Titre : | S. K. Beau | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Hervé Castanet, Auteur | Editeur : | Paris : Éd. de la Différence | Année de publication : | DL 2010 | Importance : | 1 vol. (219 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7291-1918-8 | Prix : | 20 EUR | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | PSY CHA psychanalyse | Résumé : | Le mot " S.K.beau " est inventé en 1975 par Jacques Lacan pour qualifier l'esthétique de l'écrivain James Joyce. H est ici réemployé, avec sa typographie étonnante, pour dénuder ce réel auquel l'artiste se confronte et que les sublimations possibles voilent : au coeur du Beau (du vrai, du bon, du parfait, du sublime, de l'être...), toujours ce S.K. énigmatique, hors sens. A travers les exemples d'écrivains (Ovide, Rousseau, Poe, Klossowski), de peintres (Titien, Balthus, Picasso), de théoriciens de l'art (Constant, Jorn), de photographes (Witkin, Sylvander), mais aussi de théologiens du christianisme ou de l'islam, se démontre que face à cette rencontre avec un réel, chaque créateur dénoue et renoue l'image ou le mot ou le concept pour en faire traitement. H. Castanet déplie une thèse : ce traitement est sublimation. Il implique les corps vivants et sexués des parlêtres - il est l'S.K.beau sur lequel se hisse l'oeuvre. |
S. K. Beau [texte imprimé] / Hervé Castanet, Auteur . - Paris : Éd. de la Différence, DL 2010 . - 1 vol. (219 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm. ISBN : 978-2-7291-1918-8 : 20 EUR Langues : Français ( fre) Index. décimale : | PSY CHA psychanalyse | Résumé : | Le mot " S.K.beau " est inventé en 1975 par Jacques Lacan pour qualifier l'esthétique de l'écrivain James Joyce. H est ici réemployé, avec sa typographie étonnante, pour dénuder ce réel auquel l'artiste se confronte et que les sublimations possibles voilent : au coeur du Beau (du vrai, du bon, du parfait, du sublime, de l'être...), toujours ce S.K. énigmatique, hors sens. A travers les exemples d'écrivains (Ovide, Rousseau, Poe, Klossowski), de peintres (Titien, Balthus, Picasso), de théoriciens de l'art (Constant, Jorn), de photographes (Witkin, Sylvander), mais aussi de théologiens du christianisme ou de l'islam, se démontre que face à cette rencontre avec un réel, chaque créateur dénoue et renoue l'image ou le mot ou le concept pour en faire traitement. H. Castanet déplie une thèse : ce traitement est sublimation. Il implique les corps vivants et sexués des parlêtres - il est l'S.K.beau sur lequel se hisse l'oeuvre. |
| |