ouverture:
du lundi au jeudi:9h - 12h30 et 14h - 18h
vendredi: 9h - 12h30 et 14h - 17h
fermeture durant les vacances scolaires.
Bibliothèque accessible au public extérieur sur rendez-vous.
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les catégories... |
Détail d'une collection
Collection Fables du lieu
- Editeur : Minuit
- ISSN : pas d'ISSN
Documents disponibles dans la collection
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheÊtre crâne / Georges Didi-Huberman
Titre : Être crâne : lieu, contact, pensée, sculpture Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Minuit Année de publication : 2000 Collection : Fables du lieu Importance : 91 p. Présentation : ill. en noir Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1707-1 Langues : Français (fre) Mots-clés : Guiseppe Penone contact empreinte sculpture Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Giuseppe Penone passe d'abord par un travail avec le contact : une dynamique de l'empreinte, par laquelle l'espace se trouve à la fois reporté et renversé, c'est-à-dire tactilement connu et mis sens dessus dessous. Dans un tel processus, c'est le matériau lui-même qui porte mémoire.
Mais qu'est-ce qu'une sculpture qui aurait pour charge de toucher la pensée ? Penone est parti de la " cécité tactile " qui nous empêche de percevoir le contact de notre cerveau avec la face interne de notre crâne. L'œuvre consiste à faire trace - frottages, reports, développements - de cette insensible zone de contact. Le résultat est une sorte de fossile du cerveau : lieu de pensée, c'est-à-dire lieu pour se perdre et pour réfuter l'espace.
Voilà donc sculpté ce qui nous habite et nous incorpore en même temps.Note de contenu : Etre boîte
Etre oignon
Etre escargot
Etre aître
Etre fleuve
Etre fouille
Etre fossile
Etre feuille
Etre lieuÊtre crâne : lieu, contact, pensée, sculpture [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Minuit, 2000 . - 91 p. : ill. en noir ; 19 cm. - (Fables du lieu) .
ISBN : 2-7073-1707-1
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Guiseppe Penone contact empreinte sculpture Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Giuseppe Penone passe d'abord par un travail avec le contact : une dynamique de l'empreinte, par laquelle l'espace se trouve à la fois reporté et renversé, c'est-à-dire tactilement connu et mis sens dessus dessous. Dans un tel processus, c'est le matériau lui-même qui porte mémoire.
Mais qu'est-ce qu'une sculpture qui aurait pour charge de toucher la pensée ? Penone est parti de la " cécité tactile " qui nous empêche de percevoir le contact de notre cerveau avec la face interne de notre crâne. L'œuvre consiste à faire trace - frottages, reports, développements - de cette insensible zone de contact. Le résultat est une sorte de fossile du cerveau : lieu de pensée, c'est-à-dire lieu pour se perdre et pour réfuter l'espace.
Voilà donc sculpté ce qui nous habite et nous incorpore en même temps.Note de contenu : Etre boîte
Etre oignon
Etre escargot
Etre aître
Etre fleuve
Etre fouille
Etre fossile
Etre feuille
Etre lieuExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00141 HIST THE DID Livre Bibliothèque de l'EeSI Histoire et Théorie de l'Art Disponible Génie du non-lieu / Georges Didi-Huberman
Titre : Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Minuit Année de publication : 2001 Collection : Fables du lieu Importance : 156 p. Présentation : ill. en noir Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1737-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Claudio Parmiggiani fumée suie cendres poussière conbustion : Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Claudio Parmiggiani dans la série d'œuvres intitulée Delocazione passe d'abord par un travail avec le souffle : c'est une lourde fumée qui exhale et dépose sa suie, sa cendre, sa poussière le combustion, créant ici toutes les formes à voir. Le résultat : une immense grisaille, un lieu pour l'ascèse de la couleur, l'absence des objets, le mouvement imprévisible des volutes, le règne des ombres, le silence d'une nature morte obsidionale.
L'air devient le médium essentiel de cette œuvre, il s'éprouve comme une haleine expirée des murs eux-mêmes. Il devient le porte-empreinte de toute image. Impossible, dès lors, de ne pas interroger ce souffle - qui détruit l'espace familier autant qu'il produit le lieu de l'œuvre - à l'aune d'une mémoire où l'histoire de la peinture rencontrera les fantômes d'Hiroshima. Cet air mouvant, densifié, tactile, exhale d'abord du temps : des survivances, des hantises.
Le résultat est un genre inédit de l'inquiétante étrangeté. Et c'est dans la poussière que nous aurons à le découvrir.Note de contenu : Maison brulée (murs, flammes, cendres)
Espace soufflé
Elevage de poussière
Nature morte en grisaille
Sculpture d'ombre
Maison hantée (cendres, air, murs)Génie du non-lieu : air, poussière, empreinte, hantise [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Minuit, 2001 . - 156 p. : ill. en noir ; 19 cm. - (Fables du lieu) .
ISBN : 2-7073-1737-3
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Claudio Parmiggiani fumée suie cendres poussière conbustion : Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Claudio Parmiggiani dans la série d'œuvres intitulée Delocazione passe d'abord par un travail avec le souffle : c'est une lourde fumée qui exhale et dépose sa suie, sa cendre, sa poussière le combustion, créant ici toutes les formes à voir. Le résultat : une immense grisaille, un lieu pour l'ascèse de la couleur, l'absence des objets, le mouvement imprévisible des volutes, le règne des ombres, le silence d'une nature morte obsidionale.
L'air devient le médium essentiel de cette œuvre, il s'éprouve comme une haleine expirée des murs eux-mêmes. Il devient le porte-empreinte de toute image. Impossible, dès lors, de ne pas interroger ce souffle - qui détruit l'espace familier autant qu'il produit le lieu de l'œuvre - à l'aune d'une mémoire où l'histoire de la peinture rencontrera les fantômes d'Hiroshima. Cet air mouvant, densifié, tactile, exhale d'abord du temps : des survivances, des hantises.
Le résultat est un genre inédit de l'inquiétante étrangeté. Et c'est dans la poussière que nous aurons à le découvrir.Note de contenu : Maison brulée (murs, flammes, cendres)
Espace soufflé
Elevage de poussière
Nature morte en grisaille
Sculpture d'ombre
Maison hantée (cendres, air, murs)Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11119 HIST THE DID Livre Bibliothèque de l'EeSI Histoire et Théorie de l'Art Disponible L'étoilement / Georges Didi-Huberman
Titre : L'étoilement : conversation avec Hantaï Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Minuit Année de publication : 1998 Collection : Fables du lieu Importance : 123 p. Présentation : ill. en noir Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1630-X Langues : Français (fre) Mots-clés : Simon Hantaï toile pliage Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces jusqu'alors impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Simon Hantaï passe d'abord par un travail avec la toile : matériau tactile, outil d'empreintes et de modulations plutôt qu'écran de projection, support, voire l'organisme vivant du "pliage comme méthode", cette procédure que le peintre a développée jusqu'à ses limites extrêmes. La "toile au travail" est ici présentée comme une fable d'objets textiles - le filet, la maille, le tablier, la faille, la serpillière, le linceul, etc.
- où se raconte l'accouchement du tableau, son entoilement, jusqu'à l'étoilement généralisé qu'impose à nos regards la peinture de Hantaï. Pour cette conversation, le peintre sort d'une longue réserve. Ses mots eux-mêmes sont autant de nœuds ou d'étoilements dans le tissu de notre pensée sur l'art.Note de contenu : Bâillon
Filet
Tablier
Poche
Treillis
Etoile
SerpillèreL'étoilement : conversation avec Hantaï [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Minuit, 1998 . - 123 p. : ill. en noir ; 19 cm.. - (Fables du lieu) .
ISBN : 2-7073-1630-X
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Simon Hantaï toile pliage Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces jusqu'alors impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Simon Hantaï passe d'abord par un travail avec la toile : matériau tactile, outil d'empreintes et de modulations plutôt qu'écran de projection, support, voire l'organisme vivant du "pliage comme méthode", cette procédure que le peintre a développée jusqu'à ses limites extrêmes. La "toile au travail" est ici présentée comme une fable d'objets textiles - le filet, la maille, le tablier, la faille, la serpillière, le linceul, etc.
- où se raconte l'accouchement du tableau, son entoilement, jusqu'à l'étoilement généralisé qu'impose à nos regards la peinture de Hantaï. Pour cette conversation, le peintre sort d'une longue réserve. Ses mots eux-mêmes sont autant de nœuds ou d'étoilements dans le tissu de notre pensée sur l'art.Note de contenu : Bâillon
Filet
Tablier
Poche
Treillis
Etoile
SerpillèreExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00142 HIST THE DID Livre Bibliothèque de l'EeSI Histoire et Théorie de l'Art Disponible L'homme qui marchait dans la couleur / Georges Didi-Huberman
Titre : L'homme qui marchait dans la couleur Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Minuit Année de publication : 2001 Collection : Fables du lieu Importance : 93 p. Présentation : ill. en noir Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1736-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : James Turell absence lieu lumière sculpture immatériel Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente James Turrell passe d'abord par un travail avec la lumière : matériau incandescent ou bien nocturne, évanescent ou bien massif. Turrell est, en effet, un sculpteur qui donne masse et consistance à ces choses (mal) dites immatérielles que sont la couleur, l'espacement, la limite, le ciel, l'horizon, la nuit, l'immensité du désert.
Ses Chambres à voir construisent des lieux où voir a lieu, c'est-à-dire où voir devient l'expérience de la chôra, ce lieu " matriciel ", cette fable topique inventée par Platon dans le Timée. Quelque chose qui évoquerait aussi ce que les psychanalystes nomment des " rêves blancs ". La sculpture de Turrell - sculpture de surplombs, de ciels et de volcans - est ici présentée comme une fable de cheminements sans fin.
En sorte que regarder une œuvre d'art équivaudrait à marcher dans un désert.Note de contenu : Marcher dans le désert
Marcher dan la lumière
Marcher dans la couleur
Marcher dans l'espacement
Marcher dans la limite
Marcher sous le regard du ciel
Tomber dans la fable du lieuL'homme qui marchait dans la couleur [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Minuit, 2001 . - 93 p. : ill. en noir ; 19 cm.. - (Fables du lieu) .
ISBN : 2-7073-1736-5
Langues : Français (fre)
Mots-clés : James Turell absence lieu lumière sculpture immatériel Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente James Turrell passe d'abord par un travail avec la lumière : matériau incandescent ou bien nocturne, évanescent ou bien massif. Turrell est, en effet, un sculpteur qui donne masse et consistance à ces choses (mal) dites immatérielles que sont la couleur, l'espacement, la limite, le ciel, l'horizon, la nuit, l'immensité du désert.
Ses Chambres à voir construisent des lieux où voir a lieu, c'est-à-dire où voir devient l'expérience de la chôra, ce lieu " matriciel ", cette fable topique inventée par Platon dans le Timée. Quelque chose qui évoquerait aussi ce que les psychanalystes nomment des " rêves blancs ". La sculpture de Turrell - sculpture de surplombs, de ciels et de volcans - est ici présentée comme une fable de cheminements sans fin.
En sorte que regarder une œuvre d'art équivaudrait à marcher dans un désert.Note de contenu : Marcher dans le désert
Marcher dan la lumière
Marcher dans la couleur
Marcher dans l'espacement
Marcher dans la limite
Marcher sous le regard du ciel
Tomber dans la fable du lieuExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 09206 HIST THE DID Livre Bibliothèque de l'EeSI Histoire et Théorie de l'Art Disponible La demeure, la souche / Georges Didi-Huberman
Titre : La demeure, la souche : apparentements de l'artiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Didi-Huberman, Auteur Editeur : Paris : Minuit Année de publication : 1999 Collection : Fables du lieu Importance : 179 p. Présentation : ill. en noir Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1681-4 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pascal Convert lieux temps appartement mémoire architecture Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces jusqu'alors improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Pascal Convert passe d'abord par un travail avec le temps : découpes de sites disparus, empreintes d'objets familiaux, vitrifications d'espaces de vie. La question topique de la demeure - l'appartement - se voit ici pensée comme une question généalogique, une question d'apparentement.
L'œuvre de ce sculpteur - que hante la littérature de Mallarmé, d'Edgar Poe ou de Marcel Proust - sera donc exposée comme le récit d'exploration d'une étrange demeure de mémoire : pousser une porte inconnue, traverser un salon à lambris et à reflets, contempler des fenêtres qui donnent sur le sol, découvrir de mystérieuses anfractuosités dans le mur, descendre vers la crypte de l'ancêtre... Dans cette fable, que mène secrètement le personnage d'Igitur, se construira le lieu commun d'une rêverie architecturale et d'une rêverie organique. Mais se révélera aussi un lieu commun au dessin et au temps : ligne avec lignage, trait avec extraction.
Comme une souche d'arbre gravant en sa chair les traits de sa croissance, de ses accidents, de ses excroissances et, même, des circonstances de sa mort.Note de contenu : La demeure
Porte
Façade avec toiture
Trois pièces vides
Fenêtres sur la mer
Salon avec lambris
Meubles et bibelots
Porte vitrée
Rampe d'escalier
Chambre à coucher
Chambre de l'ancètre
Mur avec anfractuosités
Crypte
Porte
La soucheLa demeure, la souche : apparentements de l'artiste [texte imprimé] / Georges Didi-Huberman, Auteur . - Paris : Minuit, 1999 . - 179 p. : ill. en noir ; 19 cm. - (Fables du lieu) .
ISBN : 2-7073-1681-4
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pascal Convert lieux temps appartement mémoire architecture Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : L'artiste est inventeur de lieux.
Il façonne, il donne chair à des espaces jusqu'alors improbables, impossibles ou impensables : apories, fables topiques. Le genre de lieux qu'invente Pascal Convert passe d'abord par un travail avec le temps : découpes de sites disparus, empreintes d'objets familiaux, vitrifications d'espaces de vie. La question topique de la demeure - l'appartement - se voit ici pensée comme une question généalogique, une question d'apparentement.
L'œuvre de ce sculpteur - que hante la littérature de Mallarmé, d'Edgar Poe ou de Marcel Proust - sera donc exposée comme le récit d'exploration d'une étrange demeure de mémoire : pousser une porte inconnue, traverser un salon à lambris et à reflets, contempler des fenêtres qui donnent sur le sol, découvrir de mystérieuses anfractuosités dans le mur, descendre vers la crypte de l'ancêtre... Dans cette fable, que mène secrètement le personnage d'Igitur, se construira le lieu commun d'une rêverie architecturale et d'une rêverie organique. Mais se révélera aussi un lieu commun au dessin et au temps : ligne avec lignage, trait avec extraction.
Comme une souche d'arbre gravant en sa chair les traits de sa croissance, de ses accidents, de ses excroissances et, même, des circonstances de sa mort.Note de contenu : La demeure
Porte
Façade avec toiture
Trois pièces vides
Fenêtres sur la mer
Salon avec lambris
Meubles et bibelots
Porte vitrée
Rampe d'escalier
Chambre à coucher
Chambre de l'ancètre
Mur avec anfractuosités
Crypte
Porte
La soucheExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00143 HIST THE DID Livre Bibliothèque de l'EeSI Histoire et Théorie de l'Art Disponible