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Éditeur Éditions de Minuit
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Titre : Économie libidinale Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Lyotard, Auteur Editeur : Paris : Éditions de Minuit Année de publication : 1974 Collection : Collection Critique Importance : 314 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-0032-2 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Économie libidinale [texte imprimé] / Jean-François Lyotard, Auteur . - Paris : Éditions de Minuit, 1974 . - 314 p. ; 22 cm. - (Collection Critique) .
ISBN : 2-7073-0032-2
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00927 PHI LYO Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Individu et communauté chez Spinoza / Alexandre Matheron
Titre : Individu et communauté chez Spinoza Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Matheron, Auteur Mention d'édition : Nouvelle éd. Editeur : Paris : Éditions de Minuit Année de publication : 1988 Collection : Sens commun Importance : 1 vol. (647 p.) Format : 22cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-0391-7 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Individu et communauté chez Spinoza [texte imprimé] / Alexandre Matheron, Auteur . - Nouvelle éd. . - Paris : Éditions de Minuit, 1988 . - 1 vol. (647 p.) ; 22cm. - (Sens commun) .
ISBN : 2-7073-0391-7
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kafka / Gilles Deleuze
Titre : Kafka : pour une littérature mineure Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur ; Félix Guattari (1930-1992), Auteur Editeur : Paris : Éditions de Minuit Année de publication : 1975 Collection : Collection Critique Importance : 159 p. Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0058-4 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Force de Kafka. Politique de Kafka. Déjà les lettres d'amour sont une politique où Kafka se vit lui-même comme un vampire. Les nouvelles ou les récits tracent des devenirs-animaux qui sont autant de lignes de fuite actives. Les romans, illimités plutôt qu'inachevés, opèrent un démontage des grandes machines sociales présentes et a venir. Au moment même où il les brandit, et s'en sert comme d'un paravent, Kafka ne croit guère à la loi, à la culpabilité, à l'angoisse, à l'intériorité. Ni aux symboles, aux métaphores ou aux allégories. Il ne croit qu'à des architectures et à des agencements dessinés par toutes les formes de désir. Ses lignes de fuite ne sont jamais un refuge, une sortie hors du monde. C'est au contraire un moyen de détecter ce qui se prépare, et de devancer les "puissances diaboliques" du proche avenir. Kafka aime à se définir linguistiquement. politiquement, collectivement, dans les termes d'une littérature dite "mineure".
Mais la littérature mineure est l'élément de toute révolution dans les grandes littératures.Kafka : pour une littérature mineure [texte imprimé] / Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur ; Félix Guattari (1930-1992), Auteur . - Paris : Éditions de Minuit, 1975 . - 159 p. : ill. ; 22 cm. - (Collection Critique) .
ISBN : 978-2-7073-0058-4
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Force de Kafka. Politique de Kafka. Déjà les lettres d'amour sont une politique où Kafka se vit lui-même comme un vampire. Les nouvelles ou les récits tracent des devenirs-animaux qui sont autant de lignes de fuite actives. Les romans, illimités plutôt qu'inachevés, opèrent un démontage des grandes machines sociales présentes et a venir. Au moment même où il les brandit, et s'en sert comme d'un paravent, Kafka ne croit guère à la loi, à la culpabilité, à l'angoisse, à l'intériorité. Ni aux symboles, aux métaphores ou aux allégories. Il ne croit qu'à des architectures et à des agencements dessinés par toutes les formes de désir. Ses lignes de fuite ne sont jamais un refuge, une sortie hors du monde. C'est au contraire un moyen de détecter ce qui se prépare, et de devancer les "puissances diaboliques" du proche avenir. Kafka aime à se définir linguistiquement. politiquement, collectivement, dans les termes d'une littérature dite "mineure".
Mais la littérature mineure est l'élément de toute révolution dans les grandes littératures.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00871 PHI DEL Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Sorti jusqu'au 11/12/2024 La Condition postmoderne / Jean-François Lyotard
Titre : La Condition postmoderne : rapport sur le savoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Lyotard, Auteur Editeur : Paris : Éditions de Minuit Année de publication : 1979 Collection : Collection "Critique" Importance : 109 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-0276-7 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Contribution à la discussion internationale sur la question de la légitimité : qu'est-ce qui permet aujourd'hui de dire qu'une loi est juste, un énoncé vrai ? Il y a eu les grands récits, l'émancipation du citoyen, la réalisation de l'Esprit, la société sans classes.
L'âge moderne y recourait pour légitimer ou critiquer ses savoirs et ses actes. L'homme postmoderne n'y croit plus. Les décideurs lui offrent pour perspective l'accroissement de la puissance et la pacification par la transparence communicationnelle. Mais il sait que le savoir quand il devient marchandise informationnelle est une source de profits et un moyen de décider et de contrôler. Où réside la légitimité, après les récits ? Dans la meilleure opérativité du système ? C'est un critère technologique, il ne permet pas de juger du vrai et du juste.
Dans le consensus ? Mais l'invention se fait dans le dissentiment. Pourquoi pas dans ce dernier ? La société qui vient relève moins d'une anthropologie newtonienne (comme le structuralisme ou la théorie des systèmes) et plus d'une pragmatique des particules langagières. Le savoir postmoderne n'est pas seulement l'instrument des pouvoirs : il raffine notre sensibilité aux différences et renforce notre capacité de supporter l'incommensurable.
Lui-même ne trouve pas sa raison dans l'homologie des experts, mais dans la paralogie des inventeurs. Et maintenant : une légitimation du lien social, une société juste, est-elle praticable selon un paradoxe analogue ? En quoi consiste celui-ci ?La Condition postmoderne : rapport sur le savoir [texte imprimé] / Jean-François Lyotard, Auteur . - Paris : Éditions de Minuit, 1979 . - 109 p. ; 22 cm. - (Collection "Critique") .
ISBN : 2-7073-0276-7
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Contribution à la discussion internationale sur la question de la légitimité : qu'est-ce qui permet aujourd'hui de dire qu'une loi est juste, un énoncé vrai ? Il y a eu les grands récits, l'émancipation du citoyen, la réalisation de l'Esprit, la société sans classes.
L'âge moderne y recourait pour légitimer ou critiquer ses savoirs et ses actes. L'homme postmoderne n'y croit plus. Les décideurs lui offrent pour perspective l'accroissement de la puissance et la pacification par la transparence communicationnelle. Mais il sait que le savoir quand il devient marchandise informationnelle est une source de profits et un moyen de décider et de contrôler. Où réside la légitimité, après les récits ? Dans la meilleure opérativité du système ? C'est un critère technologique, il ne permet pas de juger du vrai et du juste.
Dans le consensus ? Mais l'invention se fait dans le dissentiment. Pourquoi pas dans ce dernier ? La société qui vient relève moins d'une anthropologie newtonienne (comme le structuralisme ou la théorie des systèmes) et plus d'une pragmatique des particules langagières. Le savoir postmoderne n'est pas seulement l'instrument des pouvoirs : il raffine notre sensibilité aux différences et renforce notre capacité de supporter l'incommensurable.
Lui-même ne trouve pas sa raison dans l'homologie des experts, mais dans la paralogie des inventeurs. Et maintenant : une légitimation du lien social, une société juste, est-elle praticable selon un paradoxe analogue ? En quoi consiste celui-ci ?Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00929 PHI LYO Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible 00928 PHI LYO Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le pli / Gilles Deleuze
Titre : Le pli : Leibniz et le baroque Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur Editeur : Paris : Éditions de Minuit Année de publication : 1988 Collection : Critique (Collection)., ISSN 0768-0090 num. 70 Importance : 1 vol. (191 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-1182-5 Prix : 85 F Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le pli a toujours existé dans les arts, mais le propre du Baroque est de porter le pli à l'infini.
Si la philosophie de Leibniz est baroque par excellence, c'est parce que tout se plie, se déplie, se replie. Sa thèse la plus célèbre est celle de l'âme comme " monade " sans porte ni fenêtre, qui tire d'un sombre fond toutes ses perceptions claires : elle ne peut se confondre que par analogie avec l'intérieur d'une chapelle baroque, de marbre noir, où la lumière n'arrive que par des ouvertures imperceptibles à l'observateur du dedans : aussi l'âme est-elle pleine de plis obscurs.
Pour découvrir un néo-Baroque moderne, il suffit de suivre l'histoire du pli infini dans tous les arts : " pli selon pli " avec la poésie de Mallarmé et le roman de Proust, mais aussi l'oeuvre de Michaux, la musique de Boulez, la peinture de Hantaï. Et ce néoleibnizianisme n'a cessé d'inspirer la philosophie.Le pli : Leibniz et le baroque [texte imprimé] / Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur . - Paris : Éditions de Minuit, 1988 . - 1 vol. (191 p.) : ill. ; 22 cm. - (Critique (Collection)., ISSN 0768-0090; 70) .
ISBN : 978-2-7073-1182-5 : 85 F
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le pli a toujours existé dans les arts, mais le propre du Baroque est de porter le pli à l'infini.
Si la philosophie de Leibniz est baroque par excellence, c'est parce que tout se plie, se déplie, se replie. Sa thèse la plus célèbre est celle de l'âme comme " monade " sans porte ni fenêtre, qui tire d'un sombre fond toutes ses perceptions claires : elle ne peut se confondre que par analogie avec l'intérieur d'une chapelle baroque, de marbre noir, où la lumière n'arrive que par des ouvertures imperceptibles à l'observateur du dedans : aussi l'âme est-elle pleine de plis obscurs.
Pour découvrir un néo-Baroque moderne, il suffit de suivre l'histoire du pli infini dans tous les arts : " pli selon pli " avec la poésie de Mallarmé et le roman de Proust, mais aussi l'oeuvre de Michaux, la musique de Boulez, la peinture de Hantaï. Et ce néoleibnizianisme n'a cessé d'inspirer la philosophie.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 08156 PHI DEL Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Le réel / Clément Rosset
PermalinkLes spectres de la bande / Alain Rey
PermalinkSoubresauts / Samuel Beckett
PermalinkCinéma, 1. L'Image-mouvement / Gilles Deleuze
PermalinkLe Même et l'autre / Vincent Descombes
PermalinkEros et civilisation / Herbert Marcuse
PermalinkMolloy / Samuel Beckett
PermalinkTropismes / Nathalie Sarraute
PermalinkLa Raison graphique / Jack Goody
PermalinkComment parler des faits qui ne se sont pas produits ? / Pierre Bayard
PermalinkCe qui nous soulève, 2. Imaginer, recommencer / Georges Didi-Huberman
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