[n° ou bulletin] est un bulletin de Titre : | 40 - Une collaboration : les Urbaines et Eurostandard | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Manon Bruet, Auteur | Année de publication : | 2022 | Langues : | Français (fre) Anglais (eng) | Index. décimale : | PER périodiques | Note de contenu : | Depuis son ouverture en 1996, le festival interdisciplinaire lausannois Les Urbaines a collaboré avec de nombreux graphistes suisses. Après, entre autres, Guillaume Chuard & Renato Zülli (2011), Maximage (2012-2015) et Daniel Hättenschwiller & Thomas Petit (2016), c’est Eurostandard qui travaille à l’identité de trois éditions entre 2017 et 2019. Pour constituer ce triptyque pensé comme un tout, le studio propose d’explorer pour chacune une nouvelle technique destinée à l’origine à produire des selfies déformés. D’une part, l’usage de ce procédé leur permet de questionner les modes d’auto-représentation et donc de produire un discours profondément ancré dans son époque. De l’autre, cela leur permet de générer des visuels singuliers et d’inscrire indéniablement leur identité en trois volets dans la lignée des précédentes. Ce numéro de la revue sera l’occasion de revenir, à travers la voix des graphistes et surtout des commanditaires, sur ces trois années de collaboration et plus largement sur les différentes identités de ce festival, qui semblent à elles-seules dessiner un certain paysage du graphisme suisse. |
[n° ou bulletin] est un bulletin de 40 - Une collaboration : les Urbaines et Eurostandard [texte imprimé] / Manon Bruet, Auteur . - 2022. Langues : Français ( fre) Anglais ( eng) Index. décimale : | PER périodiques | Note de contenu : | Depuis son ouverture en 1996, le festival interdisciplinaire lausannois Les Urbaines a collaboré avec de nombreux graphistes suisses. Après, entre autres, Guillaume Chuard & Renato Zülli (2011), Maximage (2012-2015) et Daniel Hättenschwiller & Thomas Petit (2016), c’est Eurostandard qui travaille à l’identité de trois éditions entre 2017 et 2019. Pour constituer ce triptyque pensé comme un tout, le studio propose d’explorer pour chacune une nouvelle technique destinée à l’origine à produire des selfies déformés. D’une part, l’usage de ce procédé leur permet de questionner les modes d’auto-représentation et donc de produire un discours profondément ancré dans son époque. De l’autre, cela leur permet de générer des visuels singuliers et d’inscrire indéniablement leur identité en trois volets dans la lignée des précédentes. Ce numéro de la revue sera l’occasion de revenir, à travers la voix des graphistes et surtout des commanditaires, sur ces trois années de collaboration et plus largement sur les différentes identités de ce festival, qui semblent à elles-seules dessiner un certain paysage du graphisme suisse. |
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