Titre : | Bernar Venet - Photographies | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Bernar Venet (1941-....), Auteur ; Hans Ulrich Obrist, Auteur ; Damarice Amao (1984-....), Auteur | Editeur : | Paris : Marval | Année de publication : | 2022 | Importance : | 372 p. | Présentation : | ill.en.coul | Format : | 310 x 250 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86234-473-7 | Prix : | 48 € | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Venet | Résumé : | Les Macadams de Bernar Venet trouvent leur origine en 1961, alors qu'à 19 ans il se promène près de Marseille: il observe sur les pans d'une falaise une coulure de goudron solidifié... qu'il photographie pour mémoriser cet évènement aléatoire. Deux ans plus tard, il travaille le goudron sur des toiles et prend un ensemble de photographies de macadam qui constituent cette première série sur la matière, alors que la série Acier roulé est réalisée en observant les fusions du métal, matière familière pour le sculpteur qu'il est.
Fruit de son goût pour les expérimentations, il réalise les séries Photofax (effacement progressif de l'image par envois successifs par fax) et Saturations (projet graphique de superposition progressive de plusieurs pages d'un dictionnaire, les unes sur les autres, l'accumulation des couches successives aboutissant au noir profond). Curieux de sciences et de techniques, Bernar Venet explore par ailleurs les moyens photographiques sophistiqués des laboratoires scientifiques les plus pointus: il réalise une série de « particules » élémentaires en mouvement dans le synchrotron (Bubble chambers) ou photographie l'invisible (Plasma in the Tokamak), images créées par des champs magnétiques générés par de très puissants aimants supraconducteurs...
Bernar Venet a également, toute sa vie, réalisé des portraits en noir et blanc, de ses proches comme des artistes et amis qu'il fréquente: Man Ray, Andy Warhol, Richard Serra, Arman, Christo... mais aussi des Portraits noirs, presque invisibles ceux-là, en argentiques ou polaroïd, réalisés dans le noir absolu, qui semblent presque uniformément noirs et où seule une vague lueur permet de distinguer un profil, une présence. « La seule chose qui compte c'est qu'entre ce noir et l'objectif, il [le photographié] était bien là... » dit d'eux Bernar Venet. |
Bernar Venet - Photographies [texte imprimé] / Bernar Venet (1941-....), Auteur ; Hans Ulrich Obrist, Auteur ; Damarice Amao (1984-....), Auteur . - Paris : Marval, 2022 . - 372 p. : ill.en.coul ; 310 x 250. ISBN : 978-2-86234-473-7 : 48 € Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Venet | Résumé : | Les Macadams de Bernar Venet trouvent leur origine en 1961, alors qu'à 19 ans il se promène près de Marseille: il observe sur les pans d'une falaise une coulure de goudron solidifié... qu'il photographie pour mémoriser cet évènement aléatoire. Deux ans plus tard, il travaille le goudron sur des toiles et prend un ensemble de photographies de macadam qui constituent cette première série sur la matière, alors que la série Acier roulé est réalisée en observant les fusions du métal, matière familière pour le sculpteur qu'il est.
Fruit de son goût pour les expérimentations, il réalise les séries Photofax (effacement progressif de l'image par envois successifs par fax) et Saturations (projet graphique de superposition progressive de plusieurs pages d'un dictionnaire, les unes sur les autres, l'accumulation des couches successives aboutissant au noir profond). Curieux de sciences et de techniques, Bernar Venet explore par ailleurs les moyens photographiques sophistiqués des laboratoires scientifiques les plus pointus: il réalise une série de « particules » élémentaires en mouvement dans le synchrotron (Bubble chambers) ou photographie l'invisible (Plasma in the Tokamak), images créées par des champs magnétiques générés par de très puissants aimants supraconducteurs...
Bernar Venet a également, toute sa vie, réalisé des portraits en noir et blanc, de ses proches comme des artistes et amis qu'il fréquente: Man Ray, Andy Warhol, Richard Serra, Arman, Christo... mais aussi des Portraits noirs, presque invisibles ceux-là, en argentiques ou polaroïd, réalisés dans le noir absolu, qui semblent presque uniformément noirs et où seule une vague lueur permet de distinguer un profil, une présence. « La seule chose qui compte c'est qu'entre ce noir et l'objectif, il [le photographié] était bien là... » dit d'eux Bernar Venet. |
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