Titre : | Conrad Botes | Type de document : | document projeté ou vidéo | Editeur : | Angoulême [France] : EESI | Année de publication : | 2013 | Note générale : | Conférence à l'Eesi Angoulême le 15 octobre 2013
| Langues : | Anglais (eng) | Index. décimale : | CONF Conférence | Résumé : | Le travail graphique de Conrad Botes convoque les codes de la pop culture et de la bande dessinée, mais aussi l'esthétique naïve des peintres africains comme Chéri Samba, pour donner naissance à des images violentes, grinçantes et subversives. Les thèmes récurrents de son travail sont la pornographie, le colonialisme et la religion.
« À quelques exceptions près, personne dans nos contrées n'ose être aussi subversif, aussi provocateur, aussi cru, aussi inconvenant que ce que nous nous reprenons aujourd'hui en pleine figure avec Bittercomix. Il aura fallu que notre passé essaime ailleurs, à l'autre bout du monde, pour que nous puissions contempler de nouveau un tel foyer de radicalité graphique sans que cela ne passe pour une posture nostalgique ou une affectation postmodernisante. »
Jean-Christophe Menu, in anthologie Bitterkomix 2009
| En ligne : | http://www.du9.org/chronique/bitterkomix/ |
Conrad Botes [document projeté ou vidéo] . - Angoulême (134 rue de Bordeaux, 16000, France) : EESI, 2013. Conférence à l'Eesi Angoulême le 15 octobre 2013
Langues : Anglais ( eng) Index. décimale : | CONF Conférence | Résumé : | Le travail graphique de Conrad Botes convoque les codes de la pop culture et de la bande dessinée, mais aussi l'esthétique naïve des peintres africains comme Chéri Samba, pour donner naissance à des images violentes, grinçantes et subversives. Les thèmes récurrents de son travail sont la pornographie, le colonialisme et la religion.
« À quelques exceptions près, personne dans nos contrées n'ose être aussi subversif, aussi provocateur, aussi cru, aussi inconvenant que ce que nous nous reprenons aujourd'hui en pleine figure avec Bittercomix. Il aura fallu que notre passé essaime ailleurs, à l'autre bout du monde, pour que nous puissions contempler de nouveau un tel foyer de radicalité graphique sans que cela ne passe pour une posture nostalgique ou une affectation postmodernisante. »
Jean-Christophe Menu, in anthologie Bitterkomix 2009
| En ligne : | http://www.du9.org/chronique/bitterkomix/ |
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