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Auteur Éva Prouteau (1972-....)
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Titre : Laurent Le Deunff Type de document : texte imprimé Auteurs : Clotilde Viannay, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurent Le Deunff (1977 -), Auteur ; Éva Prouteau (1972-....), Auteur ; Clotilde Viannay, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Les éditions l'incroyable Année de publication : 2021 Collection : Collection maxi Importance : 1 vol. (188 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-1-09-482205-0 Prix : 30 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : sculpture volume Index. décimale : MON Monographie Résumé : Un livre-portrait de Laurent Le Deunff, composé d'une série d'entretiens avec les artistes Laurent Le Deunff, Michel Blazy, Stéphanie Cherpin et Louis Gary, le cinéaste Jean-Marc Chapoulie, le philosophe Alexandre Costanzo, les critiques d'art Eva Prouteau et Clotilde Viannay. L'ouvrage est illustré d'œuvres de Laurent Le Deunff, de photographies de famille et de quelques œuvres de ses ami·e·s invité·e·s.
Laurent Le Deunff travaille essentiellement avec des matériaux issus de la nature, privilégiant le bois dont il livre des sculptures qui par leur côté fini s'apparenteraient, dans certains cas, à des formes qui oscillent entre objets d'art, objets manufacturés et objets d'artisanat. L'artiste brouille les pistes et joue de ce savoir faire et de cet aspect « fait main » qu'il n'hésite pas à exacerber lorsqu'il réalise des petites œuvres en rognure d'ongles (Crâne, 2002-2003) ou en dents d'animaux sculptées (Autoportrait, 2003) qui pourraient facilement se situer aux confins d'une forme artistique qui rappellerait celle de l'art brut. Pour Laurent Le Deunff le choix du matériau induit le sujet réalisé (un os en albâtre, une massue en bois à la matière mise à nu). Les motifs s'inspirent très largement de ceux issus de la nature (feux de camp, animaux, tente, grotte) et demeurent sa source principale d'investigation à l'encontre de la prolifération de signes et de matériaux provenant de nos sociétés post-industrielles. L'accessibilité du travail de Laurent Le Deunff cache cependant les enjeux esthétiques qui sont au cœur de sa sculpture et il serait erroné de n'y voir qu'une reprise de motifs populaires remis à un certain goût du jour. La lecture de l'œuvre s'avère, au contraire, bien plus complexe. Les sujets que l'artiste traite, la technique qu'il développe, essentiellement la taille directe, mais aussi celle du modelage (techniques qui appartiennent à l'histoire de la sculpture), affirme l'absence de toute hiérarchie ou catégorie formelle, au-delà d'une conception high and low de l'art dont le questionnement se trouve être au cœur de la création contemporaine. Il serait trop simple de parler d'un « retour à la nature », qui serait commun à quelques artistes, et notamment à quelques sculpteurs, mais il y a chez Laurent Le Deunff un attachement certain pour le monde préservé de la forêt qui servirait de cadre à son travail dans l'élaboration de ce monde personnel.Laurent Le Deunff [texte imprimé] / Clotilde Viannay, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurent Le Deunff (1977 -), Auteur ; Éva Prouteau (1972-....), Auteur ; Clotilde Viannay, Préfacier, etc. . - Paris : Les éditions l'incroyable, 2021 . - 1 vol. (188 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm. - (Collection maxi) .
ISBN : 979-1-09-482205-0 : 30 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : sculpture volume Index. décimale : MON Monographie Résumé : Un livre-portrait de Laurent Le Deunff, composé d'une série d'entretiens avec les artistes Laurent Le Deunff, Michel Blazy, Stéphanie Cherpin et Louis Gary, le cinéaste Jean-Marc Chapoulie, le philosophe Alexandre Costanzo, les critiques d'art Eva Prouteau et Clotilde Viannay. L'ouvrage est illustré d'œuvres de Laurent Le Deunff, de photographies de famille et de quelques œuvres de ses ami·e·s invité·e·s.
Laurent Le Deunff travaille essentiellement avec des matériaux issus de la nature, privilégiant le bois dont il livre des sculptures qui par leur côté fini s'apparenteraient, dans certains cas, à des formes qui oscillent entre objets d'art, objets manufacturés et objets d'artisanat. L'artiste brouille les pistes et joue de ce savoir faire et de cet aspect « fait main » qu'il n'hésite pas à exacerber lorsqu'il réalise des petites œuvres en rognure d'ongles (Crâne, 2002-2003) ou en dents d'animaux sculptées (Autoportrait, 2003) qui pourraient facilement se situer aux confins d'une forme artistique qui rappellerait celle de l'art brut. Pour Laurent Le Deunff le choix du matériau induit le sujet réalisé (un os en albâtre, une massue en bois à la matière mise à nu). Les motifs s'inspirent très largement de ceux issus de la nature (feux de camp, animaux, tente, grotte) et demeurent sa source principale d'investigation à l'encontre de la prolifération de signes et de matériaux provenant de nos sociétés post-industrielles. L'accessibilité du travail de Laurent Le Deunff cache cependant les enjeux esthétiques qui sont au cœur de sa sculpture et il serait erroné de n'y voir qu'une reprise de motifs populaires remis à un certain goût du jour. La lecture de l'œuvre s'avère, au contraire, bien plus complexe. Les sujets que l'artiste traite, la technique qu'il développe, essentiellement la taille directe, mais aussi celle du modelage (techniques qui appartiennent à l'histoire de la sculpture), affirme l'absence de toute hiérarchie ou catégorie formelle, au-delà d'une conception high and low de l'art dont le questionnement se trouve être au cœur de la création contemporaine. Il serait trop simple de parler d'un « retour à la nature », qui serait commun à quelques artistes, et notamment à quelques sculpteurs, mais il y a chez Laurent Le Deunff un attachement certain pour le monde préservé de la forêt qui servirait de cadre à son travail dans l'élaboration de ce monde personnel.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12498 MON LED Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Sorti jusqu'au 01/09/2025 Makiko Furuichi / Fonds régional d'art contemporain
Titre : Makiko Furuichi : kaki kukeko Type de document : texte imprimé Auteurs : Fonds régional d'art contemporain, Collectivité éditrice ; Éva Prouteau (1972-....), Auteur Editeur : Carquefou : Frac des Pays de la Loire Année de publication : 2018 Collection : Instantané num. 97 Importance : 1 vol. (15p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 22cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-906247-97-0 Prix : 5 EUR Note générale : Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition éponyme, qui s'est déroulée à Carquefou, dans la salle Mario Toran du Frac des Pays de la Loire, du 23 juin au 7 octobre 2018 Langues : Français (fre) Anglais (eng) Mots-clés : peinture Index. décimale : MON Monographie Résumé : Makiko Furuichi a coutume de dire qu’elle dessine et peint les personnages qui flottent dans sa tête, des personnages qui font partie de ses rêves, de son imaginaire de Mangaka refoulée, ou de la réalité médiatique qui l’entoure, et parfois l’obsède. Miroir de cette scène mentale, l’œuvre fait défiler une foule d’êtres onctueux et trempés dont le visage divague, dont le corps se liquéfie, tenté par l’abstraction, le flou et l’échappée. Comme dans les rêves et les contes, ces visions éclosent sans prévenir, à la fois empathiques et cruelles, douces et terribles, traversées par la présence animale et végétale, mais consacrées en majeure partie au portrait d’êtres presque humains, porteurs d’émotions troubles. Makiko Furuichi : kaki kukeko [texte imprimé] / Fonds régional d'art contemporain, Collectivité éditrice ; Éva Prouteau (1972-....), Auteur . - Carquefou : Frac des Pays de la Loire, 2018 . - 1 vol. (15p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 22cm. - (Instantané; 97) .
ISBN : 978-2-906247-97-0 : 5 EUR
Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition éponyme, qui s'est déroulée à Carquefou, dans la salle Mario Toran du Frac des Pays de la Loire, du 23 juin au 7 octobre 2018
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Mots-clés : peinture Index. décimale : MON Monographie Résumé : Makiko Furuichi a coutume de dire qu’elle dessine et peint les personnages qui flottent dans sa tête, des personnages qui font partie de ses rêves, de son imaginaire de Mangaka refoulée, ou de la réalité médiatique qui l’entoure, et parfois l’obsède. Miroir de cette scène mentale, l’œuvre fait défiler une foule d’êtres onctueux et trempés dont le visage divague, dont le corps se liquéfie, tenté par l’abstraction, le flou et l’échappée. Comme dans les rêves et les contes, ces visions éclosent sans prévenir, à la fois empathiques et cruelles, douces et terribles, traversées par la présence animale et végétale, mais consacrées en majeure partie au portrait d’êtres presque humains, porteurs d’émotions troubles. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12348 MON FUR Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Disponible La stratégie du sandwich / Quentin Faucompré
Titre : La stratégie du sandwich Type de document : texte imprimé Auteurs : Quentin Faucompré, Illustrateur ; Éva Prouteau (1972-....), Auteur ; Jackie Berroyer (1946-....), Auteur Editeur : Bordeaux : Les Requins marteaux Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (240 p.) Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84961-243-9 Prix : 25 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : dessin bande-dessinée performance installation Index. décimale : MON Monographie Résumé : Quentin Faucompré travaille à la base le dessin, mais ne s'interdit aucun autre terrain de jeux. Il alterne expositions, éditions et performances. La Stratégie du sandwich est un livre inventaire qui réunit certaines pièces-ingrédients du puzzle que représente l'étendue de son travail. Chaque proposition y est présentée en fonction de sa nature formelle. Ainsi, la photographie montre l'objet livre et les installations, les captures d'écran figurent une trace des performances, l'imprimé expose le dessin... Le livre est une généreuse psychanalyse en roue libre, un rituel sous acide, non dénué parfois d'activisme politique, une véritable invitation à se frotter à un existentialisme farceur. La Stratégie du sandwich est accompagné de textes d'Éva Prouteau et de Jackie Berroyer. La stratégie du sandwich [texte imprimé] / Quentin Faucompré, Illustrateur ; Éva Prouteau (1972-....), Auteur ; Jackie Berroyer (1946-....), Auteur . - Bordeaux : Les Requins marteaux, 2018 . - 1 vol. (240 p.) : ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-84961-243-9 : 25 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : dessin bande-dessinée performance installation Index. décimale : MON Monographie Résumé : Quentin Faucompré travaille à la base le dessin, mais ne s'interdit aucun autre terrain de jeux. Il alterne expositions, éditions et performances. La Stratégie du sandwich est un livre inventaire qui réunit certaines pièces-ingrédients du puzzle que représente l'étendue de son travail. Chaque proposition y est présentée en fonction de sa nature formelle. Ainsi, la photographie montre l'objet livre et les installations, les captures d'écran figurent une trace des performances, l'imprimé expose le dessin... Le livre est une généreuse psychanalyse en roue libre, un rituel sous acide, non dénué parfois d'activisme politique, une véritable invitation à se frotter à un existentialisme farceur. La Stratégie du sandwich est accompagné de textes d'Éva Prouteau et de Jackie Berroyer. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11601 MON FAU Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Disponible Vincent Olinet / Éva Prouteau
Titre : Vincent Olinet Type de document : texte imprimé Auteurs : Éva Prouteau (1972-....), Auteur ; Marie Dupas, Auteur Editeur : Paris : Éd. Dilecta Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (207 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-373-72125-6 Prix : 32 EUR Note générale : Texte français et trad. anglaise
IndexLangues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Mots-clés : installations céramique quotidien nourriture Index. décimale : MON Monographie Résumé : Né en 1981 à Lyon, Vincent Olinet vit et travaille à Paris. Diplômé de l’École nationale des beaux-arts de Lyon en 2005, il se fait remarquer par le grand public en 2009, lorsqu’il expose son œuvre Pas encore mon histoire, sorte de faux lit de princesse flottant, dans la fontaine des Tuileries à Paris pour la Fiac.
Son goût pour l’expérimentation, la subversion et la théâtralité le conduit très vite à s’intéresser à nombre de styles, du côté « usine à rêves » de la scène californienne au baroque et au rococo, en passant par les natures mortes hollandaises du XVIIe siècle. Les installations de l’artiste fonctionnent ainsi par détournement de références de l’histoire de l’art mais surtout d’objets usuels et domestiques – lits, balais, lustres, bateaux, gâteaux, tartines – qui, libérés de leurs fonctions initiales, se trouvent alors exploités pour leurs potentialités oniriques. Glissant du domaine du familier à celui de l’étrange, échappant par-là aux catégories de genres et d’utilités, les objets de Vincent Olinet proposent simultanément une réflexion sur l’espace et le temps : « ses volumes oscillent entre l’hyperconstruction et la coulure, la profusion vitale et la mort annoncée » (Eva Prouteau, « Accomodations », Vincent Olinet, Éditions Dilecta, 2022) dans une distorsion des échelles qui perturbe nos perceptions habituelles. Sous des apparences faussement naïves, les oeuvres aux formes excessives et couleurs flamboyantes de Vincent Olinet traduisent sa volonté d’impliquer le corps du regardeur et de l’entrainer, en l’absence d’interprétation univoque, vers le domaine du conte. Attaché à la notion de trompe-l’oeil lorsqu’il imite le résultat de savoir-faire traditionnels, de la marqueterie à la tapisserie, en passant par la pâtisserie, avec des matériaux pauvres contemporains – silicone, résine, encre, etc. – et des matériaux bruts – bois, papier, tissu –, Vincent Olinet s’attelle à reproduire ce qui, dans l’imaginaire collectif, est a priori estimé beau. L’ensemble hétéroclite de ses oeuvres, composé notamment d’énormes gâteaux qui s’affaissent sous le poids de leurs nappages (série « Gros gâteau »), ou de balais faits de cheveux, naturels ou synthétiques (série « After the Waves/the Waifs ») remettent ainsi en question les notions de faux-semblant et de bon goût.Vincent Olinet [texte imprimé] / Éva Prouteau (1972-....), Auteur ; Marie Dupas, Auteur . - Paris : Éd. Dilecta, 2022 . - 1 vol. (207 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-373-72125-6 : 32 EUR
Texte français et trad. anglaise
Index
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre)
Mots-clés : installations céramique quotidien nourriture Index. décimale : MON Monographie Résumé : Né en 1981 à Lyon, Vincent Olinet vit et travaille à Paris. Diplômé de l’École nationale des beaux-arts de Lyon en 2005, il se fait remarquer par le grand public en 2009, lorsqu’il expose son œuvre Pas encore mon histoire, sorte de faux lit de princesse flottant, dans la fontaine des Tuileries à Paris pour la Fiac.
Son goût pour l’expérimentation, la subversion et la théâtralité le conduit très vite à s’intéresser à nombre de styles, du côté « usine à rêves » de la scène californienne au baroque et au rococo, en passant par les natures mortes hollandaises du XVIIe siècle. Les installations de l’artiste fonctionnent ainsi par détournement de références de l’histoire de l’art mais surtout d’objets usuels et domestiques – lits, balais, lustres, bateaux, gâteaux, tartines – qui, libérés de leurs fonctions initiales, se trouvent alors exploités pour leurs potentialités oniriques. Glissant du domaine du familier à celui de l’étrange, échappant par-là aux catégories de genres et d’utilités, les objets de Vincent Olinet proposent simultanément une réflexion sur l’espace et le temps : « ses volumes oscillent entre l’hyperconstruction et la coulure, la profusion vitale et la mort annoncée » (Eva Prouteau, « Accomodations », Vincent Olinet, Éditions Dilecta, 2022) dans une distorsion des échelles qui perturbe nos perceptions habituelles. Sous des apparences faussement naïves, les oeuvres aux formes excessives et couleurs flamboyantes de Vincent Olinet traduisent sa volonté d’impliquer le corps du regardeur et de l’entrainer, en l’absence d’interprétation univoque, vers le domaine du conte. Attaché à la notion de trompe-l’oeil lorsqu’il imite le résultat de savoir-faire traditionnels, de la marqueterie à la tapisserie, en passant par la pâtisserie, avec des matériaux pauvres contemporains – silicone, résine, encre, etc. – et des matériaux bruts – bois, papier, tissu –, Vincent Olinet s’attelle à reproduire ce qui, dans l’imaginaire collectif, est a priori estimé beau. L’ensemble hétéroclite de ses oeuvres, composé notamment d’énormes gâteaux qui s’affaissent sous le poids de leurs nappages (série « Gros gâteau »), ou de balais faits de cheveux, naturels ou synthétiques (série « After the Waves/the Waifs ») remettent ainsi en question les notions de faux-semblant et de bon goût.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13221 MON OLI Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Disponible