ouverture:
du lundi au jeudi:9h - 12h30 et 14h - 18h
vendredi: 9h - 12h30 et 14h - 17h
fermeture durant les vacances scolaires.
Bibliothèque accessible au public extérieur sur rendez-vous.
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les catégories... |
Détail de l'auteur
Auteur Silvia Federici (1942-....)
Documents disponibles écrits par cet auteur



Caliban et la sorcière / Silvia Federici
Titre : Caliban et la sorcière : femmes, corps et accumulation primitive Type de document : texte imprimé Auteurs : Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Julien Guazzini, Traducteur ; Senonevero, Traducteur Mention d'édition : 2e édition Editeur : Genève : Editions Entremonde Année de publication : 2020 Collection : La rupture (Lausanne), ISSN 1662-3231 num. 19 Importance : 1 vol. (409 p.) Présentation : ill.,graph., fac-sim., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940426-37-9 Prix : 24 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : sorcière féminisme moyen-âge capitalisme Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Silvia Federici revisite ce moment particulier de l’histoire qu’est la transition entre le féodalisme et le capitalisme, en y introduisant la perspective particulière de l’histoire des femmes.
Elle nous invite à réfléchir aux rapports d’exploitation et de domination, à la lumière des bouleversements introduits à l’issue du Moyen Âge. Un monde nouveau naissait, privatisant les biens autrefois collectifs, transformant les rapports de travail et les relations de genre. Ce nouveau monde, où des millions d’esclaves ont posé les fondations du capitalisme moderne, est aussi le résultat d’un asservissement systématique des femmes. Par la chasse aux sorcières et l’esclavage, la transition vers le capitalisme faisait de la modernité une affaire de discipline. Discipline des corps féminins dévolus à la reproduction, consumés sur les bûchers comme autant de signaux terrifiants, torturés pour laisser voir leur mécanique intime, anéantis socialement. Discipline des corps d’esclaves, servis à la machine sociale dans un formidable mouvement d’accaparement des ressources du Nouveau Monde pour la fortune de l’ancien.
Le capitalisme contemporain présente des similitudes avec son passé le plus violent. Ce qu’on a décrit comme barbarie et dont aurait su triompher le siècle de la raison est constitutif de ce mode de production : l’esclavage et l’anéantissement des femmes n’étaient pas des processus fortuits, mais des nécessités de l’accumulation de richesse. L’auteur nous invite à partager son son regard d’historienne et de féministe sur la situation actuelle et sur ses mécanismes.Caliban et la sorcière : femmes, corps et accumulation primitive [texte imprimé] / Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Julien Guazzini, Traducteur ; Senonevero, Traducteur . - 2e édition . - Genève : Editions Entremonde, 2020 . - 1 vol. (409 p.) : ill.,graph., fac-sim., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (La rupture (Lausanne), ISSN 1662-3231; 19) .
ISBN : 978-2-940426-37-9 : 24 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : sorcière féminisme moyen-âge capitalisme Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Silvia Federici revisite ce moment particulier de l’histoire qu’est la transition entre le féodalisme et le capitalisme, en y introduisant la perspective particulière de l’histoire des femmes.
Elle nous invite à réfléchir aux rapports d’exploitation et de domination, à la lumière des bouleversements introduits à l’issue du Moyen Âge. Un monde nouveau naissait, privatisant les biens autrefois collectifs, transformant les rapports de travail et les relations de genre. Ce nouveau monde, où des millions d’esclaves ont posé les fondations du capitalisme moderne, est aussi le résultat d’un asservissement systématique des femmes. Par la chasse aux sorcières et l’esclavage, la transition vers le capitalisme faisait de la modernité une affaire de discipline. Discipline des corps féminins dévolus à la reproduction, consumés sur les bûchers comme autant de signaux terrifiants, torturés pour laisser voir leur mécanique intime, anéantis socialement. Discipline des corps d’esclaves, servis à la machine sociale dans un formidable mouvement d’accaparement des ressources du Nouveau Monde pour la fortune de l’ancien.
Le capitalisme contemporain présente des similitudes avec son passé le plus violent. Ce qu’on a décrit comme barbarie et dont aurait su triompher le siècle de la raison est constitutif de ce mode de production : l’esclavage et l’anéantissement des femmes n’étaient pas des processus fortuits, mais des nécessités de l’accumulation de richesse. L’auteur nous invite à partager son son regard d’historienne et de féministe sur la situation actuelle et sur ses mécanismes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12484 SOC FED Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible Le capitalisme patriarcal / Silvia Federici
Titre : Le capitalisme patriarcal Type de document : texte imprimé Auteurs : Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Étienne Dobenesque (1980-....), Traducteur Editeur : Paris : la Fabrique éditions Année de publication : 2019 Importance : 1 vol. (190 p.) Format : 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-358-72178-3 Prix : 15 EUR Note générale : Bibliogr. p. 173-184 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : genre marxisme sexisme Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Comment faire tourner les usines sans les travailleurs vigoureux, nourris, blanchis, qui occupent la chaîne de montage ? Loin de se limiter au travail invisible des femmes au sein du foyer, Federici met en avant la centralité du travail consistant à reproduire la société : combien couterait de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ?
La lutte contre le sexisme n’exige pas tant l’égalité de salaire entre hommes et femmes, ni même la fin de préjugés ou d’une discrimination, mais la réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale, des lieux de vie aux lieux de consommation – ce qui dessine l’horizon d’un communisme de type nouveau.Le capitalisme patriarcal [texte imprimé] / Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Étienne Dobenesque (1980-....), Traducteur . - Paris : la Fabrique éditions, 2019 . - 1 vol. (190 p.) ; 17 cm.
ISBN : 978-2-358-72178-3 : 15 EUR
Bibliogr. p. 173-184
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : genre marxisme sexisme Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Comment faire tourner les usines sans les travailleurs vigoureux, nourris, blanchis, qui occupent la chaîne de montage ? Loin de se limiter au travail invisible des femmes au sein du foyer, Federici met en avant la centralité du travail consistant à reproduire la société : combien couterait de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ?
La lutte contre le sexisme n’exige pas tant l’égalité de salaire entre hommes et femmes, ni même la fin de préjugés ou d’une discrimination, mais la réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale, des lieux de vie aux lieux de consommation – ce qui dessine l’horizon d’un communisme de type nouveau.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12927 SOC FED Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible Réenchanter le monde / Silvia Federici
Titre : Réenchanter le monde : Le féminisme et la politique des communs Type de document : texte imprimé Auteurs : Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Peter Linebaugh (1942-....), Préfacier, etc. ; Noémie Grunenwald, Traducteur Editeur : Lausanne : Entremonde Collection : La Rupture (Lausanne), ISSN 1662-3231 num. 29 Importance : 1 vol. (303 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940426-63-8 Prix : 20 EUROS Note générale : Comprend des références bibliographiques (p. 277-303) Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Résumé : Silvia Federici présente une histoire critique de la politique des communs dans une perspective féministe.
De son vécu au Nigeria et de ses rencontres avec des militantes d’Amérique latine et du monde entier, Federici révèle les luttes quotidiennes des femmes contre la spoliation de leur terre, de leur logement et nourriture. De ses recherches historiques, elle compare les enclosures, qui ont permis la naissance du capitalisme par la destruction des communs et la prolétarisation des populations rurales, aux « nouvelles enclosures » au cœur de la phase actuelle d’accumulation capitaliste mondiale. Cet ouvrage soutient que les luttes autour de la reproduction sociale sont cruciales à la fois pour notre survie économique que pour la construction d’un monde libéré des hiérarchies et des divisions que le capital a implantées dans le corps du prolétariat international.
Federici considère que les communs ne doivent pas être compris comme des îlots de partage dans un océan de relations d’exploitation, mais plutôt comme des espaces autonomes à partir desquels défier l’organisation capitaliste de la vie et du travail.Réenchanter le monde : Le féminisme et la politique des communs [texte imprimé] / Silvia Federici (1942-....), Auteur ; Peter Linebaugh (1942-....), Préfacier, etc. ; Noémie Grunenwald, Traducteur . - Lausanne : Entremonde, [s.d.] . - 1 vol. (303 p.) ; 21 cm. - (La Rupture (Lausanne), ISSN 1662-3231; 29) .
ISBN : 978-2-940426-63-8 : 20 EUROS
Comprend des références bibliographiques (p. 277-303)
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Résumé : Silvia Federici présente une histoire critique de la politique des communs dans une perspective féministe.
De son vécu au Nigeria et de ses rencontres avec des militantes d’Amérique latine et du monde entier, Federici révèle les luttes quotidiennes des femmes contre la spoliation de leur terre, de leur logement et nourriture. De ses recherches historiques, elle compare les enclosures, qui ont permis la naissance du capitalisme par la destruction des communs et la prolétarisation des populations rurales, aux « nouvelles enclosures » au cœur de la phase actuelle d’accumulation capitaliste mondiale. Cet ouvrage soutient que les luttes autour de la reproduction sociale sont cruciales à la fois pour notre survie économique que pour la construction d’un monde libéré des hiérarchies et des divisions que le capital a implantées dans le corps du prolétariat international.
Federici considère que les communs ne doivent pas être compris comme des îlots de partage dans un océan de relations d’exploitation, mais plutôt comme des espaces autonomes à partir desquels défier l’organisation capitaliste de la vie et du travail.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13613 SOC FED Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible