Titre : | Lucrèce : de l'altérité ou la mort immortelle | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Philippe Sergeant (1953-....), Auteur | Editeur : | Genève [Suisse] : Clinamen | Année de publication : | 2014 | Importance : | 152 p. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-970090-81-6 | Prix : | 18 CHF | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | ESS Essais | Résumé : | Comment penser l’altérité? La présomption est, qu’en soi, l’altérité n’existe pas. Si elle existait, ce ne serait pas une altérité, mais une identité. Il résulte que quand elle vient à s’actualiser, elle s’anéantit en catastrophe historique. Philippe Sergeant apporte une réponse ; nous verrons que la poésie, l’oeuvre d’art ont leur rôle à jouer. Car chez Lucrèce, les lettres, les mots, les atomes s’associent en configurations infinies. Mais aussi se transforment, se repoussent, s’associent à nouveau. Tel est le corrélat de la poésie, de la poétique du monde et de la nature. Et les agencements possibles sont ce qui constitue l’altérité, les devenirs de toute chose, même à travers la mort. Ce texte n’est pas un essai sur l’oeuvre de Lucrèce. A l’heure des passeports biométriques, dans des temps où la poésie fait défaut, la question de l’altérité est on ne peut plus d’actualité - paradoxalement peut-être. Si le choix s’est porté sur Lucrèce, c’est sans doute que sa philosophie est tout d’abord un poème. |
Lucrèce : de l'altérité ou la mort immortelle [texte imprimé] / Philippe Sergeant (1953-....), Auteur . - Genève (Rue des Etuves 9, 1201, Suisse) : Clinamen, 2014 . - 152 p. ; 18 cm. ISBN : 978-2-970090-81-6 : 18 CHF Langues : Français ( fre) Index. décimale : | ESS Essais | Résumé : | Comment penser l’altérité? La présomption est, qu’en soi, l’altérité n’existe pas. Si elle existait, ce ne serait pas une altérité, mais une identité. Il résulte que quand elle vient à s’actualiser, elle s’anéantit en catastrophe historique. Philippe Sergeant apporte une réponse ; nous verrons que la poésie, l’oeuvre d’art ont leur rôle à jouer. Car chez Lucrèce, les lettres, les mots, les atomes s’associent en configurations infinies. Mais aussi se transforment, se repoussent, s’associent à nouveau. Tel est le corrélat de la poésie, de la poétique du monde et de la nature. Et les agencements possibles sont ce qui constitue l’altérité, les devenirs de toute chose, même à travers la mort. Ce texte n’est pas un essai sur l’oeuvre de Lucrèce. A l’heure des passeports biométriques, dans des temps où la poésie fait défaut, la question de l’altérité est on ne peut plus d’actualité - paradoxalement peut-être. Si le choix s’est porté sur Lucrèce, c’est sans doute que sa philosophie est tout d’abord un poème. |
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