Titre : | Le miroir obscur : une histoire du cinéma des vampires | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Stéphane Du Mesnildot, Auteur | Editeur : | Pertuis : Rouge profond | Année de publication : | 2013 | Collection : | Décors, ISSN 2270-2903 | Importance : | 1 vol. (125 p.) | Présentation : | ill. en noir et en coul., couv. ill. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-915083-64-4 | Prix : | 15 EUR | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Mots-clés : | vampires | Index. décimale : | THE C Théorie cinéma | Résumé : | "Parler du cinéma, c'est toujours parler de moi, le vampire". Dès ses origines, toutes les conditions étaient réunies pour faire du cinéma l'art privilégié des vampires : une salle plongée dans la nuit éternelle, le faisceau hypnotique du projecteur et, sur l'écran, ces ombres imitant l'apparence de la vie. De façon idéale, le vampire devint la créature expérimentale du cinéma, lui permettant d'éprouver ses limites : retournant l'image en son négatif, en épuisant le noir et blanc, faisant jaillir sa couleur (le rouge, la couleur par excellence), la plongeant dans des extases psychédéliques...
Le pouvoir de fascination prêté aux stars, nul mieux que le vampire ne l'incarna, peuplant un Hollywood spectral d'amants ténébreux et de séductrices d'outre-tombe. Ce livre invite à découvrir une autre histoire du cinéma. Nosferatu, Vampyr, Dracula, Les Prédateurs, The Addiction, Morse, Twixt..., en sont les étapes, et Max Schreck, Nicolas de Gunzburg, Bela Lugosi, Christopher Lee, Andy Warhol, ou encore David Bowie, les héros.(note de l'éditeur) |
Le miroir obscur : une histoire du cinéma des vampires [texte imprimé] / Stéphane Du Mesnildot, Auteur . - Pertuis : Rouge profond, 2013 . - 1 vol. (125 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 21 cm. - ( Décors, ISSN 2270-2903) . ISBN : 978-2-915083-64-4 : 15 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Mots-clés : | vampires | Index. décimale : | THE C Théorie cinéma | Résumé : | "Parler du cinéma, c'est toujours parler de moi, le vampire". Dès ses origines, toutes les conditions étaient réunies pour faire du cinéma l'art privilégié des vampires : une salle plongée dans la nuit éternelle, le faisceau hypnotique du projecteur et, sur l'écran, ces ombres imitant l'apparence de la vie. De façon idéale, le vampire devint la créature expérimentale du cinéma, lui permettant d'éprouver ses limites : retournant l'image en son négatif, en épuisant le noir et blanc, faisant jaillir sa couleur (le rouge, la couleur par excellence), la plongeant dans des extases psychédéliques...
Le pouvoir de fascination prêté aux stars, nul mieux que le vampire ne l'incarna, peuplant un Hollywood spectral d'amants ténébreux et de séductrices d'outre-tombe. Ce livre invite à découvrir une autre histoire du cinéma. Nosferatu, Vampyr, Dracula, Les Prédateurs, The Addiction, Morse, Twixt..., en sont les étapes, et Max Schreck, Nicolas de Gunzburg, Bela Lugosi, Christopher Lee, Andy Warhol, ou encore David Bowie, les héros.(note de l'éditeur) |
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