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Sous-collection Sciences humaines et sociales
- Éditeur : La Découverte
- Collection : La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales
- ISSN : pas d'ISSN
Documents disponibles dans la sous-collection
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheChanger de société, refaire de la sociologie / Bruno Latour
Titre : Changer de société, refaire de la sociologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Latour, Auteur ; Nicolas Guilhot (1970-....), Traducteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2007 Collection : La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales Sous-collection : Sciences humaines et sociales num. 264 Importance : 1 vol. (400 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5327-2 Prix : 13 EUR Note générale : Bibliogr. p. 381-398 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : SOC sociologie Résumé : " Il faut changer de société ", dit-on souvent et on a bien raison, car celle où nous vivons est souvent irrespirable. Mais, pour y parvenir, il faut peut-être d'abord s'efforcer de changer la notion même de société. Et d'abord distinguer deux définitions du social. La première, devenue dominante dans la sociologie, présente le social comme l'ombre projetée par la société sur d'autres activités, par exemple l'économie, le droit, la science, etc. La seconde préfère considérer le social comme l'association nouvelle entre des êtres surprenants qui viennent briser la certitude confortable d'appartenir au même monde commun. Dans ce deuxième sens, le social se modifie constamment. Pour le suivre, il faut d'autres méthodes d'enquête, d'autres exigences, d'autres terrains. C'est à retracer le social comme association que s'attache depuis trente ans ce qu'on a appelé la sociologie de " l'acteur-réseau " et que Bruno Latour présente dans ce livre. Sa proposition est simple : entre la société et la sociologie, il faut choisir. De la même manière que la notion de " nature " rend la politique impossible, il faut maintenant se faire à l'idée que la notion de société, à son tour, est devenue l'ennemie de toute pensée du politique. Ce n'est pas une raison pour se décourager mais l'occasion de refaire de la sociologie.(note de l'éditeur) Changer de société, refaire de la sociologie [texte imprimé] / Bruno Latour, Auteur ; Nicolas Guilhot (1970-....), Traducteur . - Paris : La Découverte, 2007 . - 1 vol. (400 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales. Sciences humaines et sociales; 264) .
ISBN : 978-2-7071-5327-2 : 13 EUR
Bibliogr. p. 381-398
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : SOC sociologie Résumé : " Il faut changer de société ", dit-on souvent et on a bien raison, car celle où nous vivons est souvent irrespirable. Mais, pour y parvenir, il faut peut-être d'abord s'efforcer de changer la notion même de société. Et d'abord distinguer deux définitions du social. La première, devenue dominante dans la sociologie, présente le social comme l'ombre projetée par la société sur d'autres activités, par exemple l'économie, le droit, la science, etc. La seconde préfère considérer le social comme l'association nouvelle entre des êtres surprenants qui viennent briser la certitude confortable d'appartenir au même monde commun. Dans ce deuxième sens, le social se modifie constamment. Pour le suivre, il faut d'autres méthodes d'enquête, d'autres exigences, d'autres terrains. C'est à retracer le social comme association que s'attache depuis trente ans ce qu'on a appelé la sociologie de " l'acteur-réseau " et que Bruno Latour présente dans ce livre. Sa proposition est simple : entre la société et la sociologie, il faut choisir. De la même manière que la notion de " nature " rend la politique impossible, il faut maintenant se faire à l'idée que la notion de société, à son tour, est devenue l'ennemie de toute pensée du politique. Ce n'est pas une raison pour se décourager mais l'occasion de refaire de la sociologie.(note de l'éditeur) Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 09409 SOC LAT Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible La matrice de la race / Elsa Dorlin
Titre : La matrice de la race : généalogie sexuelle et coloniale de la nation française Type de document : texte imprimé Auteurs : Elsa Dorlin, Auteur ; Joan Wallach Scott (1941-....), Préfacier, etc. Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : impr. 2009 Collection : La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales Sous-collection : Sciences humaines et sociales Importance : 1 vol. (306 p.) Présentation : couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5905-2 Prix : 12,50 EUR Note générale : Bibliogr. p. 283-300. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : sexisme racisme sciences histoire médecine Index. décimale : SOC sociologie Résumé : La race a une histoire, qui renvoie à l’histoire de la différence sexuelle. Au XVIIe siècle, les discours médicaux affligent le corps des femmes de mille maux : « suffocation de la matrice » « hystérie », « fureur utérine », etc. La conception du corps des femmes comme un corps malade justifie efficacement l’inégalité des sexes. Le sain et le malsain fonctionnent comme des catégories de pouvoir. Aux Amériques, les premiers naturalistes prennent alors modèle sur la différence sexuelle pour élaborer le concept de « race » : les Indiens Caraïbes ou les esclaves déportés seraient des populations au tempérament pathogène, efféminé et faible.
Ce sont ces articulations entre le genre, la sexualité et la race, et son rôle central dans la formation de la Nation française moderne qu’analyse Elsa Dorlin, au croisement de la philosophie politique, de l’histoire de la médecine et des études sur le genre. L’auteure montre comment on est passé de la définition d’un « tempérament de sexe » à celle d’un « tempérament de race ». La Nation prend littéralement corps dans le modèle féminin de la « mère », blanche, saine et maternelle, opposée aux figures d’une féminité « dégénérée » ? la sorcière, la vaporeuse, la vivandière hommasse, la nymphomane, la tribade et l’esclave africaine. Il apparaît ainsi que le sexe et la race participent d’une même matrice au moment où la Nation française s’engage dans l’esclavage et la colonisation.La matrice de la race : généalogie sexuelle et coloniale de la nation française [texte imprimé] / Elsa Dorlin, Auteur ; Joan Wallach Scott (1941-....), Préfacier, etc. . - Paris : La Découverte, impr. 2009 . - 1 vol. (306 p.) : couv. ill. ; 19 cm. - (La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales. Sciences humaines et sociales) .
ISBN : 978-2-7071-5905-2 : 12,50 EUR
Bibliogr. p. 283-300. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : sexisme racisme sciences histoire médecine Index. décimale : SOC sociologie Résumé : La race a une histoire, qui renvoie à l’histoire de la différence sexuelle. Au XVIIe siècle, les discours médicaux affligent le corps des femmes de mille maux : « suffocation de la matrice » « hystérie », « fureur utérine », etc. La conception du corps des femmes comme un corps malade justifie efficacement l’inégalité des sexes. Le sain et le malsain fonctionnent comme des catégories de pouvoir. Aux Amériques, les premiers naturalistes prennent alors modèle sur la différence sexuelle pour élaborer le concept de « race » : les Indiens Caraïbes ou les esclaves déportés seraient des populations au tempérament pathogène, efféminé et faible.
Ce sont ces articulations entre le genre, la sexualité et la race, et son rôle central dans la formation de la Nation française moderne qu’analyse Elsa Dorlin, au croisement de la philosophie politique, de l’histoire de la médecine et des études sur le genre. L’auteure montre comment on est passé de la définition d’un « tempérament de sexe » à celle d’un « tempérament de race ». La Nation prend littéralement corps dans le modèle féminin de la « mère », blanche, saine et maternelle, opposée aux figures d’une féminité « dégénérée » ? la sorcière, la vaporeuse, la vivandière hommasse, la nymphomane, la tribade et l’esclave africaine. Il apparaît ainsi que le sexe et la race participent d’une même matrice au moment où la Nation française s’engage dans l’esclavage et la colonisation.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11224 SOC DOR Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible Au bonheur des morts / Vinciane Despret
Titre : Au bonheur des morts : récits de ceux qui restent Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Despret (1959-....), Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : DL 2017 Collection : La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales Sous-collection : Sciences humaines et sociales Importance : 1 vol. (222 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-9408-4 Prix : 10 EUR Note générale : Bibliogr., 11 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : mort deuil Index. décimale : ESS Essais Résumé : " Faire son deuil ", tel est l'impératif, presque banal, qui s'impose désormais à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Mais cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable et incontournable si l'on ne veut pas trop souffrir ? Non, répond Vinciane Despret dans ce beau livre de témoignages recueillis auprès de celles et ceux qui, au contraire, ont dit non au travail de deuil en inventant mille manières de vivre, au quotidien, avec leurs morts. " Faire son deuil ", tel est l'impératif qui s'impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s'il ne veut pas trop souffrir ? L'auteure a écouté ce que les gens racontent dans leur vie la plus quotidienne. Et une histoire en a amené une autre. " J'ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu'elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil, etc. " Elle s'est laissé instruire par les manières d'être qu'explorent, ensemble, les morts et les vivants. Elle a su apprendre de la façon dont les vivants se rendent capables d'accueillir la présence de leurs défunts. Depuis un certain temps, les morts s'étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd'hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts soient à nouveau plus actifs. Ils viennent parfois réclamer, plus fréquemment proposer leur aide, soutenir ou consoler... Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux. Au bonheur des morts : récits de ceux qui restent [texte imprimé] / Vinciane Despret (1959-....), Auteur . - Paris : La Découverte, DL 2017 . - 1 vol. (222 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (La Découverte-poche. Sciences humaines et sociales. Sciences humaines et sociales) .
ISBN : 978-2-7071-9408-4 : 10 EUR
Bibliogr., 11 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : mort deuil Index. décimale : ESS Essais Résumé : " Faire son deuil ", tel est l'impératif, presque banal, qui s'impose désormais à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Mais cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable et incontournable si l'on ne veut pas trop souffrir ? Non, répond Vinciane Despret dans ce beau livre de témoignages recueillis auprès de celles et ceux qui, au contraire, ont dit non au travail de deuil en inventant mille manières de vivre, au quotidien, avec leurs morts. " Faire son deuil ", tel est l'impératif qui s'impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s'il ne veut pas trop souffrir ? L'auteure a écouté ce que les gens racontent dans leur vie la plus quotidienne. Et une histoire en a amené une autre. " J'ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu'elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil, etc. " Elle s'est laissé instruire par les manières d'être qu'explorent, ensemble, les morts et les vivants. Elle a su apprendre de la façon dont les vivants se rendent capables d'accueillir la présence de leurs défunts. Depuis un certain temps, les morts s'étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd'hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts soient à nouveau plus actifs. Ils viennent parfois réclamer, plus fréquemment proposer leur aide, soutenir ou consoler... Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12523 ESS DES Livre Bibliothèque de l'EeSI Philosophie Disponible