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Série Cinéma
Documents disponibles dans cette série
Ajouter le résultat dans votre panierCinéma, 1. L'Image-mouvement / Gilles Deleuze
Titre de série : Cinéma, 1 Titre : L'Image-mouvement Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur Editeur : Paris : Éditions de Minuit Année de publication : 1983 Collection : Cinéma num. 1 Importance : 298 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0659-3 Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Cette étude n'est pas une histoire du cinéma, mais un essai de classification des images et des signes tels qu'ils apparaissent au cinéma.
On considère ici un premier type d'image, l'image-mouvement, avec ses variétés principales, image-perception, image-affection, image-action, et les signes (non linguistiques) qui les caractérisent. Tantôt la lumière entre en lutte avec les ténèbres, tantôt elle développe son rapport avec le blanc. Les qualités et les puissances tantôt s'expriment sur des visages, tantôt s'exposent dans des " espaces quelconques ", tantôt révèlent des mondes originaires, tantôt s'actualisent dans des milieux supposés réels.
Les grands auteurs de cinéma inventent et composent des images et des signes, chacun à sa manière. Ils ne sont pas seulement confrontables à des peintres, des architectes, des musiciens mais à des penseurs. Il ne suffit pas de se plaindre ou de se féliciter de l'invasion de la pensée par l'audio-visuel ; il faut montrer comment la pensée opère avec les signes optiques et sonores de l'image-mouvement, et aussi d'une image-temps plus profonde, pour produire parfois de grandes œuvres.Cinéma, 1. L'Image-mouvement [texte imprimé] / Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur . - Paris : Éditions de Minuit, 1983 . - 298 p. ; 22 cm. - (Cinéma; 1) .
ISBN : 978-2-7073-0659-3
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Cette étude n'est pas une histoire du cinéma, mais un essai de classification des images et des signes tels qu'ils apparaissent au cinéma.
On considère ici un premier type d'image, l'image-mouvement, avec ses variétés principales, image-perception, image-affection, image-action, et les signes (non linguistiques) qui les caractérisent. Tantôt la lumière entre en lutte avec les ténèbres, tantôt elle développe son rapport avec le blanc. Les qualités et les puissances tantôt s'expriment sur des visages, tantôt s'exposent dans des " espaces quelconques ", tantôt révèlent des mondes originaires, tantôt s'actualisent dans des milieux supposés réels.
Les grands auteurs de cinéma inventent et composent des images et des signes, chacun à sa manière. Ils ne sont pas seulement confrontables à des peintres, des architectes, des musiciens mais à des penseurs. Il ne suffit pas de se plaindre ou de se féliciter de l'invasion de la pensée par l'audio-visuel ; il faut montrer comment la pensée opère avec les signes optiques et sonores de l'image-mouvement, et aussi d'une image-temps plus profonde, pour produire parfois de grandes œuvres.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 05290 PHI DEL Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible Cinéma, 2. L'Image-temps / Gilles Deleuze
Titre de série : Cinéma, 2 Titre : L'Image-temps Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur Editeur : Paris : Éd. de Minuit Année de publication : 1985 Collection : Cinéma num. 2 Importance : 378 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7073-1047-6 Note générale : Index des 2 t. Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Comment l'image-temps surgit-elle ? Sans doute avec la mutation du cinéma, après la guerre, quand les situations sensori-motrices font place à des situations optiques et sonores pures (néo-réalisme).
Mais la mutation était préparée depuis longtemps, sous des modes très divers (Ozu, mais aussi Mankiewic, ou même la comédie musicale). L'image-temps ne supprime pas l'image-mouvement, elle renverse le rapport de subordination Au lieu que le temps soit le nombre ou la mesure du mouvement, c'est-à-dire une représentation indirecte, le mouvement n'est plus que la conséquence d'une présentation directe du temps : par là même, un faux mouvement, un faux raccord.
Le faux raccord est un exemple de " coupure irrationnelle ". Et, tandis que le cinéma du mouvement opère des enchaînements d'images par coupures rationnelles, le cinéma du temps procède à des ré-enchaînements sur coupure irrationnelle (notamment entre l'image sonore et l'image visuelle). C'est une erreur de dire que l'image cinématographique est forcément au présent. L'image-temps directe n'est pas au présent, pas plus qu'elle n'est souvenir.
Elle rompt avec la succession empirique et avec la mémoire psychologique, pour s'élever à un ordre ou une série du temps (Welles, Resnais, Godard...). Ces signes de temps sont inséparables de signes de pensée et de signes de parole. Mais comment la pensée se présente-t-elle au cinéma et quels sont les actes de parole spécifiquement cinématographiques ?Cinéma, 2. L'Image-temps [texte imprimé] / Gilles Deleuze (1925-1995), Auteur . - Paris : Éd. de Minuit, 1985 . - 378 p. ; 22 cm. - (Cinéma; 2) .
ISBN : 2-7073-1047-6
Index des 2 t.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Comment l'image-temps surgit-elle ? Sans doute avec la mutation du cinéma, après la guerre, quand les situations sensori-motrices font place à des situations optiques et sonores pures (néo-réalisme).
Mais la mutation était préparée depuis longtemps, sous des modes très divers (Ozu, mais aussi Mankiewic, ou même la comédie musicale). L'image-temps ne supprime pas l'image-mouvement, elle renverse le rapport de subordination Au lieu que le temps soit le nombre ou la mesure du mouvement, c'est-à-dire une représentation indirecte, le mouvement n'est plus que la conséquence d'une présentation directe du temps : par là même, un faux mouvement, un faux raccord.
Le faux raccord est un exemple de " coupure irrationnelle ". Et, tandis que le cinéma du mouvement opère des enchaînements d'images par coupures rationnelles, le cinéma du temps procède à des ré-enchaînements sur coupure irrationnelle (notamment entre l'image sonore et l'image visuelle). C'est une erreur de dire que l'image cinématographique est forcément au présent. L'image-temps directe n'est pas au présent, pas plus qu'elle n'est souvenir.
Elle rompt avec la succession empirique et avec la mémoire psychologique, pour s'élever à un ordre ou une série du temps (Welles, Resnais, Godard...). Ces signes de temps sont inséparables de signes de pensée et de signes de parole. Mais comment la pensée se présente-t-elle au cinéma et quels sont les actes de parole spécifiquement cinématographiques ?Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00864 PHI DEL Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible