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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheLe commerce des regards / Marie-José Mondzain
Titre : Le commerce des regards Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-José Mondzain, Auteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : 2003 Collection : L'ordre philosophique Importance : 263 p. Présentation : ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-02-054170-X Note générale : En appendice, choix de documents Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Qu'est- ce que voir ? Qu'est-ce que dire ce que l'on voit ? Qu'est-ce que faire voir ? Qui dit ce qu'il finit voir ? Cette étude tente de dégager l'économie propre à l'image dans le marché des visibilités auquel tout concourt aujourd'hui à la réduire. Toute image ne fait-elle pas le deuil de son objet ? Comment se construit la légitimité et le sens du jugement portant sur des objets " iconiques " qui sont des figures émotionnelles ? La passion de l'image est indissociable en Occident du destin iconique de la Passion christique.
Cette passion ne s'est pas contentée d'articuler l'image à la doctrine de l'incarnation, elle a aussi fait l'objet d'un traitement institutionnel. Le vocabulaire de la chair s'est trouvé lié au lexique du corps de l'Eglise et, par la suite, à celui de tous les pouvoirs fondés sur l'adhésion et la soumission des regards. Décider d'une image est l'affaire d'un commerce, celui des êtres de parole qui ne cessent de faire circuler tous les signes qui produisent un monde commun.
L'économie du visible est un choix politique, celui du partage des goûts et des dégoûts, donc des formes sensibles où se jouent les figures de l'amour et de la haine, donc d'une humanité qui reste toujours à construire.Le commerce des regards [texte imprimé] / Marie-José Mondzain, Auteur . - Paris : Éd. du Seuil, 2003 . - 263 p. : ill. ; 21 cm. - (L'ordre philosophique) .
ISBN : 2-02-054170-X
En appendice, choix de documents
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Qu'est- ce que voir ? Qu'est-ce que dire ce que l'on voit ? Qu'est-ce que faire voir ? Qui dit ce qu'il finit voir ? Cette étude tente de dégager l'économie propre à l'image dans le marché des visibilités auquel tout concourt aujourd'hui à la réduire. Toute image ne fait-elle pas le deuil de son objet ? Comment se construit la légitimité et le sens du jugement portant sur des objets " iconiques " qui sont des figures émotionnelles ? La passion de l'image est indissociable en Occident du destin iconique de la Passion christique.
Cette passion ne s'est pas contentée d'articuler l'image à la doctrine de l'incarnation, elle a aussi fait l'objet d'un traitement institutionnel. Le vocabulaire de la chair s'est trouvé lié au lexique du corps de l'Eglise et, par la suite, à celui de tous les pouvoirs fondés sur l'adhésion et la soumission des regards. Décider d'une image est l'affaire d'un commerce, celui des êtres de parole qui ne cessent de faire circuler tous les signes qui produisent un monde commun.
L'économie du visible est un choix politique, celui du partage des goûts et des dégoûts, donc des formes sensibles où se jouent les figures de l'amour et de la haine, donc d'une humanité qui reste toujours à construire.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00950 PHI MON Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible La Communauté qui vient / Giorgio Agamben
Titre : La Communauté qui vient : théorie de la singularité quelconque Type de document : texte imprimé Auteurs : Giorgio Agamben, Auteur ; Marilène Raiola, Traducteur Editeur : [Paris] : Éd. du Seuil Année de publication : 1990 Collection : La Librairie du XXe siècle., ISSN 1144-6641 Importance : 118 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-012376-1 Prix : 69 F Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie La Communauté qui vient : théorie de la singularité quelconque [texte imprimé] / Giorgio Agamben, Auteur ; Marilène Raiola, Traducteur . - [Paris] : Éd. du Seuil, 1990 . - 118 p. ; 18 cm. - (La Librairie du XXe siècle., ISSN 1144-6641) .
ISBN : 978-2-02-012376-1 : 69 F
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 06006 PHI AGA Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le complément de sujet / Vincent Descombes
Titre : Le complément de sujet : enquête sur le fait d'agir de soi-même Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Descombes, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2004 Collection : NRF essais Importance : 521 p. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-076130-4 Note générale : Bibliogr. p. 511-516. Index Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le XXe siècle philosophique a été traversé, en Europe, par la querelle du sujet.
On en connaît les grandes étapes: le tournant idéaliste de la phénoménologie et la réaffirmation d'une orientation cartésienne de toute la philosophie (Husserl) ; l'essai d'une radicalisation existentielle (le l'idée du rapport à soi (Heidegger et Sartre) ; la démystification structuraliste qui fit (lu sujet une illusion d'optique ou un effet de langage; le dépassement des philosophies classiques de la conscience dans un dialogisme (Habermas) .
les travaux de restauration herméneutique d'un sujet rendu frugal par l'accent porté sur sa finitude, son historicité, sa dette (Gadamer, Ricœur). La guerre est finie. Les adversaires du sujet lui font une place à la condition que, tirant les leçons de l'expérience humaine, il soit divisé, fragmenté, souvent opaque à lui-même, voire impotent. Les tenants du sujet en conviennent, à la condition que l'idée n'en soit pas tenue pour illusoire.
Tous concluent que le sujet avait été conçu, à tort, comme doté de deux attributs auxquels il n'avait pas droit : la transparence et la souveraineté. Mais aussi due le sujet réformé peut et doit conserver sa place architectonique dans notre conception générale du monde et notre propre statut cosmologique. Telle est la grande illusion de la philosophie morale, politique ou de la cognition. Car il n'est pas certain qu'aujourd'hui la philosophie puisse dire ce qu'elle entend par sujet.
Sauf à revenir à la conception élémentaire, syntaxique, de complément du verbe, de sujet d'un agir soi-même. Ce sont là les raisons comme les enjeux de l'ébranlement qu'entreprend ce livre.Le complément de sujet : enquête sur le fait d'agir de soi-même [texte imprimé] / Vincent Descombes, Auteur . - Paris : Gallimard, 2004 . - 521 p. ; 23 cm. - (NRF essais) .
ISBN : 2-07-076130-4
Bibliogr. p. 511-516. Index
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le XXe siècle philosophique a été traversé, en Europe, par la querelle du sujet.
On en connaît les grandes étapes: le tournant idéaliste de la phénoménologie et la réaffirmation d'une orientation cartésienne de toute la philosophie (Husserl) ; l'essai d'une radicalisation existentielle (le l'idée du rapport à soi (Heidegger et Sartre) ; la démystification structuraliste qui fit (lu sujet une illusion d'optique ou un effet de langage; le dépassement des philosophies classiques de la conscience dans un dialogisme (Habermas) .
les travaux de restauration herméneutique d'un sujet rendu frugal par l'accent porté sur sa finitude, son historicité, sa dette (Gadamer, Ricœur). La guerre est finie. Les adversaires du sujet lui font une place à la condition que, tirant les leçons de l'expérience humaine, il soit divisé, fragmenté, souvent opaque à lui-même, voire impotent. Les tenants du sujet en conviennent, à la condition que l'idée n'en soit pas tenue pour illusoire.
Tous concluent que le sujet avait été conçu, à tort, comme doté de deux attributs auxquels il n'avait pas droit : la transparence et la souveraineté. Mais aussi due le sujet réformé peut et doit conserver sa place architectonique dans notre conception générale du monde et notre propre statut cosmologique. Telle est la grande illusion de la philosophie morale, politique ou de la cognition. Car il n'est pas certain qu'aujourd'hui la philosophie puisse dire ce qu'elle entend par sujet.
Sauf à revenir à la conception élémentaire, syntaxique, de complément du verbe, de sujet d'un agir soi-même. Ce sont là les raisons comme les enjeux de l'ébranlement qu'entreprend ce livre.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La Condition postmoderne / Jean-François Lyotard
Titre : La Condition postmoderne : rapport sur le savoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Lyotard, Auteur Editeur : Paris : Éditions de Minuit Année de publication : 1979 Collection : Collection "Critique" Importance : 109 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-0276-7 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Contribution à la discussion internationale sur la question de la légitimité : qu'est-ce qui permet aujourd'hui de dire qu'une loi est juste, un énoncé vrai ? Il y a eu les grands récits, l'émancipation du citoyen, la réalisation de l'Esprit, la société sans classes.
L'âge moderne y recourait pour légitimer ou critiquer ses savoirs et ses actes. L'homme postmoderne n'y croit plus. Les décideurs lui offrent pour perspective l'accroissement de la puissance et la pacification par la transparence communicationnelle. Mais il sait que le savoir quand il devient marchandise informationnelle est une source de profits et un moyen de décider et de contrôler. Où réside la légitimité, après les récits ? Dans la meilleure opérativité du système ? C'est un critère technologique, il ne permet pas de juger du vrai et du juste.
Dans le consensus ? Mais l'invention se fait dans le dissentiment. Pourquoi pas dans ce dernier ? La société qui vient relève moins d'une anthropologie newtonienne (comme le structuralisme ou la théorie des systèmes) et plus d'une pragmatique des particules langagières. Le savoir postmoderne n'est pas seulement l'instrument des pouvoirs : il raffine notre sensibilité aux différences et renforce notre capacité de supporter l'incommensurable.
Lui-même ne trouve pas sa raison dans l'homologie des experts, mais dans la paralogie des inventeurs. Et maintenant : une légitimation du lien social, une société juste, est-elle praticable selon un paradoxe analogue ? En quoi consiste celui-ci ?La Condition postmoderne : rapport sur le savoir [texte imprimé] / Jean-François Lyotard, Auteur . - Paris : Éditions de Minuit, 1979 . - 109 p. ; 22 cm. - (Collection "Critique") .
ISBN : 2-7073-0276-7
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Contribution à la discussion internationale sur la question de la légitimité : qu'est-ce qui permet aujourd'hui de dire qu'une loi est juste, un énoncé vrai ? Il y a eu les grands récits, l'émancipation du citoyen, la réalisation de l'Esprit, la société sans classes.
L'âge moderne y recourait pour légitimer ou critiquer ses savoirs et ses actes. L'homme postmoderne n'y croit plus. Les décideurs lui offrent pour perspective l'accroissement de la puissance et la pacification par la transparence communicationnelle. Mais il sait que le savoir quand il devient marchandise informationnelle est une source de profits et un moyen de décider et de contrôler. Où réside la légitimité, après les récits ? Dans la meilleure opérativité du système ? C'est un critère technologique, il ne permet pas de juger du vrai et du juste.
Dans le consensus ? Mais l'invention se fait dans le dissentiment. Pourquoi pas dans ce dernier ? La société qui vient relève moins d'une anthropologie newtonienne (comme le structuralisme ou la théorie des systèmes) et plus d'une pragmatique des particules langagières. Le savoir postmoderne n'est pas seulement l'instrument des pouvoirs : il raffine notre sensibilité aux différences et renforce notre capacité de supporter l'incommensurable.
Lui-même ne trouve pas sa raison dans l'homologie des experts, mais dans la paralogie des inventeurs. Et maintenant : une légitimation du lien social, une société juste, est-elle praticable selon un paradoxe analogue ? En quoi consiste celui-ci ?Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00929 PHI LYO Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible 00928 PHI LYO Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Conserver-restaurer / Jean-Pierre Cometti
Titre : Conserver-restaurer : l'oeuvre d'art à l'époque de sa préservation technique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Cometti, Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 2015 Collection : NRF essais, ISSN 0993-4685 Importance : 1 vol. (300 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-011532-7 Prix : 23 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La conservation et la restauration des oeuvres d'art sont en apparence les deux faces d'une même réalité. Les musées n'ont-ils pas pour mission d'exposer et de protéger leurs oeuvres ? Mais c'est compter sans une extension inédite des biens culturels et la propension à y inclure les choses les plus diverses, y compris les plus contemporaines. En sorte que ces deux missions peuvent devenir contradictoires.
Les termes qui caractérisent cette situation nouvelle (" patrimoine ", " curateur " qui s'est susbtitué à " commissaire ", etc.) indiquent la grande transformation : sous l'effet du marché de l'art, de la place qu'il occupe dans le monde de la finance et de la manière dont il s'est internationalisé, les oeuvres sont des biens qui ont un prix au même titre que d'autres. A cette valeur nouvelle s'ajoute l'importance prise par leur dimension contemporaine, puisque la mémoire dans nos sociétés est indissociable d'un rapport à l'histoire désormais centré non plus sur le passé mais sur le présent - un présent sans futur et qui est à lui-même son propre horizon.
Dans l'état présent de l'art et de la culture, entre les valeurs tournées vers le passé et celles qui pourraient projeter un futur, la différence s'est estompée. La patrimonialisation excède les seules valeurs du passé ; elle brasse jusqu'aux cultures les plus hérérogènes ; elle a pour objets le passé et le présent, l'homogène et l'exogène, l'ordinaire et l'extraordinaire. Elle reflète un rapport au temps qui privilégie l'immanence, tout en l'historicisant : loin de s'ouvrir sur la production d'un autre temps à venir, elle prend d'emblée le visage de l'histoire.
Ainsi se comprend la patrimonialisation du présent, et le souci croissant qui entoure désormais les productions contemporaines, y compris dans leurs composantes techniques, singulièrement créditées d'une valeur que leur obsolescence particulière rend d'autant plus digne d'intérêt. (note de l'éditeur)Conserver-restaurer : l'oeuvre d'art à l'époque de sa préservation technique [texte imprimé] / Jean-Pierre Cometti, Auteur . - [Paris] : Gallimard, 2015 . - 1 vol. (300 p.) ; 21 cm. - (NRF essais, ISSN 0993-4685) .
ISBN : 978-2-07-011532-7 : 23 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La conservation et la restauration des oeuvres d'art sont en apparence les deux faces d'une même réalité. Les musées n'ont-ils pas pour mission d'exposer et de protéger leurs oeuvres ? Mais c'est compter sans une extension inédite des biens culturels et la propension à y inclure les choses les plus diverses, y compris les plus contemporaines. En sorte que ces deux missions peuvent devenir contradictoires.
Les termes qui caractérisent cette situation nouvelle (" patrimoine ", " curateur " qui s'est susbtitué à " commissaire ", etc.) indiquent la grande transformation : sous l'effet du marché de l'art, de la place qu'il occupe dans le monde de la finance et de la manière dont il s'est internationalisé, les oeuvres sont des biens qui ont un prix au même titre que d'autres. A cette valeur nouvelle s'ajoute l'importance prise par leur dimension contemporaine, puisque la mémoire dans nos sociétés est indissociable d'un rapport à l'histoire désormais centré non plus sur le passé mais sur le présent - un présent sans futur et qui est à lui-même son propre horizon.
Dans l'état présent de l'art et de la culture, entre les valeurs tournées vers le passé et celles qui pourraient projeter un futur, la différence s'est estompée. La patrimonialisation excède les seules valeurs du passé ; elle brasse jusqu'aux cultures les plus hérérogènes ; elle a pour objets le passé et le présent, l'homogène et l'exogène, l'ordinaire et l'extraordinaire. Elle reflète un rapport au temps qui privilégie l'immanence, tout en l'historicisant : loin de s'ouvrir sur la production d'un autre temps à venir, elle prend d'emblée le visage de l'histoire.
Ainsi se comprend la patrimonialisation du présent, et le souci croissant qui entoure désormais les productions contemporaines, y compris dans leurs composantes techniques, singulièrement créditées d'une valeur que leur obsolescence particulière rend d'autant plus digne d'intérêt. (note de l'éditeur)Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 09632 PHI COM Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible La Crise de la culture / Hannah Arendt
PermalinkCritique de la faculté de juger / Emmanuel Kant
PermalinkLa croisée du visible / Jean-Luc Marion
PermalinkLe Dandysme, obligation d'incertitude / Françoise Coblence
PermalinkDérive à partir de Marx et de Freud / Jean-François Lyotard
PermalinkDerrida, Searle / Raoul Moati
PermalinkDésirs postcapitalistes / Mark Fisher
PermalinkDeux régimes de fous / Gilles Deleuze
PermalinkLa dialectique de la raison / Max Horkheimer
PermalinkDifférence et répétition / Gilles Deleuze
PermalinkLes diplomates / Baptiste Morizot
PermalinkDiscours, figure / Jean-François Lyotard
PermalinkDiscours sur les sciences et les arts / Jean-Jacques Rousseau
PermalinkDiscourse Networks 1800/1900 / Friedrich A. Kittler
PermalinkDes Dispositifs pulsionnels / Jean-François Lyotard
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