Titre : | Avant-gardes polonaises : dialogues historiques depuis Malevitch | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Dominique Szymusiak, Auteur ; Serge Fauchereau, Auteur ; Franck Marlot, Auteur ; Anka Ptaszkowska, Auteur ; Patrick Komorowski, Auteur ; Yannick Courbès, Auteur ; Emilie Ovaere, Auteur | Editeur : | Gand : Snoeck | Année de publication : | 2006 | Importance : | 103 p | Présentation : | ill. en noir et en coul. | Format : | 27 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 90-534-9618-1 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | CAT exp Catalogues d'expositions | Résumé : | L'exposition retrace l'aventure des plus grands artistes polonais du XXe siècle. Celle-ci commença dans les années 20, avec les fondateurs du groupe " a. r " ou artistes révolutionnaires formés par Malevitch, et se poursuivit à travers des orientations communes jusqu'à la période contemporaine. Élèves de Malevitch, Strzeminski et son épouse Kobro sont à l'origine des avant-gardes artistiques polonaises dans les années 20, fondateurs de "L'Unisme" qui tenta de faire l'unité de l'œuvre avec son environnement.
Avec Berlewi, Hiller et Stazewski, ils échangeront leurs idées avec les artistes abstraits des années 30 regroupés à Paris dans le mouvement "Abstraction - Création" qui les aideront à créer à Lodz le premier musée d'art abstrait, auquel Herbin participa. Szpakowski inventa la ligne unique, labyrinthique, rythmique. Des années plus tard, en 1974, Stazewski et Krasinski vont accueillir Buren dans leur atelier de Varsovie.
Ils exposent ensemble à Paris. Une "Cabane éclatée" de Buren devient la cimaise des œuvres de ses amis. La permanence des recherches dans l'abstraction construite est représentée dans l'exposition par des installations d'artistes appartenant à la scène polonaise contemporaine. Szewczyk, ou encore Starczewski qui développe un alphabet de signes et de symboles et le photographe Kossakowki témoignent d'un pluriel vivace.
Myslowski installe un portfolio de paysages urbains new-yorkais. Drozdz réalise une installation de poésie concrète. Opalka met le temps en action vers la disparition et l'effacement. Flicinski crée spécialement pour le musée une ellipse dont les dégradés de gris transforment l'espace sensible. |
Avant-gardes polonaises : dialogues historiques depuis Malevitch [texte imprimé] / Dominique Szymusiak, Auteur ; Serge Fauchereau, Auteur ; Franck Marlot, Auteur ; Anka Ptaszkowska, Auteur ; Patrick Komorowski, Auteur ; Yannick Courbès, Auteur ; Emilie Ovaere, Auteur . - Gand : Snoeck, 2006 . - 103 p : ill. en noir et en coul. ; 27 cm. ISBN : 90-534-9618-1 Bibliogr. Langues : Français ( fre) Index. décimale : | CAT exp Catalogues d'expositions | Résumé : | L'exposition retrace l'aventure des plus grands artistes polonais du XXe siècle. Celle-ci commença dans les années 20, avec les fondateurs du groupe " a. r " ou artistes révolutionnaires formés par Malevitch, et se poursuivit à travers des orientations communes jusqu'à la période contemporaine. Élèves de Malevitch, Strzeminski et son épouse Kobro sont à l'origine des avant-gardes artistiques polonaises dans les années 20, fondateurs de "L'Unisme" qui tenta de faire l'unité de l'œuvre avec son environnement.
Avec Berlewi, Hiller et Stazewski, ils échangeront leurs idées avec les artistes abstraits des années 30 regroupés à Paris dans le mouvement "Abstraction - Création" qui les aideront à créer à Lodz le premier musée d'art abstrait, auquel Herbin participa. Szpakowski inventa la ligne unique, labyrinthique, rythmique. Des années plus tard, en 1974, Stazewski et Krasinski vont accueillir Buren dans leur atelier de Varsovie.
Ils exposent ensemble à Paris. Une "Cabane éclatée" de Buren devient la cimaise des œuvres de ses amis. La permanence des recherches dans l'abstraction construite est représentée dans l'exposition par des installations d'artistes appartenant à la scène polonaise contemporaine. Szewczyk, ou encore Starczewski qui développe un alphabet de signes et de symboles et le photographe Kossakowki témoignent d'un pluriel vivace.
Myslowski installe un portfolio de paysages urbains new-yorkais. Drozdz réalise une installation de poésie concrète. Opalka met le temps en action vers la disparition et l'effacement. Flicinski crée spécialement pour le musée une ellipse dont les dégradés de gris transforment l'espace sensible. |
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