Titre :	Marcher, créer : déplacements, flâneries, dérives dans l'art de la fin du XXe siècle
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Thierry Davila, Auteur
Editeur :	Paris : Regard
Année de publication :	2002
Importance :	191 p.
Présentation :	ill.en noir et en coul.
Format :	25 cm
ISBN/ISSN/EAN :	2-84105-154-4
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Gabriel Orozco  Francis Alÿs  Stalker  Erwin Wurm
Index. décimale :	HIST THE Histoire et théorie de l'art
Résumé :	Ce livre part d'un constat : une partie de l'art actuel accorde au déplacement un rôle majeur dans l'invention des oeuvres. En ce sens elle ne fait que participer de l'histoire générale de l'art dans laquelle la figure de l'homme qui marche est essentielle. La façon cependant dont cette question est aujourd'hui traitée par les artistes est suffisamment singulière pour mériter une analyse à part entière. C'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui n'est pas un panorama de la fonction plastique du nomadisme mais un choix opéré à partir de recherches contemporaines (essentiellement Gabriel Orozco, Francis Alÿs, le laboratoire Stalker) exemplaires de cette question dont il met en évidence les règles et les mécanismes d'action. Apparaît alors un univers où le déplacement est non seulement le moyen d'une translation spatiale mais également un fait psychique, un outil de fiction ou encore l'autre nom de la production. Cette cinéplastique qui fait de la ville son théâtre d'opérations, ces déplacements aux multiples résonances tracent le visage d'un monde où le réel est un processus. C'est le côté " chinois " de ces artistes et de leurs oeuvres.
Note de contenu :	Une cinéplastique en héritage. Petite généalogie du déplacement dans l'art de la fin du XXe siècle. Piéton planétaire I. Gabriel Orozco : pas perdus (Walking City). Piéton planétaire II. Francis Alÿs : chemin faisant (Mundus et Fabula). Piéton planétaire III. Stalker : arpenter les devenirs (cartographie et sismographie des territoires). Des dispositifs cinéplastiques. "Croire au monde..."

Marcher, créer : déplacements, flâneries, dérives dans l'art de la fin du XXe siècle [texte imprimé] / Thierry Davila, Auteur . - Paris : Regard, 2002 . - 191 p. : ill.en noir et en coul. ; 25 cm.
ISBN : 2-84105-154-4
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Gabriel Orozco  Francis Alÿs  Stalker  Erwin Wurm
Index. décimale :	HIST THE Histoire et théorie de l'art
Résumé :	Ce livre part d'un constat : une partie de l'art actuel accorde au déplacement un rôle majeur dans l'invention des oeuvres. En ce sens elle ne fait que participer de l'histoire générale de l'art dans laquelle la figure de l'homme qui marche est essentielle. La façon cependant dont cette question est aujourd'hui traitée par les artistes est suffisamment singulière pour mériter une analyse à part entière. C'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui n'est pas un panorama de la fonction plastique du nomadisme mais un choix opéré à partir de recherches contemporaines (essentiellement Gabriel Orozco, Francis Alÿs, le laboratoire Stalker) exemplaires de cette question dont il met en évidence les règles et les mécanismes d'action. Apparaît alors un univers où le déplacement est non seulement le moyen d'une translation spatiale mais également un fait psychique, un outil de fiction ou encore l'autre nom de la production. Cette cinéplastique qui fait de la ville son théâtre d'opérations, ces déplacements aux multiples résonances tracent le visage d'un monde où le réel est un processus. C'est le côté " chinois " de ces artistes et de leurs oeuvres.
Note de contenu :	Une cinéplastique en héritage. Petite généalogie du déplacement dans l'art de la fin du XXe siècle. Piéton planétaire I. Gabriel Orozco : pas perdus (Walking City). Piéton planétaire II. Francis Alÿs : chemin faisant (Mundus et Fabula). Piéton planétaire III. Stalker : arpenter les devenirs (cartographie et sismographie des territoires). Des dispositifs cinéplastiques. "Croire au monde..."