Titre :	Nil Yalter : à la confluence des mémoires migrantes, féministes, ouvrières et des mythologies
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Fabienne Dumont, Auteur
Editeur :	Vitry-sur-Seine : MAC-VAL
Année de publication :	2019
Importance :	1 vol. (275 p.)
Présentation :	ill. en coul., couv. ill. en noir
Format :	24 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-900450-05-5
Prix :	23 EUR
Note générale :	Texte français et trad. anglaise Publ. dans le cadre de l'exposition "Nil Yalter, Trans/humance" à Vitry-sur-Seine, MAC VAL, du 5 oct. 2019 au 9 févr. 2020
Langues :	Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)
Mots-clés :	expressionisme abstrait  constructivisme  féminisme  anticapitalisme  immigration  habitat  critique sociale  corps
Index. décimale :	MON Monographie
Résumé :	Publié à l’occasion de l’exposition monographique que lui consacre le MAC VAL, cet essai consacré à Nil Yalter s’attache pour la première fois à l’ensemble du parcours de l’artiste. Il réunit dans un tout cohérent des pièces éparses et crée des liens entre les différentes périodes de création de Nil Yalter, artiste franco-turque née en 1938. Les études s’attachent ainsi aux tout débuts de l’artiste en Turquie, en tant que peintre abstraite, puis à son arrivée à Paris avec un passage vers une peinture constructiviste, avant la rupture de 1972 et le basculement vers des projets socio-critiques. L’influence de l’ethnographie et des événements politiques et sociaux deviennent centraux et les oeuvres s’ancrent dans des lieux et des histoires particulières, liées à l’histoire des immigrations des années 1970-1980 en France, à l’histoire des ouvriers et des ouvrières des usines, mêlant leurs croyances aux luttes concrètes pour améliorer leurs conditions de vie. L’approche féministe est récurrente, parfois centrale. Deux expositions à l’ARC, au musée d’Art moderne de la ville de Paris, la font connaître : “Topak Ev” (1973) et “C’est un dur métier que l’exil” (1983). Mêlant vidéo, dessin, texte, collages de matériaux, photographie argentique et Polaroid, Nil Yalter investit un champ nouveau de manière féconde, qui s’adapte aux nouvelles techniques informatiques dans les années 1990 et 2000. Plus d’une soixantaine de projets jalonnent ainsi soixante années de création (1958-2018), dont l’intérêt renouvelé à partir des années 2010 a permis l’intégration dans des collections importantes.

Nil Yalter : à la confluence des mémoires migrantes, féministes, ouvrières et des mythologies [texte imprimé] / Fabienne Dumont, Auteur . - Vitry-sur-Seine : MAC-VAL, 2019 . - 1 vol. (275 p.) : ill. en coul., couv. ill. en noir ; 24 cm.
ISBN : 978-2-900450-05-5 : 23 EUR
Texte français et trad. anglaise
Publ. dans le cadre de l'exposition "Nil Yalter, Trans/humance" à Vitry-sur-Seine, MAC VAL, du 5 oct. 2019 au 9 févr. 2020
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)

Mots-clés :	expressionisme abstrait  constructivisme  féminisme  anticapitalisme  immigration  habitat  critique sociale  corps
Index. décimale :	MON Monographie
Résumé :	Publié à l’occasion de l’exposition monographique que lui consacre le MAC VAL, cet essai consacré à Nil Yalter s’attache pour la première fois à l’ensemble du parcours de l’artiste. Il réunit dans un tout cohérent des pièces éparses et crée des liens entre les différentes périodes de création de Nil Yalter, artiste franco-turque née en 1938. Les études s’attachent ainsi aux tout débuts de l’artiste en Turquie, en tant que peintre abstraite, puis à son arrivée à Paris avec un passage vers une peinture constructiviste, avant la rupture de 1972 et le basculement vers des projets socio-critiques. L’influence de l’ethnographie et des événements politiques et sociaux deviennent centraux et les oeuvres s’ancrent dans des lieux et des histoires particulières, liées à l’histoire des immigrations des années 1970-1980 en France, à l’histoire des ouvriers et des ouvrières des usines, mêlant leurs croyances aux luttes concrètes pour améliorer leurs conditions de vie. L’approche féministe est récurrente, parfois centrale. Deux expositions à l’ARC, au musée d’Art moderne de la ville de Paris, la font connaître : “Topak Ev” (1973) et “C’est un dur métier que l’exil” (1983). Mêlant vidéo, dessin, texte, collages de matériaux, photographie argentique et Polaroid, Nil Yalter investit un champ nouveau de manière féconde, qui s’adapte aux nouvelles techniques informatiques dans les années 1990 et 2000. Plus d’une soixantaine de projets jalonnent ainsi soixante années de création (1958-2018), dont l’intérêt renouvelé à partir des années 2010 a permis l’intégration dans des collections importantes.