| Titre : | Dear Jean Pierre | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | David Wojnarowicz, Auteur ; James Hoff (1975-....), Editeur scientifique | | Editeur : | New York, NY : Primary Information | | Année de publication : | 2023 | | Importance : | 1 vol. (601 p.) | | Présentation : | ill. en coul., couv. ill. en coul. | | Format : | 28 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-1-7377-9795-1 | | Prix : | 40 EUR | | Langues : | Anglais (eng) | | Mots-clés : | New York années 80 correspondance | | Index. décimale : | MON Monographie | | Résumé : | Dear Jean Pierre rassemble la correspondance transatlantique de David Wojnarowicz avec son amant parisien Jean Pierre Delage entre 1979 et 1982. Capturant un moment véritablement fondateur pour la pratique artistique et littéraire de Wojnarowicz, ces lettres ne révèlent pas seulement sa personnalité captivante - et la tendresse, la compassion et les névroses qui l'accompagnent - mais documentent aussi le développement du langage visuel qui allait le définir comme l'un des artistes prééminents de sa génération.
A travers cette collection, les lecteurs découvrent la série Rimbaud de Wojnarowicz, le groupe 3 Teens Kill 4, la publication de ses premières photographies, ses premières amitiés avec Peter Hujar, sa participation aux scènes artistiques et musicales alors émergentes de l'East Village, et les préparatifs pour la publication de son premier livre. Ces écrits comprennent des cartes postales, des dessins, des xérox, des photographies, des collages, des dépliants, des documents éphémères et des planches contact qui présentent certaines des images et des œuvres emblématiques de l'artiste, telles que le motif Burning House et Sans titre (Genet, d'après Brassai).
Au-delà de ces jalons, le livre offre un portrait saisissant de Wojnarowicz dans la vingtaine, détaillant sa vie quotidienne avec le type de sérieux débridé qui accompagne cet âge et la douceur de l'amour et du désir. Cette tendresse désarmante donne l'image d'un jeune homme qui commence tout juste à trouver sa voix dans le monde et l'amour qu'il y a trouvé.
Bien que les deux amants aient échangé des lettres à parts égales, les correspondances de Delage ont été en grande partie perdues, ne nous laissant qu'un aperçu révélateur du monde intérieur de Wojnarowicz au cours de ce qui s'est avéré être ses années de formation.
David Wojnarowicz (1954-1992) est né à Red Bank, New Jersey. Wojnarowicz a canalisé une vaste accumulation d'images brutes, de sons, de souvenirs et d'expériences vécues dans une voix puissante qui était une présence indéniable sur la scène artistique new-yorkaise des années 1970, 80 et au début des années 90. À travers ses nombreux volumes de fiction, poésie, mémoires, peinture, photographie, installation, sculpture, film et performance, Wojnarowicz a laissé un héritage, affirmant le pouvoir vivifiant de l'art dans une société qu'il considérait comme aliénante et corrosive. Son utilisation d’une sémiotique brutale et d’illustrations graphiques a révélé ce qu’il considérait comme réprimé par le courant dominant : la pauvreté, l’abus de pouvoir, le nationalisme aveugle, la cupidité, l’homophobie et la dévastation de l’épidémie de sida. Wojnarowicz est décédé des complications liées au sida le 22 juillet 1992 à l'âge de 37 ans. |
Dear Jean Pierre [texte imprimé] / David Wojnarowicz, Auteur ; James Hoff (1975-....), Editeur scientifique . - New York, NY : Primary Information, 2023 . - 1 vol. (601 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 28 cm. ISBN : 978-1-7377-9795-1 : 40 EUR Langues : Anglais ( eng) | Mots-clés : | New York années 80 correspondance | | Index. décimale : | MON Monographie | | Résumé : | Dear Jean Pierre rassemble la correspondance transatlantique de David Wojnarowicz avec son amant parisien Jean Pierre Delage entre 1979 et 1982. Capturant un moment véritablement fondateur pour la pratique artistique et littéraire de Wojnarowicz, ces lettres ne révèlent pas seulement sa personnalité captivante - et la tendresse, la compassion et les névroses qui l'accompagnent - mais documentent aussi le développement du langage visuel qui allait le définir comme l'un des artistes prééminents de sa génération.
A travers cette collection, les lecteurs découvrent la série Rimbaud de Wojnarowicz, le groupe 3 Teens Kill 4, la publication de ses premières photographies, ses premières amitiés avec Peter Hujar, sa participation aux scènes artistiques et musicales alors émergentes de l'East Village, et les préparatifs pour la publication de son premier livre. Ces écrits comprennent des cartes postales, des dessins, des xérox, des photographies, des collages, des dépliants, des documents éphémères et des planches contact qui présentent certaines des images et des œuvres emblématiques de l'artiste, telles que le motif Burning House et Sans titre (Genet, d'après Brassai).
Au-delà de ces jalons, le livre offre un portrait saisissant de Wojnarowicz dans la vingtaine, détaillant sa vie quotidienne avec le type de sérieux débridé qui accompagne cet âge et la douceur de l'amour et du désir. Cette tendresse désarmante donne l'image d'un jeune homme qui commence tout juste à trouver sa voix dans le monde et l'amour qu'il y a trouvé.
Bien que les deux amants aient échangé des lettres à parts égales, les correspondances de Delage ont été en grande partie perdues, ne nous laissant qu'un aperçu révélateur du monde intérieur de Wojnarowicz au cours de ce qui s'est avéré être ses années de formation.
David Wojnarowicz (1954-1992) est né à Red Bank, New Jersey. Wojnarowicz a canalisé une vaste accumulation d'images brutes, de sons, de souvenirs et d'expériences vécues dans une voix puissante qui était une présence indéniable sur la scène artistique new-yorkaise des années 1970, 80 et au début des années 90. À travers ses nombreux volumes de fiction, poésie, mémoires, peinture, photographie, installation, sculpture, film et performance, Wojnarowicz a laissé un héritage, affirmant le pouvoir vivifiant de l'art dans une société qu'il considérait comme aliénante et corrosive. Son utilisation d’une sémiotique brutale et d’illustrations graphiques a révélé ce qu’il considérait comme réprimé par le courant dominant : la pauvreté, l’abus de pouvoir, le nationalisme aveugle, la cupidité, l’homophobie et la dévastation de l’épidémie de sida. Wojnarowicz est décédé des complications liées au sida le 22 juillet 1992 à l'âge de 37 ans. |
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