Titre : | L'apprentissage de la ville | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Luc Dietrich, Auteur ; Lanza del Vasto, Auteur | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | 1973 | Collection : | Folio num. 418 | Importance : | 369 p | Format : | 18 cm | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | LITT Littérature | Résumé : | " Mais c'est tout éveillé qu'il nous faudrait craquer comme la graine crie et se fend, jaillir au-dessus des insectes, des épis, des grands arbres, des grands rocs, des grands nuages oublieux, de la nuit froide et creuse sous qui les astres pendent, enfoncer la croûte du ciel et marcher dans les chemins où nous rencontrerons nos fruits.
" L'Apprentissage de la ville reprend en 1942 la confession entamée sept ans plus tôt avec Le Bonheur des tristes. Ce deuxième " roman " que Dietrich mit au service d'une intransigeante et éclatante quête de soi devait également témoigner de l'aveuglement et de la veulerie de la société chavirée de l'entre-deux-guerres, incapable de s'éveiller et de regarder dans son propre tumulte. L'auteur y est, écrira Jacques Madaule, le " témoin incorruptible de sa propre corruption, de la nôtre et de celle du siècle ". |
L'apprentissage de la ville [texte imprimé] / Luc Dietrich, Auteur ; Lanza del Vasto, Auteur . - Paris : Gallimard, 1973 . - 369 p ; 18 cm. - ( Folio; 418) . Langues : Français ( fre) Index. décimale : | LITT Littérature | Résumé : | " Mais c'est tout éveillé qu'il nous faudrait craquer comme la graine crie et se fend, jaillir au-dessus des insectes, des épis, des grands arbres, des grands rocs, des grands nuages oublieux, de la nuit froide et creuse sous qui les astres pendent, enfoncer la croûte du ciel et marcher dans les chemins où nous rencontrerons nos fruits.
" L'Apprentissage de la ville reprend en 1942 la confession entamée sept ans plus tôt avec Le Bonheur des tristes. Ce deuxième " roman " que Dietrich mit au service d'une intransigeante et éclatante quête de soi devait également témoigner de l'aveuglement et de la veulerie de la société chavirée de l'entre-deux-guerres, incapable de s'éveiller et de regarder dans son propre tumulte. L'auteur y est, écrira Jacques Madaule, le " témoin incorruptible de sa propre corruption, de la nôtre et de celle du siècle ". |
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