Titre : | Gödel, Escher, Bach : les brins d'une guirlande éternelle | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Douglas R. Hofstadter (1945-....), Auteur | Editeur : | Paris : Dunod | Année de publication : | 2005 | Importance : | XXXI-883 p. | Présentation : | ill. en noir | Format : | 24 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-10-005435-X | Note générale : | Bibliogr. Index | Langues : | Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Index. décimale : | SCI sciences | Résumé : | Il est bien rare de découvrir un ouvrage qui nous transporte littéralement dans des mondes nouveaux grâce à l'ampleur de son érudition, à la beauté et à la joie créatrice de son style et, par-dessus tout, grâce à son pouvoir de lier entre eux des domaines de la connaissance apparemment totalement étrangers les uns aux autres. Gödel, Escher, Bach est l'un de ces livres.
Un jeune et brillant professeur d'informatique établit des liens entre les gravures d'Escher, la musique de Bach et la logique mathématique. Il nous rend intelligibles des similitudes cachées entre des domaines aussi variés que la biologie, la psychologie, la physique, la linguistique et éclaire l'un des mystères de la philosophie scientifique moderne : notre apparente inaptitude à comprendre la nature de nos propres processus de pensée. Cette recherche nous renvoie aux célèbres paradoxes des anciens Grecs, mais aussi à l'apport révolutionnaire du mathématicien Kurt Gödel.
Dans les deux cas elle aboutit au phénomène d'auto-référence : tout langage, tout programme d'ordinateur, tout processus de pensée, lorsqu'il s'exprime à propos de lui-même, crée une structure comparable aux miroirs se réfléchissant à l'infini. |
Gödel, Escher, Bach : les brins d'une guirlande éternelle [texte imprimé] / Douglas R. Hofstadter (1945-....), Auteur . - Paris : Dunod, 2005 . - XXXI-883 p. : ill. en noir ; 24 cm. ISBN : 2-10-005435-X Bibliogr. Index Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Index. décimale : | SCI sciences | Résumé : | Il est bien rare de découvrir un ouvrage qui nous transporte littéralement dans des mondes nouveaux grâce à l'ampleur de son érudition, à la beauté et à la joie créatrice de son style et, par-dessus tout, grâce à son pouvoir de lier entre eux des domaines de la connaissance apparemment totalement étrangers les uns aux autres. Gödel, Escher, Bach est l'un de ces livres.
Un jeune et brillant professeur d'informatique établit des liens entre les gravures d'Escher, la musique de Bach et la logique mathématique. Il nous rend intelligibles des similitudes cachées entre des domaines aussi variés que la biologie, la psychologie, la physique, la linguistique et éclaire l'un des mystères de la philosophie scientifique moderne : notre apparente inaptitude à comprendre la nature de nos propres processus de pensée. Cette recherche nous renvoie aux célèbres paradoxes des anciens Grecs, mais aussi à l'apport révolutionnaire du mathématicien Kurt Gödel.
Dans les deux cas elle aboutit au phénomène d'auto-référence : tout langage, tout programme d'ordinateur, tout processus de pensée, lorsqu'il s'exprime à propos de lui-même, crée une structure comparable aux miroirs se réfléchissant à l'infini. |
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