Titre : | Georges de La Tour et Pascal Quignard : XVIIe siècle | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pascal Quignard (1948-....), Auteur | Editeur : | Paris : Flohic | Année de publication : | 1991 | Collection : | Musées secrets num. 1 | Importance : | 80 p. | Présentation : | ill. en coul. | Format : | 32 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-908958-16-3 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | MON Monographie | Résumé : | Georges de la Tour n'est pas un peintre de cour.
C'est un gothique. Contempler la peinture conserve pour lui encore le vieux sens : prier devant l'image douloureuse. Pris entre les Leçons de Ténèbres de la musique baroque et les poèmes de la Nuit obscure de saint Jean de La Croix, Georges de La Tour peint le tête-à-tête, à l'aide d'une flamme, de l'homme avec lui-même. Autant de toiles qui sont construites comme de vastes énigmes, comme des exercices spirituels, qui requièrent chez celui qui les regarde une véritable oraison mentale.
Elles mettent en scène le Verbe devenu le silence. En citant largement les textes de l'époque, Pascal Quignard donne à voir un La Tour qui se détourne volontairement de la peinture de ses contemporains - et qui se retranche si bien de l'art classique qu'il finit inconnu.
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Georges de La Tour et Pascal Quignard : XVIIe siècle [texte imprimé] / Pascal Quignard (1948-....), Auteur . - Paris : Flohic, 1991 . - 80 p. : ill. en coul. ; 32 cm. - ( Musées secrets; 1) . ISBN : 2-908958-16-3 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | MON Monographie | Résumé : | Georges de la Tour n'est pas un peintre de cour.
C'est un gothique. Contempler la peinture conserve pour lui encore le vieux sens : prier devant l'image douloureuse. Pris entre les Leçons de Ténèbres de la musique baroque et les poèmes de la Nuit obscure de saint Jean de La Croix, Georges de La Tour peint le tête-à-tête, à l'aide d'une flamme, de l'homme avec lui-même. Autant de toiles qui sont construites comme de vastes énigmes, comme des exercices spirituels, qui requièrent chez celui qui les regarde une véritable oraison mentale.
Elles mettent en scène le Verbe devenu le silence. En citant largement les textes de l'époque, Pascal Quignard donne à voir un La Tour qui se détourne volontairement de la peinture de ses contemporains - et qui se retranche si bien de l'art classique qu'il finit inconnu.
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