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Bruits, cris, musiques de films / Martin Barnier

Public ISBD Titre : Bruits, cris, musiques de films : les projections avant 1914 Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin Barnier, Auteur ; Rick Altman, Préfacier, etc. Editeur : Rennes : Presses universitaires de Rennes Année de publication : 2010 Collection : Le Spectaculaire. Série Cinéma Sous-collection : Série Cinéma Importance : 1 vol. (303 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7535-1203-0 Prix : 20 EUR Note générale : Bibliogr. p. 275-287. Webliogr. p. 287. Index Langues : Français (fre) Index. décimale : THE C Théorie cinéma Résumé : La description classique de l'accompagnement du film muet consiste à dire qu'un pianiste ou un orchestre jouait pendant la projection. Cet ouvrage a pour ambition de retrouver la réalité complexe des spectacles cinématographiques avant l9l4, dont le spectre d'écoute était d'une variété extrême. En explorant les archives municipales, les rubriques des spectacles des quotidiens locaux, la presse corporative, aussi bien qu'en observant les cartes postales de l'époque, on découvre un capharnaüm littéralement inouï. La multitude des lieux de projection explique l'éventail infini des sons entendus par les spectateurs. Car ceux-ci ont découvert les films dans des cafés, des music-halls, des grands magasins, des cirques aussi bien que dans des églises, des salles de classe ou même des patinoires! L'étude d'un grand nombre de villes françaises donne une idée précise de la vie pendant les projections. Le foisonnement sonore permet de redécouvrir l'expérience du spectateur de la Belle Epoque. L'importance de la participation du public est un point fondamental. Les cris, applaudissements et paroles diverses dans des patois variés, accompagnaient les films. Les projections étaient vivantes et, à chaque fois, uniques. Sur les champs de foire, les machines à vapeur - dynamo vrombissantes, les grognements des fauves et le vacarme des orchestrions résonnaient plus fort que le piano. Dans des lieux plus calmes, les paroles des conférenciers, des prêtres, des vulgarisateurs scientifiques et des bonimenteurs captaient l'attention de l'auditoire. Les bruiteurs, eux aussi, influençaient la vision des films et les musiciens, dans des orchestres de toutes tailles rivalisaient avec les chanteurs d'opéra pour amplifier l'émotion provoquée par les images en mouvement. Enfin, la synchronisation mécanique des films était bien plus courante qu'on ne le pense. C'est cette diversité sonore oubliée que ce livre entend remettre en oreille. Ce faisant, il déplace la façon dont l'historiographie traditionnelle présente la réception des films. Bruits, cris, musiques de films : les projections avant 1914 [texte imprimé] / Martin Barnier, Auteur ; Rick Altman, Préfacier, etc. . - Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2010 . - 1 vol. (303 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Le Spectaculaire. Série Cinéma. Série Cinéma) . ISBN : 978-2-7535-1203-0 : 20 EUR Bibliogr. p. 275-287. Webliogr. p. 287. Index Langues : Français (fre) Index. décimale : THE C Théorie cinéma Résumé : La description classique de l'accompagnement du film muet consiste à dire qu'un pianiste ou un orchestre jouait pendant la projection. Cet ouvrage a pour ambition de retrouver la réalité complexe des spectacles cinématographiques avant l9l4, dont le spectre d'écoute était d'une variété extrême. En explorant les archives municipales, les rubriques des spectacles des quotidiens locaux, la presse corporative, aussi bien qu'en observant les cartes postales de l'époque, on découvre un capharnaüm littéralement inouï. La multitude des lieux de projection explique l'éventail infini des sons entendus par les spectateurs. Car ceux-ci ont découvert les films dans des cafés, des music-halls, des grands magasins, des cirques aussi bien que dans des églises, des salles de classe ou même des patinoires! L'étude d'un grand nombre de villes françaises donne une idée précise de la vie pendant les projections. Le foisonnement sonore permet de redécouvrir l'expérience du spectateur de la Belle Epoque. L'importance de la participation du public est un point fondamental. Les cris, applaudissements et paroles diverses dans des patois variés, accompagnaient les films. Les projections étaient vivantes et, à chaque fois, uniques. Sur les champs de foire, les machines à vapeur - dynamo vrombissantes, les grognements des fauves et le vacarme des orchestrions résonnaient plus fort que le piano. Dans des lieux plus calmes, les paroles des conférenciers, des prêtres, des vulgarisateurs scientifiques et des bonimenteurs captaient l'attention de l'auditoire. Les bruiteurs, eux aussi, influençaient la vision des films et les musiciens, dans des orchestres de toutes tailles rivalisaient avec les chanteurs d'opéra pour amplifier l'émotion provoquée par les images en mouvement. Enfin, la synchronisation mécanique des films était bien plus courante qu'on ne le pense. C'est cette diversité sonore oubliée que ce livre entend remettre en oreille. Ce faisant, il déplace la façon dont l'historiographie traditionnelle présente la réception des films.

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07296	THE C BAR	Livre	Bibliothèque de l'EeSI	Cinéma	Disponible

Le film en suspens / Philippe Ragel

Public ISBD Titre : Le film en suspens : la cinéstase, un essai de définition Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Ragel, Auteur Editeur : Rennes : Presses universitaires de Rennes Année de publication : 2015 Collection : Le Spectaculaire. Série Cinéma Sous-collection : Série Cinéma Importance : 1 vol. (220 p.-[21] p. de pl.) Présentation : ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7535-4074-3 Prix : 16 EUR Note générale : Bibliogr. p. 207-213. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : suspens Index. décimale : THE C Théorie cinéma Résumé : Une réflexion sur le concept de cinéstase, désignant la tension dramaturgique repérée à l'origine dans Et la vie continue d'Abbas Kiarostami, entre, d'une part, le mouvement irrépressible du drame porté par la voiture qui se déplace et, d'autre part, l'immobilisation soudaine de l'escale au village. Les mobiles du scénario sont alors relégués au profit d'une expérience sensible et poétique. Le film en suspens : la cinéstase, un essai de définition [texte imprimé] / Philippe Ragel, Auteur . - Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2015 . - 1 vol. (220 p.-[21] p. de pl.) : ill. en coul. ; 21 cm. - (Le Spectaculaire. Série Cinéma. Série Cinéma) . ISBN : 978-2-7535-4074-3 : 16 EUR Bibliogr. p. 207-213. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : suspens Index. décimale : THE C Théorie cinéma Résumé : Une réflexion sur le concept de cinéstase, désignant la tension dramaturgique repérée à l'origine dans Et la vie continue d'Abbas Kiarostami, entre, d'une part, le mouvement irrépressible du drame porté par la voiture qui se déplace et, d'autre part, l'immobilisation soudaine de l'escale au village. Les mobiles du scénario sont alors relégués au profit d'une expérience sensible et poétique.

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09417	THE C RAG	Livre	Bibliothèque de l'EeSI	Cinéma	Disponible

Le cinéma-vérité / Séverine Graff

Public ISBD Titre : Le cinéma-vérité : films et controverses Type de document : texte imprimé Auteurs : Séverine Graff, Auteur ; François Albera, Préfacier, etc. Editeur : Rennes : Presses universitaires de Rennes Année de publication : 2014 Collection : Le Spectaculaire. Série Cinéma Sous-collection : Série Cinéma Importance : 1 vol. (538 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7535-2911-3 Prix : 25 EUR Note générale : Bibliogr. p. 487-525. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Index. décimale : THE C Théorie cinéma Résumé : Peut-on se réclamer du "cinéma" tout en prétendant rendre compte d'une "vérité"? Quelles sont les limites éthiques du dévoilement d'un individu face à une caméra ? Un cinéaste peut-il être pleinement "auteur" d'une oeuvre construite à partir de fragments de réel ? Voilà quelques-unes des questions posées au début des années soixante par la sortie des films qui se revendiquent ou sont associés au "cinéma-vérité". Proposée en 1960 par Edgar Florin, cette notion controversée sert durant quelques années de bannière à un mouvement cinématographique supposé renouveler les rapports entre film et réalité par une approche plus directe, un dispositif d'interactions avec les protagonistes, ou une démarche autoréflexive qui interroge en son sein le projet du film. Chronique d'un été de Jean Rouch et Edgar Morin, Les Inconnus de la terre et Regard sur la folie de Mario Ruspoli, les travaux de Richard Leacock pour la Drew Associates, Le Chemin de la mauvaise route de Jean Herman, Hitler, connais pas de Bertrand Blier, La Punition de Jean Rouch ou encore Le Joli Mai de Pierre Lhomme et Chris Marker : tous ces "films-vérité" renouvellent les débats et construisent de nouveaux clivages dans la cinéphilie française. Sans chercher à se positionner sur le contenu des polémiques, le présent ouvrage retrace pour la première fois l'histoire du mouvement "cinéma-vérité" en s'intéressant aux films (contexte de production, tournages, innovations techniques) et aux discours (articles, débats, tables rondes) qui les ont précédés, accompagnés et traversés. Grâce à de nombreuses sources inédites, Cinéma-vérité, films et controverses met au jour un phénomène d'une importance méconnue dans l'histoire du cinéma en France. Le cinéma-vérité : films et controverses [texte imprimé] / Séverine Graff, Auteur ; François Albera, Préfacier, etc. . - Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2014 . - 1 vol. (538 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Le Spectaculaire. Série Cinéma. Série Cinéma) . ISBN : 978-2-7535-2911-3 : 25 EUR Bibliogr. p. 487-525. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Index. décimale : THE C Théorie cinéma Résumé : Peut-on se réclamer du "cinéma" tout en prétendant rendre compte d'une "vérité"? Quelles sont les limites éthiques du dévoilement d'un individu face à une caméra ? Un cinéaste peut-il être pleinement "auteur" d'une oeuvre construite à partir de fragments de réel ? Voilà quelques-unes des questions posées au début des années soixante par la sortie des films qui se revendiquent ou sont associés au "cinéma-vérité". Proposée en 1960 par Edgar Florin, cette notion controversée sert durant quelques années de bannière à un mouvement cinématographique supposé renouveler les rapports entre film et réalité par une approche plus directe, un dispositif d'interactions avec les protagonistes, ou une démarche autoréflexive qui interroge en son sein le projet du film. Chronique d'un été de Jean Rouch et Edgar Morin, Les Inconnus de la terre et Regard sur la folie de Mario Ruspoli, les travaux de Richard Leacock pour la Drew Associates, Le Chemin de la mauvaise route de Jean Herman, Hitler, connais pas de Bertrand Blier, La Punition de Jean Rouch ou encore Le Joli Mai de Pierre Lhomme et Chris Marker : tous ces "films-vérité" renouvellent les débats et construisent de nouveaux clivages dans la cinéphilie française. Sans chercher à se positionner sur le contenu des polémiques, le présent ouvrage retrace pour la première fois l'histoire du mouvement "cinéma-vérité" en s'intéressant aux films (contexte de production, tournages, innovations techniques) et aux discours (articles, débats, tables rondes) qui les ont précédés, accompagnés et traversés. Grâce à de nombreuses sources inédites, Cinéma-vérité, films et controverses met au jour un phénomène d'une importance méconnue dans l'histoire du cinéma en France.

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09505	THE C GRA	Livre	Bibliothèque de l'EeSI	Cinéma	Disponible

Le film sur l'art / Valentine Robert

Public ISBD Titre : Le film sur l'art : entre histoire de l'art et documentaire de création Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentine Robert, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurent Le Forestier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Albera, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Université de Haute-Bretagne, Editeur scientifique ; Université de Lausanne, Editeur scientifique ; Cinémathèque suisse, Editeur scientifique Editeur : Rennes : Presses universitaires de Rennes Année de publication : 2015 Collection : Le Spectaculaire. Série Cinéma Sous-collection : Série Cinéma Importance : 1 vol. (333 p.) Présentation : ill. noir & blanc Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7535-3604-3 Prix : 20 EUR Note générale : Publ. à l'occasion du colloque international éponyme tenu à l'Université de Lausanne, les 14, 15 et 16 avril 2011 et organisé par les universités de Rennes 2 et de Lausanne associées à la Cinémathèque suisse Filmogr. p. 309-313. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Résumé : Cet ouvrage dresse un historique des « films sur l’art » et considère leur apport à l’histoire de l’art. À cette fin, les contributeurs convoquent des historiens de l’art préoccupés par l’intérêt de ces films (d’Erwin Panofsky à Pierre Francastel), des artistes et critiques d’art liant leurs disciplines au cinéma (comme Jean Cassou et Pierre Huyghe) ou des historiens d’art se faisant cinéastes (tels Carlo Ludovico Ragghianti et Luc Haesaerts). L’ouvrage envisage au-delà du cinéma les enjeux de tels films à la télévision, ainsi que l’art vidéo. (note de l'éditeur) Le film sur l'art : entre histoire de l'art et documentaire de création [texte imprimé] / Valentine Robert, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurent Le Forestier, Directeur de publication, rédacteur en chef ; François Albera, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Université de Haute-Bretagne, Editeur scientifique ; Université de Lausanne, Editeur scientifique ; Cinémathèque suisse, Editeur scientifique . - Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2015 . - 1 vol. (333 p.) : ill. noir & blanc ; 21 cm. - (Le Spectaculaire. Série Cinéma. Série Cinéma) . ISBN : 978-2-7535-3604-3 : 20 EUR Publ. à l'occasion du colloque international éponyme tenu à l'Université de Lausanne, les 14, 15 et 16 avril 2011 et organisé par les universités de Rennes 2 et de Lausanne associées à la Cinémathèque suisse Filmogr. p. 309-313. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Résumé : Cet ouvrage dresse un historique des « films sur l’art » et considère leur apport à l’histoire de l’art. À cette fin, les contributeurs convoquent des historiens de l’art préoccupés par l’intérêt de ces films (d’Erwin Panofsky à Pierre Francastel), des artistes et critiques d’art liant leurs disciplines au cinéma (comme Jean Cassou et Pierre Huyghe) ou des historiens d’art se faisant cinéastes (tels Carlo Ludovico Ragghianti et Luc Haesaerts). L’ouvrage envisage au-delà du cinéma les enjeux de tels films à la télévision, ainsi que l’art vidéo. (note de l'éditeur)

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10190	THE C ROB	Livre	Bibliothèque de l'EeSI	Cinéma	Disponible