Titre : | Béla Tarr, le temps d'après | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jacques Rancière, Auteur | Editeur : | Capricci | Année de publication : | 2011 | Collection : | Actualité critique, ISSN 2112-9479 num. 6 | Importance : | 1 vol. (88 p.) | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-918040-37-8 | Prix : | 7,95 EUR | Note générale : | Publ. à l'occasion de la rétrospective "Béla Tarr : l'alchimiste", organisée au Centre Pompidou en collaboration avec le Festival d'automne à Paris, du 3 décembre 2011 au 2 janvier 2012 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | REAL cinéma réalisateurs | Résumé : | Bela Tarr, né en 1955 en Hongrie, a commencé à filmer à la fin des années 1970.
Il est l’un des plus grands réalisateurs des trois dernières décennies. Son dernier film, Le cheval de Turin, qui sortira à la fin de l’année, a reçu le Grand prix du jury à la Berlinale. Des rumeurs prétendent qu’il mettrait bientôt fin à sa carrière. Le Centre Pompidou lui consacre une rétrospective intégrale et accompagne ce livre avec les éditions Capricci, dans lequel Jacques Rancière décrit un jeune cinéaste hongrois qui fait partie de ceux qui voulaient bousculer le futur de son pays en prenant la cause de ceux qui voulaient voir les mots traduits en réalité. Le cinéma de Bela Tarr décrit ce monde.
Il montre que le cinéma peut prendre le temps d’affirmer tous ses pouvoirs de montrer et de suggérer. La caméra n’est plus pressée. Rien à voir avec un esthétisme formaliste. Ce n’est pas non plus un constat désabusé. La colère l’habite, intacte. |
Béla Tarr, le temps d'après [texte imprimé] / Jacques Rancière, Auteur . - [S.l.] : Capricci, 2011 . - 1 vol. (88 p.) ; 17 cm. - ( Actualité critique, ISSN 2112-9479; 6) . ISBN : 978-2-918040-37-8 : 7,95 EUR Publ. à l'occasion de la rétrospective "Béla Tarr : l'alchimiste", organisée au Centre Pompidou en collaboration avec le Festival d'automne à Paris, du 3 décembre 2011 au 2 janvier 2012 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | REAL cinéma réalisateurs | Résumé : | Bela Tarr, né en 1955 en Hongrie, a commencé à filmer à la fin des années 1970.
Il est l’un des plus grands réalisateurs des trois dernières décennies. Son dernier film, Le cheval de Turin, qui sortira à la fin de l’année, a reçu le Grand prix du jury à la Berlinale. Des rumeurs prétendent qu’il mettrait bientôt fin à sa carrière. Le Centre Pompidou lui consacre une rétrospective intégrale et accompagne ce livre avec les éditions Capricci, dans lequel Jacques Rancière décrit un jeune cinéaste hongrois qui fait partie de ceux qui voulaient bousculer le futur de son pays en prenant la cause de ceux qui voulaient voir les mots traduits en réalité. Le cinéma de Bela Tarr décrit ce monde.
Il montre que le cinéma peut prendre le temps d’affirmer tous ses pouvoirs de montrer et de suggérer. La caméra n’est plus pressée. Rien à voir avec un esthétisme formaliste. Ce n’est pas non plus un constat désabusé. La colère l’habite, intacte. |
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