Titre : | Seigneurs et nouvelles créatures | Titre original : | Lords and the new creatures | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jim Morrison (1943-1971), Auteur ; Yves Buin, Traducteur ; Richelle Dassin, Traducteur | Mention d'édition : | Edition bilingue | Editeur : | Paris : Union générale d'éditions | Année de publication : | 1978 | Collection : | 10/18 num. 1219 | Importance : | 263 p | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-264-00861-X | Langues : | Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Index. décimale : | POE poésie | Résumé : | Jim Morrison qui ne concevait pas d'être Pop Star à trente ans, se voulait avant tout un écrivain. Paradoxalement, c'est en "poète maudit" qu'il édita, à compte d'auteur, la première édition de son recueil de poèmes : The Lords and the New Creatures. Dans ces textes, traduits ici, c'est l'envers du décor Doors-Morrison et sans doute la face cachée des mythiques années soixante qui apparaît : l'aveu lucide de l'inhumanité de l'Amérique, de la solitude et du cauchemar. Le tout, vécu et restitué, au travers d'un sens privilégié des images et de la simplicité naïve des mots, dû à la formation cinématographique de Jim Morrison avec sans doute le rêve d'un grand film métaphorique et impitoyable sur le réel américain. |
Seigneurs et nouvelles créatures = Lords and the new creatures [texte imprimé] / Jim Morrison (1943-1971), Auteur ; Yves Buin, Traducteur ; Richelle Dassin, Traducteur . - Edition bilingue . - Paris : Union générale d'éditions, 1978 . - 263 p ; 18 cm. - ( 10/18; 1219) . ISBN : 2-264-00861-X Langues : Anglais ( eng) Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Index. décimale : | POE poésie | Résumé : | Jim Morrison qui ne concevait pas d'être Pop Star à trente ans, se voulait avant tout un écrivain. Paradoxalement, c'est en "poète maudit" qu'il édita, à compte d'auteur, la première édition de son recueil de poèmes : The Lords and the New Creatures. Dans ces textes, traduits ici, c'est l'envers du décor Doors-Morrison et sans doute la face cachée des mythiques années soixante qui apparaît : l'aveu lucide de l'inhumanité de l'Amérique, de la solitude et du cauchemar. Le tout, vécu et restitué, au travers d'un sens privilégié des images et de la simplicité naïve des mots, dû à la formation cinématographique de Jim Morrison avec sans doute le rêve d'un grand film métaphorique et impitoyable sur le réel américain. |
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