemble de textes et d'œuvres plastiques qui sont autant de hantises, de fantômes par lesquels passe chez lui le travail en général, quelque forme qu'il prenne, et qui peuplent l'ouvrage de leur interminable retour. De cette traversée littéraire et unique du visible l'on ressort avec la conviction, ici posée comme une véritable expérience d'écriture et de lecture, que l'homme vit essentiellement dans les images.Note de contenu : Les cahiers de Salomone rédigés selon un protocole précis. Un travail littéraire inclassable qui prolonge sa production visuelle. Un exemple d'écriture qui, associant approche personnelle de l'image et verbalisation de sa plasticité, constitue une dimension spécifique de la production artistique. Le point d'Ithaque : cahiers 1991-2006 [texte imprimé] / Yvan Salomone (1957-....), Auteur . - Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO, 2010 . - 1 vol. (600 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-940159-40-6 : 32 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : Entre 1991 et 2006, Yvan Salomone a rédigé dix carnets de soixante pages chacun selon un protocole simple : chaque page a pour point de départ une aquarelle réalisée par l'artiste lui-même selon des règles très précises (utilisation d'une photographie comme embrayeur de l'image peinte, format immuable de cette dernière, absence de figure humaine, paysages industriels comme motifs quasi exclusifs du travail). De cette entreprise, qui se poursuit encore aujourd'hui, résulte ce livre inclassable.
Ni écrit d'artiste ni journal ni exégèse d'un travail visuel, Le Point d'Ithaque offre un exemple rare d'écriture qui associe approche personnelle voire intime de l'image et verbalisation de sa plasticité. Le texte vient donc après le dessin, après la peinture, le signe vient après le visible dans un retard qui le rend possible. Et pourtant c'est dans l'écriture elle-même que se produit quelque chose comme une vie supplémentaire, c'est-à-dire à part entière, de la représentation, puisqu'on imagine cette dernière à partir de la page qui l'écrit plus qu'elle ne la décrit autrement dit qui lui donne une autre incarnation, une autre existence matérielle et symbolique. Pas donc d'ekphrasis ici au sens classique et technique du terme mais bien l'exposition, la traversée, par Yvan Salomone lui-même, des multiples linéaments qui conduisent à faire une image.
On trouve d'autre part dans ces lignes des références explicites ou cryptiques à un univers de pensée qui est celui de l'auteur, un ensemble de textes et d'œuvres plastiques qui sont autant de hantises, de fantômes par lesquels passe chez lui le travail en général, quelque forme qu'il prenne, et qui peuplent l'ouvrage de leur interminable retour. De cette traversée littéraire et unique du visible l'on ressort avec la conviction, ici posée comme une véritable expérience d'écriture et de lecture, que l'homme vit essentiellement dans les images.Note de contenu : Les cahiers de Salomone rédigés selon un protocole précis. Un travail littéraire inclassable qui prolonge sa production visuelle. Un exemple d'écriture qui, associant approche personnelle de l'image et verbalisation de sa plasticité, constitue une dimension spécifique de la production artistique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 05807 ECRA SAL Livre Bibliothèque de l'EeSI Ecrits d'artistes Disponible Natacha Lesueur – Surfaces, merveilles et caprices / Thierry Davila
Titre : Natacha Lesueur – Surfaces, merveilles et caprices Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Davila, Auteur Editeur : Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO Année de publication : 2011 Importance : 208 pages (ill. coul.) Format : 22,5 x 27 cm (broché) ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940159-48-2 Prix : 32 € Langues : Français (fre) Index. décimale : MON Monographie Résumé : Depuis le début des années 1990, l'artiste française Natacha Lesueur invente un monde éminemment inscrit dans l'époque mais qui appartient aussi et profondément à la longue durée de l'histoire. Pour ce faire, elle utilise des ingrédients divers – toutes sortes d'aliments, de parures, de décors, de fantaisies et de merveilles – qu'elle accommode avec des parties du corps humain pour faire des images difficilement classables dans l'histoire de la photographie. Car si le corps, plus souvent celui de la femme que de l'homme, est un élément clé de cet univers virtuose, il ne permet pas, par exemple, de relier cette œuvre aux pratiques corporelles aujourd'hui les plus connues et les mieux repérées (celles du body art, notamment) : quelque chose d'autre est en jeu dans ces « appétissantes » représentations que les classifications actuelles ne nous aident en aucune manière à cerner et à épuiser.
C'est ce que montre cette monographie – la première consacrée à l'artiste – qui propose un parcours visuel complet dans une œuvre dont les développements récents sont aussi désarçonnants que les premières manifestations tout à la fois étranges, inquiétantes et attirantes parce que séduisantes. Du dégoût affleure à même la logique de la séduction, de la violence perle le long de décors élaborés avec une précision clinique, une fêlure profonde mine ces corps rarement photographiés dans leur entier car livrés à un morcellement insurmontable : voilà pour ce monde et ses aspects. Mais il y aussi une grande technicité mobilisée pour la confection de l'image, une invention qui confère à ces visions construites une singularité liée à leur étrangeté et leur capacité à surprendre : voilà pour leur appartenance actuelle à une forme – le caprice – profondément ancrée dans l'art et son histoire. De la photographie donc ou de son identité éminemment capricieuse.Note de contenu : La première monographie consacrée à l'artiste photographe française qui développe un travail très cohérent et personnel sur les thèmes du corps, de la nourriture et de l'image photographique elle-même Natacha Lesueur – Surfaces, merveilles et caprices [texte imprimé] / Thierry Davila, Auteur . - Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO, 2011 . - 208 pages (ill. coul.) ; 22,5 x 27 cm (broché).
ISBN : 978-2-940159-48-2 : 32 €
Langues : Français (fre)
Index. décimale : MON Monographie Résumé : Depuis le début des années 1990, l'artiste française Natacha Lesueur invente un monde éminemment inscrit dans l'époque mais qui appartient aussi et profondément à la longue durée de l'histoire. Pour ce faire, elle utilise des ingrédients divers – toutes sortes d'aliments, de parures, de décors, de fantaisies et de merveilles – qu'elle accommode avec des parties du corps humain pour faire des images difficilement classables dans l'histoire de la photographie. Car si le corps, plus souvent celui de la femme que de l'homme, est un élément clé de cet univers virtuose, il ne permet pas, par exemple, de relier cette œuvre aux pratiques corporelles aujourd'hui les plus connues et les mieux repérées (celles du body art, notamment) : quelque chose d'autre est en jeu dans ces « appétissantes » représentations que les classifications actuelles ne nous aident en aucune manière à cerner et à épuiser.
C'est ce que montre cette monographie – la première consacrée à l'artiste – qui propose un parcours visuel complet dans une œuvre dont les développements récents sont aussi désarçonnants que les premières manifestations tout à la fois étranges, inquiétantes et attirantes parce que séduisantes. Du dégoût affleure à même la logique de la séduction, de la violence perle le long de décors élaborés avec une précision clinique, une fêlure profonde mine ces corps rarement photographiés dans leur entier car livrés à un morcellement insurmontable : voilà pour ce monde et ses aspects. Mais il y aussi une grande technicité mobilisée pour la confection de l'image, une invention qui confère à ces visions construites une singularité liée à leur étrangeté et leur capacité à surprendre : voilà pour leur appartenance actuelle à une forme – le caprice – profondément ancrée dans l'art et son histoire. De la photographie donc ou de son identité éminemment capricieuse.Note de contenu : La première monographie consacrée à l'artiste photographe française qui développe un travail très cohérent et personnel sur les thèmes du corps, de la nourriture et de l'image photographique elle-même Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 07347 MON LES Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Disponible Marcel Duchamp & Henri-Pierre Roché / Scarlett et Philippe Reliquet
Titre : Marcel Duchamp & Henri-Pierre Roché : Correspondance – 1918-1959 Type de document : texte imprimé Auteurs : Scarlett et Philippe Reliquet, Auteur Editeur : Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO Année de publication : 2012 Importance : 304 pages (6 ill. n&b) Format : 17 x 24 (broché) ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940159-49-9 Prix : 22 € Langues : Français (fre) Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : En décembre 1916, Marcel Duchamp, devenu célèbre outre-Atlantique grâce à son Nu descendant un escalier exposé à l'Armory Show (1913), fait la rencontre de Henri-Pierre Roché, attaché à une mission diplomatique française aux États-Unis, collectionneur et homme de lettres, Don Juan très actif. La séduction est immédiate, réciproque. Marcel sera « Victor », et plus familièrement « Totor », pour Henri-Pierre qui est le premier des fidèles de Duchamp, et qui garde dès leur rencontre les Neuf Moules Mâlic, appelés entre eux Le Petit Verre, matrice de La Mariée mise à nu par ses célibataires, même, l'opus magnum de l'artiste.
Après 1919, l'amitié se renforce à Paris, les Carnets de Roché, quelques billets, des affaires artistiques et commerciales (en particulier l'acquisition en commun des Brancusi de la collection Quinn, l'aventure des Rotoreliefs) en témoignent. Cette relation, fidèle, exemplaire, est transcrite dans une Correspondance que les circonstances de guerre après 1940, et le choix de Marcel Duchamp de vivre aux États-Unis, rendent abondante, précise, familière. L'attention extrême que Roché porte à l'œuvre de Duchamp, et l'ironie affectueuse de ce dernier, constituent un témoignage très éclairant des relations de l'artiste à « ses choses », comme il appelle ses œuvres, et de leur lente réception, aux États-Unis et en France, après 1945.
Roché conserve à peu près toutes les lettres de son ami. Duchamp (et son épouse Teeny) seulement celles de Roché postérieures à 1953 – date à laquelle celui-ci publie son roman Jules et Jim. Les échanges sont continus, vifs, drôles, affectueux. Ils préparent parfois des séjours de Duchamp à Paris. Ils constituent un témoignage précieux, unique, qui illustre et met en scène sans aucun fard la personnalité singulière de Marcel Duchamp, cela jusqu'à la disparition de Henri-Pierre Roché en 1959.
La publication de cette Correspondance est un apport nouveau à la connaissance de ces deux personnalités comme à l'histoire d'une amitié sans faille de plus de quarante ans. Elle contribue à la compréhension de tout un pan de l'art du XXe siècle.Marcel Duchamp & Henri-Pierre Roché : Correspondance – 1918-1959 [texte imprimé] / Scarlett et Philippe Reliquet, Auteur . - Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO, 2012 . - 304 pages (6 ill. n&b) ; 17 x 24 (broché).
ISBN : 978-2-940159-49-9 : 22 €
Langues : Français (fre)
Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : En décembre 1916, Marcel Duchamp, devenu célèbre outre-Atlantique grâce à son Nu descendant un escalier exposé à l'Armory Show (1913), fait la rencontre de Henri-Pierre Roché, attaché à une mission diplomatique française aux États-Unis, collectionneur et homme de lettres, Don Juan très actif. La séduction est immédiate, réciproque. Marcel sera « Victor », et plus familièrement « Totor », pour Henri-Pierre qui est le premier des fidèles de Duchamp, et qui garde dès leur rencontre les Neuf Moules Mâlic, appelés entre eux Le Petit Verre, matrice de La Mariée mise à nu par ses célibataires, même, l'opus magnum de l'artiste.
Après 1919, l'amitié se renforce à Paris, les Carnets de Roché, quelques billets, des affaires artistiques et commerciales (en particulier l'acquisition en commun des Brancusi de la collection Quinn, l'aventure des Rotoreliefs) en témoignent. Cette relation, fidèle, exemplaire, est transcrite dans une Correspondance que les circonstances de guerre après 1940, et le choix de Marcel Duchamp de vivre aux États-Unis, rendent abondante, précise, familière. L'attention extrême que Roché porte à l'œuvre de Duchamp, et l'ironie affectueuse de ce dernier, constituent un témoignage très éclairant des relations de l'artiste à « ses choses », comme il appelle ses œuvres, et de leur lente réception, aux États-Unis et en France, après 1945.
Roché conserve à peu près toutes les lettres de son ami. Duchamp (et son épouse Teeny) seulement celles de Roché postérieures à 1953 – date à laquelle celui-ci publie son roman Jules et Jim. Les échanges sont continus, vifs, drôles, affectueux. Ils préparent parfois des séjours de Duchamp à Paris. Ils constituent un témoignage précieux, unique, qui illustre et met en scène sans aucun fard la personnalité singulière de Marcel Duchamp, cela jusqu'à la disparition de Henri-Pierre Roché en 1959.
La publication de cette Correspondance est un apport nouveau à la connaissance de ces deux personnalités comme à l'histoire d'une amitié sans faille de plus de quarante ans. Elle contribue à la compréhension de tout un pan de l'art du XXe siècle.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 07563 ECRA DUC Livre Bibliothèque de l'EeSI Ecrits d'artistes Disponible Mesdames et Messieurs – Conférences 1982-2010 / Thomas Huber
Titre : Mesdames et Messieurs – Conférences 1982-2010 Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Huber, Auteur ; Stefan Kunz, Préfacier, etc. ; Katia Schwerzmann, Traducteur Editeur : Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO Année de publication : 2012 Importance : 656 pages (221 ill. coul.) Format : 17 x 24 cm (broché, couv. à rabats) ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940159-50-5 Prix : 35 € Note générale : Anthologie illustrée (la traduction française de la quasi-totalité des discours, inséparables de l'œuvre peinte, tenus par Thomas Huber sur une trentaine d'années Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : Qu'est-ce qu'un tableau ? Qu'est-ce que le tableau ? Ce sont des questions infernales, parce que inépuisables, que Thomas Huber pose depuis le début des années 1980 en peignant des tableaux, quelquefois même des tableaux dans le tableau, et en prononçant devant ses images peintes des conférences sur les tableaux. Ainsi son œuvre revendique-t-elle l'existence d'un rapport indissoluble entre le visible et le dicible, entre ce qui est donné à voir et ce qui est donné à entendre et à lire, entre le théâtre dans la peinture et la parole prononcée, c'est-à-dire théâtralisée.
Cette anthologie propose des textes de Thomas Huber uniques en leur genre écrits entre 1982 et 2010, dont la plupart sont disponibles pour la première fois en français. On y découvrira des récits fictionnels, des épisodes autobiographiques, des rêves éveillés, des considérations philosophiques, des réflexions sur le rôle de l'art et de l'artiste dans le monde d'aujourd'hui, des histoires humoristiques et des remarques ironiques, tout cela proposé par un artiste dont l'œuvre visible et lisible s'apparie à une imagination souveraine.
Au fil de ces conférences à l'écriture acérée prononcées à l'occasion de vernissages ou d'inaugurations d'installations, c'est bien l'histoire des images dans sa longue durée qui est interrogée à travers une confiance absolue accordée aux pouvoirs de revitalisation du tableau. Et si « l'acte créateur est un mot prononcé », comme il est écrit dans ces pages, alors ce livre, par lequel Thomas Huber continue d'affirmer sa singularité sur la scène de l'art actuel, est un authentique acte de création.Note de contenu : L'œuvre de Thomas Huber repose sur l'idée que le monde est entièrement représentable. Une idée qui s'énonce partie par partie dans sa peinture sous forme de figures et de symboles que l'artiste commente dans des conférences inséparables de l'acte pictural. Mesdames et Messieurs – Conférences 1982-2010 [texte imprimé] / Thomas Huber, Auteur ; Stefan Kunz, Préfacier, etc. ; Katia Schwerzmann, Traducteur . - Genève : Musée d'art moderne et contemporain, MAMCO, 2012 . - 656 pages (221 ill. coul.) ; 17 x 24 cm (broché, couv. à rabats).
ISBN : 978-2-940159-50-5 : 35 €
Anthologie illustrée (la traduction française de la quasi-totalité des discours, inséparables de l'œuvre peinte, tenus par Thomas Huber sur une trentaine d'années
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : Qu'est-ce qu'un tableau ? Qu'est-ce que le tableau ? Ce sont des questions infernales, parce que inépuisables, que Thomas Huber pose depuis le début des années 1980 en peignant des tableaux, quelquefois même des tableaux dans le tableau, et en prononçant devant ses images peintes des conférences sur les tableaux. Ainsi son œuvre revendique-t-elle l'existence d'un rapport indissoluble entre le visible et le dicible, entre ce qui est donné à voir et ce qui est donné à entendre et à lire, entre le théâtre dans la peinture et la parole prononcée, c'est-à-dire théâtralisée.
Cette anthologie propose des textes de Thomas Huber uniques en leur genre écrits entre 1982 et 2010, dont la plupart sont disponibles pour la première fois en français. On y découvrira des récits fictionnels, des épisodes autobiographiques, des rêves éveillés, des considérations philosophiques, des réflexions sur le rôle de l'art et de l'artiste dans le monde d'aujourd'hui, des histoires humoristiques et des remarques ironiques, tout cela proposé par un artiste dont l'œuvre visible et lisible s'apparie à une imagination souveraine.
Au fil de ces conférences à l'écriture acérée prononcées à l'occasion de vernissages ou d'inaugurations d'installations, c'est bien l'histoire des images dans sa longue durée qui est interrogée à travers une confiance absolue accordée aux pouvoirs de revitalisation du tableau. Et si « l'acte créateur est un mot prononcé », comme il est écrit dans ces pages, alors ce livre, par lequel Thomas Huber continue d'affirmer sa singularité sur la scène de l'art actuel, est un authentique acte de création.Note de contenu : L'œuvre de Thomas Huber repose sur l'idée que le monde est entièrement représentable. Une idée qui s'énonce partie par partie dans sa peinture sous forme de figures et de symboles que l'artiste commente dans des conférences inséparables de l'acte pictural. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 07562 ECRA HUB Livre Bibliothèque de l'EeSI Ecrits d'artistes Disponible Sortir du cinéma – Histoire virtuelle des relations de l’art et du cinéma / Erik Bullot
PermalinkZoneblanche / Yvan Salomone
PermalinkL'exposition de mes rêves / Jean-Max Colard
PermalinkTrop humain / Thierry Davila ; David Lemaire ; Catherine Malabou ; Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge ; Musée d'art moderne et contemporain
PermalinkDuchampiana, [Volume] I. Essais datés / Thierry De Duve
PermalinkDissoudre les nuages / Peter Hutchinson
PermalinkMarcia Hafif / Éric de Chassey
PermalinkJeux sérieux
PermalinkL'écran comme mobile / Jean-Louis Boissier
PermalinkDé-finitions/méthodes 1973-2016 / Claude Rutault
PermalinkBernard Piffaretti / Bernard Piffaretti
PermalinkCafé noir / Alain Séchas
PermalinkEssais datés II - Adresses / Thierry De Duve
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