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Titre : Baby boom Type de document : texte imprimé Auteurs : Yuichi Yokoyama (1967-....), Auteur ; Céline Bruel, Traducteur Editeur : Montreuil : Éditions Matière Année de publication : 2013 Collection : Imagème, ISSN 1765-7717 Importance : 1 vol. (183 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916383-42-2 Prix : 23 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Japonais (jpn) Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : Baby boom est un recueil de récits animés par deux personnages récurrents, un « oiseau » (l’animal à tête noire sous le masque duquel l’auteur aime se figurer) et un « poussin », engagés, à deux ou en groupe, dans toutes sortes d’activités propres à l’enfance : cerceaux, cubes, baignade, pliages, dessin, goûter, constructions, bacs à sable, sauts dans les flaques…
Dessinant vigoureusement à l’aide de deux couleurs de feutres, Yokoyama a laissé à ses dessins leur fraîcheur d’esquisses. Par leur (apparente) rapidité d’exécution, par leurs contrastes colorés, ses planches sont de cette façon le prolongement évident et communicatif de la joie frénétique de l’oiseau, du poussin et de leurs camarades de jeux. (note de l'éditeur)Baby boom [texte imprimé] / Yuichi Yokoyama (1967-....), Auteur ; Céline Bruel, Traducteur . - Montreuil : Éditions Matière, 2013 . - 1 vol. (183 p.) : ill. en coul. ; 21 cm. - (Imagème, ISSN 1765-7717) .
ISBN : 978-2-916383-42-2 : 23 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Japonais (jpn)
Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : Baby boom est un recueil de récits animés par deux personnages récurrents, un « oiseau » (l’animal à tête noire sous le masque duquel l’auteur aime se figurer) et un « poussin », engagés, à deux ou en groupe, dans toutes sortes d’activités propres à l’enfance : cerceaux, cubes, baignade, pliages, dessin, goûter, constructions, bacs à sable, sauts dans les flaques…
Dessinant vigoureusement à l’aide de deux couleurs de feutres, Yokoyama a laissé à ses dessins leur fraîcheur d’esquisses. Par leur (apparente) rapidité d’exécution, par leurs contrastes colorés, ses planches sont de cette façon le prolongement évident et communicatif de la joie frénétique de l’oiseau, du poussin et de leurs camarades de jeux. (note de l'éditeur)Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10159 B.D YOK Livre Bibliothèque de l'EeSI Bande-dessinée Sorti jusqu'au 26/11/2024 Contrebandes Godard
Titre : Contrebandes Godard : 1960-1968 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Pinchon (1977-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Mus?ee des civilisations de l'Europe et de la M?editerran?ee, Collaborateur Editeur : Montreuil : Éditions Matière Année de publication : DL 2018 Collection : Séquences Importance : 1 vol. (223 p.) Présentation : nombreuses ill. en noir et en coul., fac-sim., couv. ill. Format : 34 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916383-55-2 Prix : 40 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : Dès son premier long métrage, À bout de souffle (1960), Jean-Luc Godard se montre attentif à la bande dessinée, au roman-photo et à la publicité. Il s’empare de ces images populaires pour construire certaines séquences cinématographiques, y fait des allusions ou les cite dans ses films, mais surtout — de façon plus originale et plus méconnue — s’en empare hors écran. C’est ainsi qu’entre 1960 et 1968, les films de Godard s’accompagnent d’un important appareil promotionnel inspiré par les bandes dessinées et les romans-photos qui paraissent aussi bien dans la presse spécialisée que dans les quotidiens ou les publications destinées à la jeunesse. Alors que le récit en images déferle en France, le cinéaste surfe sur cette autre vague nouvelle pour annoncer la sienne.
Au-delà de leur aspect promotionnel, les ciné-romans et les bandes dessinées conçus pour À bout de souffle, Une femme est une femme ou Alphaville participent à la fabrication du film chez Godard, en ce qu’ils fonctionnent comme des prolongement du cinéma hors la salle : une extension de l’action de l’artiste à l’ensemble de l’espace médiatique. En somme, le moyen pour Godard d’exercer son art en « contrebandes », de le déplacer vers un contrechamp populaire.
Jusqu’à présent inexplorées, les raisons pour lesquelles Godard s’empare du roman-photo et de la bande dessinée sont multiples : contourner la censure politique ou l’interdiction de ses films aux moins de dix-huit ans, inventer une forme de promotion moderne pour des films nouveaux, concilier cinéma d’auteur et culture populaire, penser un nouveau rapport entre image et texte, prolonger l’acte cinématographique, s’approprier et détourner les mass-media ainsi que le fera à sa suite l’Internationale situationniste…
Contrebandes Godard reproduit de nombreux documents restés inédits depuis les années 1960, et fait la part belle à plusieurs œuvres dans leur intégralité : les maquettes originales du feuilleton que Raymond Cauchetier — le plus célèbre photographe de plateau de la Nouvelle Vague, qui fut également l’un des plus talentueux réalisateurs de roman-photo — réalisa à partir d’À bout de souffle pour Le Parisien libéré ; le ciné-roman voulu par Godard pour accompagner la sortie d’Une femme est une femme ; la bande dessinée conçues pour la promotion d’Alphaville, parues dans Figaropravda, un faux journal promotionnel imaginé par Godard pour la sortie du film ; Journal d’une femme mariée, l’adaptation graphique du film éponyme que Macha Méril et Godard cosignèrent en 1965 ; une présentation du Petit Soldat dans les colonnes des Cahiers du cinéma, etc.Contrebandes Godard : 1960-1968 [texte imprimé] / Pierre Pinchon (1977-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Mus?ee des civilisations de l'Europe et de la M?editerran?ee, Collaborateur . - Montreuil : Éditions Matière, DL 2018 . - 1 vol. (223 p.) : nombreuses ill. en noir et en coul., fac-sim., couv. ill. ; 34 cm. - (Séquences) .
ISBN : 978-2-916383-55-2 : 40 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : Dès son premier long métrage, À bout de souffle (1960), Jean-Luc Godard se montre attentif à la bande dessinée, au roman-photo et à la publicité. Il s’empare de ces images populaires pour construire certaines séquences cinématographiques, y fait des allusions ou les cite dans ses films, mais surtout — de façon plus originale et plus méconnue — s’en empare hors écran. C’est ainsi qu’entre 1960 et 1968, les films de Godard s’accompagnent d’un important appareil promotionnel inspiré par les bandes dessinées et les romans-photos qui paraissent aussi bien dans la presse spécialisée que dans les quotidiens ou les publications destinées à la jeunesse. Alors que le récit en images déferle en France, le cinéaste surfe sur cette autre vague nouvelle pour annoncer la sienne.
Au-delà de leur aspect promotionnel, les ciné-romans et les bandes dessinées conçus pour À bout de souffle, Une femme est une femme ou Alphaville participent à la fabrication du film chez Godard, en ce qu’ils fonctionnent comme des prolongement du cinéma hors la salle : une extension de l’action de l’artiste à l’ensemble de l’espace médiatique. En somme, le moyen pour Godard d’exercer son art en « contrebandes », de le déplacer vers un contrechamp populaire.
Jusqu’à présent inexplorées, les raisons pour lesquelles Godard s’empare du roman-photo et de la bande dessinée sont multiples : contourner la censure politique ou l’interdiction de ses films aux moins de dix-huit ans, inventer une forme de promotion moderne pour des films nouveaux, concilier cinéma d’auteur et culture populaire, penser un nouveau rapport entre image et texte, prolonger l’acte cinématographique, s’approprier et détourner les mass-media ainsi que le fera à sa suite l’Internationale situationniste…
Contrebandes Godard reproduit de nombreux documents restés inédits depuis les années 1960, et fait la part belle à plusieurs œuvres dans leur intégralité : les maquettes originales du feuilleton que Raymond Cauchetier — le plus célèbre photographe de plateau de la Nouvelle Vague, qui fut également l’un des plus talentueux réalisateurs de roman-photo — réalisa à partir d’À bout de souffle pour Le Parisien libéré ; le ciné-roman voulu par Godard pour accompagner la sortie d’Une femme est une femme ; la bande dessinée conçues pour la promotion d’Alphaville, parues dans Figaropravda, un faux journal promotionnel imaginé par Godard pour la sortie du film ; Journal d’une femme mariée, l’adaptation graphique du film éponyme que Macha Méril et Godard cosignèrent en 1965 ; une présentation du Petit Soldat dans les colonnes des Cahiers du cinéma, etc.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10724 B.D PIN Livre Bibliothèque de l'EeSI Bande-dessinée Disponible Citéruine / Jérôme Dubois
Titre : Citéruine Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Dubois (10 avril 1989) Editeur : Montreuil : Éditions Matière Année de publication : 2020 Collection : Imagème, ISSN 1765-7717 Importance : 1 vol. (180 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916383-61-3 Prix : 19 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : bande dessinée conceptuelle Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : Citéruine est une ville désolée, vidée de ses habitants, usée par le temps et l'abandon - ?guerre? épidémie? génocide? effondrement?... Elle est le reflet parallèle, le reste ou le cauchemar d'une ville possible, d'une grande ville étale sans centre ni périphérie, une mégalopole postindustrielle et surpeuplée qui a ou qui a eu pour nom Citéville. L'une et l'autre cités ont été dessinées par Jérôme Dubois, toutes deux selon le même découpage, les mêmes cadrages, la même fatale temporalité. Mais là où Citéville grouille de stupides turpitudes, s'alimente de ses déchets et assure la reproduction des monstres humains qui l'ont bâtie, Citéruine dresse ses abattis, laisse calmement miroiter son squelette sous les durs néons qui lui restent. S'étant débarrassée de ses occupants ou ayant été délaissée par eux, qu'importe, ayant abandonné tout espoir, Citéruine a quitté son pauvre statut de décor. Elle est désormais paysage, et paysage animé: ses contours et ses lieux reprennent le flambeau de la narration, rejouent la comédie urbaine pour eux seuls, et tournent dans la nuit, dévorés par le feu. Il a été confié aux éditions Cornélius de porter le destin de Citéville, tandis que les Éditions Matière accueillent Citéruine. Les deux villes communiquent, se hantent en deux ouvrages distincts dont les lectures simultanées ou différées sont autant de perturbations d'un même espace par le temps et ses affres. Citéruine [texte imprimé] / Jérôme Dubois (10 avril 1989) . - Montreuil : Éditions Matière, 2020 . - 1 vol. (180 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Imagème, ISSN 1765-7717) .
ISBN : 978-2-916383-61-3 : 19 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : bande dessinée conceptuelle Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : Citéruine est une ville désolée, vidée de ses habitants, usée par le temps et l'abandon - ?guerre? épidémie? génocide? effondrement?... Elle est le reflet parallèle, le reste ou le cauchemar d'une ville possible, d'une grande ville étale sans centre ni périphérie, une mégalopole postindustrielle et surpeuplée qui a ou qui a eu pour nom Citéville. L'une et l'autre cités ont été dessinées par Jérôme Dubois, toutes deux selon le même découpage, les mêmes cadrages, la même fatale temporalité. Mais là où Citéville grouille de stupides turpitudes, s'alimente de ses déchets et assure la reproduction des monstres humains qui l'ont bâtie, Citéruine dresse ses abattis, laisse calmement miroiter son squelette sous les durs néons qui lui restent. S'étant débarrassée de ses occupants ou ayant été délaissée par eux, qu'importe, ayant abandonné tout espoir, Citéruine a quitté son pauvre statut de décor. Elle est désormais paysage, et paysage animé: ses contours et ses lieux reprennent le flambeau de la narration, rejouent la comédie urbaine pour eux seuls, et tournent dans la nuit, dévorés par le feu. Il a été confié aux éditions Cornélius de porter le destin de Citéville, tandis que les Éditions Matière accueillent Citéruine. Les deux villes communiquent, se hantent en deux ouvrages distincts dont les lectures simultanées ou différées sont autant de perturbations d'un même espace par le temps et ses affres. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12103 B.D DUB Livre Bibliothèque de l'EeSI Bande-dessinée Disponible Visages du temps / Sammy Stein
Titre : Visages du temps Type de document : texte imprimé Auteurs : Sammy Stein, Auteur Editeur : Montreuil : Éditions Matière Année de publication : 2020 Collection : Imagème, ISSN 1765-7717 Importance : 1 vol. (280 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916383-62-0 Prix : 29 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : exposition collection:oeuvres Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : En 17 récits de longueur variable, au gré de mises en scènes qui sont autant de propositions d'installations, de sculptures, d'images et de concepts, Sammy Stein offre de déambuler dans des musées imaginaires («Le musée de la Tortue», «Archives du musée de cristal»), de visiter des collections rêvées («Visages du temps», «Multimonde»), rend hommage à un artiste obscur dont l'œuvre a presque entièrement disparu («Salut Marcel»), convoque les souvenirs d'un lieu fictif et de ses artefacts («Galerie 128», «Retour vers le centre»), décrit une œuvre impossible («Fireworks»), observe le processus de transformation d'une forme en une autre («Moving sculpture», «Camouflage», «Bye bye Dada»), et évoque même de fantastiques recettes de cuisine («Le grand restaurant», épisodes 1 et 2). Avec une fantaisie à nulle autre pareille, Sammy Stein drape d'oripeaux en polyamide et viscose de vastes monuments mélancoliques, suggère sous des titres pleins d'emphase des œuvres toutes de modestie. Aussi bien, Sammy Stein élabore puis détruit avec pudeur les memento mori d'un temps que personne n'a connu ni ne connaîtra. Visages du temps [texte imprimé] / Sammy Stein, Auteur . - Montreuil : Éditions Matière, 2020 . - 1 vol. (280 p.) : ill. en coul. ; 24 cm. - (Imagème, ISSN 1765-7717) .
ISBN : 978-2-916383-62-0 : 29 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : exposition collection:oeuvres Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : En 17 récits de longueur variable, au gré de mises en scènes qui sont autant de propositions d'installations, de sculptures, d'images et de concepts, Sammy Stein offre de déambuler dans des musées imaginaires («Le musée de la Tortue», «Archives du musée de cristal»), de visiter des collections rêvées («Visages du temps», «Multimonde»), rend hommage à un artiste obscur dont l'œuvre a presque entièrement disparu («Salut Marcel»), convoque les souvenirs d'un lieu fictif et de ses artefacts («Galerie 128», «Retour vers le centre»), décrit une œuvre impossible («Fireworks»), observe le processus de transformation d'une forme en une autre («Moving sculpture», «Camouflage», «Bye bye Dada»), et évoque même de fantastiques recettes de cuisine («Le grand restaurant», épisodes 1 et 2). Avec une fantaisie à nulle autre pareille, Sammy Stein drape d'oripeaux en polyamide et viscose de vastes monuments mélancoliques, suggère sous des titres pleins d'emphase des œuvres toutes de modestie. Aussi bien, Sammy Stein élabore puis détruit avec pudeur les memento mori d'un temps que personne n'a connu ni ne connaîtra. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12291 B.D STE Livre Bibliothèque de l'EeSI Bande-dessinée Disponible Quelques miettes à géométrie variable ; suivi de Cadence / Nicolas Nadé
Titre : Quelques miettes à géométrie variable ; suivi de Cadence Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Nadé (1982-....), Auteur Editeur : Montreuil : Éditions Matière Année de publication : 2017 Collection : Imagème, ISSN 1765-7717 Importance : 1 vol. (127-[28] p.) Présentation : ill. en noir, couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916383-54-5 Prix : 19 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : bande dessinée muette Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : "Quelques Miettes à géométrie variable" est la description d'un gigantesque dispositif mécanique. Un dispositif sûr et précis inscrit dans un paysage désert, et qui ne semble nécessiter l'intervention de quiconque: aucun personnage, aucun être vivant identifiable n'y apparaît. On pourrait coller à la va-vite l'étiquette «abstraite» sur cette bande dessinée. Pointer de la sorte ce dont elle s'abstrait effectivement (intrigue, personnages, dialogues, sens, message?) serait cependant passer à côté du concret que, par ce biais, l'œuvre intensifie: dessin, composition, rythme, découpage, narration? ce qui fait l'essentiel de la BD en somme. Resserrée, minimale, "Quelques Miettes à géométrie variable" est d'autant plus résolument une BD d'action, de pure action. Une BD où se noue une série de tensions complexes entre organicité et géométrie, entre mouvement et fixité, paysage et architecture, formation et effondrement, verticalité et horizontalité, noir et blanc, points, lignes, plans, regard, lecture, sensations, intelligence, émotions. Une BD. Une pure BD. En guise de postface, "Quelques Miettes à géométrie variable" est suivi de "Cadence", un bref récit (sur papier) glacé dessiné par Nicolas Nadé au moyen d'un logiciel 3D. Quelques miettes à géométrie variable ; suivi de Cadence [texte imprimé] / Nicolas Nadé (1982-....), Auteur . - Montreuil : Éditions Matière, 2017 . - 1 vol. (127-[28] p.) : ill. en noir, couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Imagème, ISSN 1765-7717) .
ISBN : 978-2-916383-54-5 : 19 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : bande dessinée muette Index. décimale : B.D bandes-dessinées Résumé : "Quelques Miettes à géométrie variable" est la description d'un gigantesque dispositif mécanique. Un dispositif sûr et précis inscrit dans un paysage désert, et qui ne semble nécessiter l'intervention de quiconque: aucun personnage, aucun être vivant identifiable n'y apparaît. On pourrait coller à la va-vite l'étiquette «abstraite» sur cette bande dessinée. Pointer de la sorte ce dont elle s'abstrait effectivement (intrigue, personnages, dialogues, sens, message?) serait cependant passer à côté du concret que, par ce biais, l'œuvre intensifie: dessin, composition, rythme, découpage, narration? ce qui fait l'essentiel de la BD en somme. Resserrée, minimale, "Quelques Miettes à géométrie variable" est d'autant plus résolument une BD d'action, de pure action. Une BD où se noue une série de tensions complexes entre organicité et géométrie, entre mouvement et fixité, paysage et architecture, formation et effondrement, verticalité et horizontalité, noir et blanc, points, lignes, plans, regard, lecture, sensations, intelligence, émotions. Une BD. Une pure BD. En guise de postface, "Quelques Miettes à géométrie variable" est suivi de "Cadence", un bref récit (sur papier) glacé dessiné par Nicolas Nadé au moyen d'un logiciel 3D. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12449 B.D NAD Livre Bibliothèque de l'EeSI Bande-dessinée Sorti jusqu'au 29/11/2024 Loto / Alexis Beauclair
PermalinkPlaza / Yuichi Yokoyama
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