Titre : | Ce qui arrive | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Paul Virilio, Auteur ; Svetlana Alexievitch, Auteur | Editeur : | Arles : Actes Sud | Année de publication : | 2002 | Autre Editeur : | Paris : Fondation Cartier pour l'art contemporain | Importance : | 226 p | Présentation : | ill. en noir et en coul. | Format : | 29 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7427-3997-4 | Prix : | 45 EUR | Note générale : | Catalogue de l'exposition, Fondation Cartier pour l'art contemporain (Paris), 29 novembre 2002 - 30 mars 2003 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Accident Crach Avion Train Attentat World Trade Center Irac AZF Catastrophe naturelle Volcan Tsunami Tornade | Index. décimale : | CAT exp Catalogues d'expositions | Résumé : | "L'accumulation met fin à l'impression de hasard". Lorsqu'en 1914 et 1915, Freud écrit cette phrase à propos de notre rapport à la mort, il ne croit pas si bien dire puisque la fin du second millénaire devait voir l'accumulation d'excès en tous genres, avec deux guerres mondiales, quarante années d'équilibre de la terreur et la multiplication sans précédent d'accidents majeurs. Mais le mot-clé de Freud est finalement celui du hasard. En effet, pas plus que la mort, la guerre ou l'accident ne sont des "hasards" - mais des œuvres indirectes le plus souvent fruits d'un génie où la démesure l'emporte sur la mesure et la déraison sur la sagesse des nations. |
Ce qui arrive [texte imprimé] / Paul Virilio, Auteur ; Svetlana Alexievitch, Auteur . - Arles : Actes Sud : Paris : Fondation Cartier pour l'art contemporain, 2002 . - 226 p : ill. en noir et en coul. ; 29 cm. ISBN : 978-2-7427-3997-4 : 45 EUR Catalogue de l'exposition, Fondation Cartier pour l'art contemporain (Paris), 29 novembre 2002 - 30 mars 2003 Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Accident Crach Avion Train Attentat World Trade Center Irac AZF Catastrophe naturelle Volcan Tsunami Tornade | Index. décimale : | CAT exp Catalogues d'expositions | Résumé : | "L'accumulation met fin à l'impression de hasard". Lorsqu'en 1914 et 1915, Freud écrit cette phrase à propos de notre rapport à la mort, il ne croit pas si bien dire puisque la fin du second millénaire devait voir l'accumulation d'excès en tous genres, avec deux guerres mondiales, quarante années d'équilibre de la terreur et la multiplication sans précédent d'accidents majeurs. Mais le mot-clé de Freud est finalement celui du hasard. En effet, pas plus que la mort, la guerre ou l'accident ne sont des "hasards" - mais des œuvres indirectes le plus souvent fruits d'un génie où la démesure l'emporte sur la mesure et la déraison sur la sagesse des nations. |
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