Titre : | Histoires de pouvoir | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Carlos Castaneda (1925-1998), Auteur ; Carmen Bernand, Traducteur | Editeur : | [Paris] : Gallimard | Année de publication : | 1978 | Collection : | Témoins | Importance : | 278 p | Format : | 22 cm | Langues : | Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Index. décimale : | LITT Littérature | Résumé : | Sur une place publique de la ville de Mexico, un homme agonise sous les yeux de Castaneda et de don Juan ; sur une autre place, le présage attendu par le disciple se présente sous les traits d'une belle jeune femme, à la tombée de la nuit.
Parcs urbains encombrés de passants et de badauds, marché, restaurant, compagnie d'aviation, tels sont les cadres choisis par le " maître ", habillé en citadin, pour libérer progressivement son disciple des contraintes de la raison et pour lui faire assumer pleinement sa condition de " guerrier ". Confronté à des expériences inexplicables mais convaincantes, Castaneda franchit les étapes qui séparent le " guerrier " de " l'homme de connaissance ".
A la fin du récit, quand don Juan dévoile l'explication des sorciers, en analysant les principales expériences que l'auteur avait vécues dans les précédents ouvrages ; l'apprenti deviendra sorcier lui-même, dans un dénouement terrifiant et surprenant. Castaneda déploie les ailes de sa perception et franchit les portes de l'inconnu, pour lequel il n'y a plus d'explication. Car malgré tous les éclaircissements, les actions merveilleuses des sorciers ne seront pour le lecteur que des histoires, des " histoires de pouvoir ". |
Histoires de pouvoir [texte imprimé] / Carlos Castaneda (1925-1998), Auteur ; Carmen Bernand, Traducteur . - [Paris] : Gallimard, 1978 . - 278 p ; 22 cm. - ( Témoins) . Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Index. décimale : | LITT Littérature | Résumé : | Sur une place publique de la ville de Mexico, un homme agonise sous les yeux de Castaneda et de don Juan ; sur une autre place, le présage attendu par le disciple se présente sous les traits d'une belle jeune femme, à la tombée de la nuit.
Parcs urbains encombrés de passants et de badauds, marché, restaurant, compagnie d'aviation, tels sont les cadres choisis par le " maître ", habillé en citadin, pour libérer progressivement son disciple des contraintes de la raison et pour lui faire assumer pleinement sa condition de " guerrier ". Confronté à des expériences inexplicables mais convaincantes, Castaneda franchit les étapes qui séparent le " guerrier " de " l'homme de connaissance ".
A la fin du récit, quand don Juan dévoile l'explication des sorciers, en analysant les principales expériences que l'auteur avait vécues dans les précédents ouvrages ; l'apprenti deviendra sorcier lui-même, dans un dénouement terrifiant et surprenant. Castaneda déploie les ailes de sa perception et franchit les portes de l'inconnu, pour lequel il n'y a plus d'explication. Car malgré tous les éclaircissements, les actions merveilleuses des sorciers ne seront pour le lecteur que des histoires, des " histoires de pouvoir ". |
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