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Auteur Gérard Chazal
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheLa dialectique de la forme et de la matière. / Gérard Chazal
Titre : La dialectique de la forme et de la matière. Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Chazal Editeur : Poïesis n°13 Année de publication : 2001 Importance : architecture Note générale : Actes/séminaire: "La Matière et l'Idée".
Mots-clés : *non renseigné* La dialectique de la forme et de la matière. [texte imprimé] / Gérard Chazal . - [S.l.] : Poïesis n°13, 2001 . - architecture.
Actes/séminaire: "La Matière et l'Idée".
Mots-clés : *non renseigné* Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 137 Périodiques Bibliothèque de l'EeSI Périodiques Disponible Formes, figures, réalité / Gérard Chazal
Titre : Formes, figures, réalité Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Chazal, Auteur Editeur : Seyssel : Champ Vallon Année de publication : 1997 Collection : Collection Milieux, ISSN 0291-7157 Importance : 247 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87673-245-9 Note générale : Bibliogr. p. 243-247 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le concept de forme, qui hanta la philosophie antique, a été au cours du temps bien oublié, victime d'une science triomphante fondée sur l'usage restreint de la cause efficiente, mécanique et mathématisée.
La forme fut longtemps victime des succès d'une physique algébrisée où le calcul s'était substitué à la représentation géométrique. Pourtant, c'est par les mathématiques et les sciences que la forme revient aujourd'hui comme concept opératoire et explicatif, dans l'étude des systèmes dynamiques ou dans celle de l'embryogenèse, par exemple. En témoignent de nombreux travaux dont ceux, particulièrement significatifs, de René Thom.
Bien sûr, nous ne sommes plus en présence de l'antique cause formelle d'Aristote et de ses avatars scolastiques. La rigueur mathématique et les développements des sciences et techniques l'ont considérablement transformée. Il s'agit donc ici de retrouver la notion de forme comme schème explicatif, si ce n'est universel, tout du moins transversal à de nombreux domaines, des sciences aux arts, des techniques les plus primitives aux plus modernes. Face au savoir en miettes, le savant étant de plus en plus enfermé dans sa spécialité, le rôle de la philosophie est bien d'articuler ce qui se donne de manière séparée.
La philosophie est, par une sorte de nécessité, le lieu où tout se croise. Ni art ni science, elle est l'intersection des deux, le point de fuite qu'il faut donner aux savoirs éparpillés. La forme et l'espace peuvent-ils féconder la pensée et fournir ce fond ontologique que réclament le développement des connaissances et notre emprise sur le monde ? Telle est donc la question que ce travail veut aborder.Formes, figures, réalité [texte imprimé] / Gérard Chazal, Auteur . - Seyssel : Champ Vallon, 1997 . - 247 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Collection Milieux, ISSN 0291-7157) .
ISBN : 2-87673-245-9
Bibliogr. p. 243-247
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le concept de forme, qui hanta la philosophie antique, a été au cours du temps bien oublié, victime d'une science triomphante fondée sur l'usage restreint de la cause efficiente, mécanique et mathématisée.
La forme fut longtemps victime des succès d'une physique algébrisée où le calcul s'était substitué à la représentation géométrique. Pourtant, c'est par les mathématiques et les sciences que la forme revient aujourd'hui comme concept opératoire et explicatif, dans l'étude des systèmes dynamiques ou dans celle de l'embryogenèse, par exemple. En témoignent de nombreux travaux dont ceux, particulièrement significatifs, de René Thom.
Bien sûr, nous ne sommes plus en présence de l'antique cause formelle d'Aristote et de ses avatars scolastiques. La rigueur mathématique et les développements des sciences et techniques l'ont considérablement transformée. Il s'agit donc ici de retrouver la notion de forme comme schème explicatif, si ce n'est universel, tout du moins transversal à de nombreux domaines, des sciences aux arts, des techniques les plus primitives aux plus modernes. Face au savoir en miettes, le savant étant de plus en plus enfermé dans sa spécialité, le rôle de la philosophie est bien d'articuler ce qui se donne de manière séparée.
La philosophie est, par une sorte de nécessité, le lieu où tout se croise. Ni art ni science, elle est l'intersection des deux, le point de fuite qu'il faut donner aux savoirs éparpillés. La forme et l'espace peuvent-ils féconder la pensée et fournir ce fond ontologique que réclament le développement des connaissances et notre emprise sur le monde ? Telle est donc la question que ce travail veut aborder.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00841 PHI CHA Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le Miroir automate. / Gérard Chazal
Titre : Le Miroir automate. : Introduction à une philosophie de l'informatique. Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Chazal, Auteur Editeur : Champ Vallon, Seysell Année de publication : 1995 Importance : 252 p Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87673-204-1 Langues : Français (fre) Mots-clés : artifice/artificiel langage binaire la négation le vrai le faux numérique/analogique réseaux/cerveaux Index. décimale : ESS Essais Résumé : Lorsque les hommes inventèrent le levier pour mieux soulever et déplacer des fardeaux, on ne sait s'ils le firent en imitant et prolongeant leur bras.
Toutefois certains philosophes virent dans les machines des images de notre propre corps et puisèrent dans ce reflet mécanique de nous-mêmes des théories anthropologiques. Le Traité de l'Homme de Descartes, plus explicitement L'Homme Machine de La Mettrie, témoignent de cet effort pour comprendre l'homme à partir de ces réalisations conçues comme un prolongement et un reflet de lui-même. Aujourd'hui, l'ordinateur qui a gagné tous les secteurs de l'activité humaine ne prolonge plus le corps, mais l'esprit.
S'il est plus efficace que nous dans nombre de tâches relevant de l'activité intellectuelle, peut-on poursuivre, pour l'esprit, l'analogie machinique que Descartes développait pour le corps ? Dès la naissance des premiers ordinateurs, ceux mêmes qui avaient présidé à leur conception, Turing, von Neumann, ont posé la question de savoir si une machine pouvait penser La réponse, si elle n'est pas radicalement négative, aussi nuancée soit-elle, autorise la poursuite de cette philosophie de l'analogie. Au-delà des craintes que peut susciter l'idée d'une machine pensante, au-delà aussi du mythe de l'automate ou de celui du Golem, il s'agit dans cet ouvrage d'engager une réflexion pour, à la fois, mieux déterminer ce que le reflet informatique de notre esprit peut nous apprendre sur nous-mêmes et tracer les nouvelles limites qui séparent l'homme de la machine qu'il a construiteLe Miroir automate. : Introduction à une philosophie de l'informatique. [texte imprimé] / Gérard Chazal, Auteur . - [S.l.] : Champ Vallon, Seysell, 1995 . - 252 p ; 21 cm.
ISBN : 2-87673-204-1
Langues : Français (fre)
Mots-clés : artifice/artificiel langage binaire la négation le vrai le faux numérique/analogique réseaux/cerveaux Index. décimale : ESS Essais Résumé : Lorsque les hommes inventèrent le levier pour mieux soulever et déplacer des fardeaux, on ne sait s'ils le firent en imitant et prolongeant leur bras.
Toutefois certains philosophes virent dans les machines des images de notre propre corps et puisèrent dans ce reflet mécanique de nous-mêmes des théories anthropologiques. Le Traité de l'Homme de Descartes, plus explicitement L'Homme Machine de La Mettrie, témoignent de cet effort pour comprendre l'homme à partir de ces réalisations conçues comme un prolongement et un reflet de lui-même. Aujourd'hui, l'ordinateur qui a gagné tous les secteurs de l'activité humaine ne prolonge plus le corps, mais l'esprit.
S'il est plus efficace que nous dans nombre de tâches relevant de l'activité intellectuelle, peut-on poursuivre, pour l'esprit, l'analogie machinique que Descartes développait pour le corps ? Dès la naissance des premiers ordinateurs, ceux mêmes qui avaient présidé à leur conception, Turing, von Neumann, ont posé la question de savoir si une machine pouvait penser La réponse, si elle n'est pas radicalement négative, aussi nuancée soit-elle, autorise la poursuite de cette philosophie de l'analogie. Au-delà des craintes que peut susciter l'idée d'une machine pensante, au-delà aussi du mythe de l'automate ou de celui du Golem, il s'agit dans cet ouvrage d'engager une réflexion pour, à la fois, mieux déterminer ce que le reflet informatique de notre esprit peut nous apprendre sur nous-mêmes et tracer les nouvelles limites qui séparent l'homme de la machine qu'il a construiteExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00840 ESS CHA Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Théorie générale et logique des automates / John Von Neumann
Titre : Théorie générale et logique des automates : le mécanisme algorithmique de John Von Neumann Autre titre : Précédé de La pensée et les machines Type de document : texte imprimé Auteurs : John Von Neumann (1903-1957), Auteur ; Gérard Chazal, Auteur ; Jean-Paul Auffrand, Traducteur Editeur : Seyssel : Champ Vallon Année de publication : 1996 Importance : 104 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87673-232-2 Prix : 98 F Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : SCI sciences Résumé : Entre prouesses mécaniques et mythe littéraire, les automates, les androïdes, les machines pensantes ont toujours suscité le rêve ou la crainte.
Or voici qu'en 1948 un mathématicien de génie en entreprend la théorie. Dans un langage à la fois simple et rigoureux, John von Neumann se situe d'emblée au niveau des plus récentes recherches contemporaines (théorie des automates, théorie de la complexité). Né à budapest en 1903, John von Neumann est à l'origine de la construction du premier ordinateur. Considéré comme l'un des pères fondateurs de l'informatique, il en jette les bases théoriques, qui servent aujourd'hui encore dans nos micro-ordinateurs.
Surtout, il comprend dès 1950 que l'ordinateur n'est pas seulement un calculateur mais aussi une machine capable de travailler sur des informations autres que numériques. Il prévoit qu'une comparaison entre l'homme et la machine peut être fructueuse pour la science. S'intéressant alors à la biologie et plus particulièrement à la neurobiologie, il défend l'idée de réseaux de neurones formels, c'est-à-dire de machines conçues sur le modèle de notre cerveau, trente ans avant que de telles réalisations viennent sur le devant de la scène scientifique et technique.
Par là même, John von Neumann fonde les bases de ce qui deviendra la science des automates. Ce texte constitue donc un moment de l'histoire de la pensée scientifique et technique, en même temps qu'un document d'actualité, par le caractère prémonitoire de la réflexion.
Note de contenu : La pensée et les machines
Le mécanisme algorithmique de John von Neumann
Mathématiques pures, mathématiques appliquées : l'itinéraire de John von Neumann
Du mécanisme rationnel à la raison algorithmique
L'héritage de von Neumann : l'analogie mécanique
Théorie générale et logique des automates
Remarques préliminaires
Discussion de certains caractères sépcifiques des calculateurs
Comparaison des calculateurs et des organismes vivants
La future théorie logique des automates
Principes de la digitalisation
Réseaux de neurones formels
Le concept de complexité : autoreproduction
Théorie générale et logique des automates : le mécanisme algorithmique de John Von Neumann ; Précédé de La pensée et les machines [texte imprimé] / John Von Neumann (1903-1957), Auteur ; Gérard Chazal, Auteur ; Jean-Paul Auffrand, Traducteur . - Seyssel : Champ Vallon, 1996 . - 104 p. : ill., couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-87673-232-2 : 98 F
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : SCI sciences Résumé : Entre prouesses mécaniques et mythe littéraire, les automates, les androïdes, les machines pensantes ont toujours suscité le rêve ou la crainte.
Or voici qu'en 1948 un mathématicien de génie en entreprend la théorie. Dans un langage à la fois simple et rigoureux, John von Neumann se situe d'emblée au niveau des plus récentes recherches contemporaines (théorie des automates, théorie de la complexité). Né à budapest en 1903, John von Neumann est à l'origine de la construction du premier ordinateur. Considéré comme l'un des pères fondateurs de l'informatique, il en jette les bases théoriques, qui servent aujourd'hui encore dans nos micro-ordinateurs.
Surtout, il comprend dès 1950 que l'ordinateur n'est pas seulement un calculateur mais aussi une machine capable de travailler sur des informations autres que numériques. Il prévoit qu'une comparaison entre l'homme et la machine peut être fructueuse pour la science. S'intéressant alors à la biologie et plus particulièrement à la neurobiologie, il défend l'idée de réseaux de neurones formels, c'est-à-dire de machines conçues sur le modèle de notre cerveau, trente ans avant que de telles réalisations viennent sur le devant de la scène scientifique et technique.
Par là même, John von Neumann fonde les bases de ce qui deviendra la science des automates. Ce texte constitue donc un moment de l'histoire de la pensée scientifique et technique, en même temps qu'un document d'actualité, par le caractère prémonitoire de la réflexion.
Note de contenu : La pensée et les machines
Le mécanisme algorithmique de John von Neumann
Mathématiques pures, mathématiques appliquées : l'itinéraire de John von Neumann
Du mécanisme rationnel à la raison algorithmique
L'héritage de von Neumann : l'analogie mécanique
Théorie générale et logique des automates
Remarques préliminaires
Discussion de certains caractères sépcifiques des calculateurs
Comparaison des calculateurs et des organismes vivants
La future théorie logique des automates
Principes de la digitalisation
Réseaux de neurones formels
Le concept de complexité : autoreproduction
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 04657 SCI VON Livre Bibliothèque de l'EeSI Sciences Disponible