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Auteur Paul B. Preciado
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Titre : Un appartement sur Uranus : chroniques de la traversée Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul B. Preciado Editeur : Paris : Bernard Grasset Année de publication : 2019 Collection : Points Féministe Importance : 1 vol. (288 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-8965-7 Prix : 7,70 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Au XIX siècle, lorsque l’homosexualité est inventée comme crime et maladie mentale en Europe, l’écrivain Karl Heinrich Ulrich est le premier à se déclarer « uraniste » et à affirmer les droits de « ceux qui aiment différemment ». Après lui, Preciado refuse le protocole médico-légal de changement de sexe et entreprend un projet de transformation de son corps et de sa subjectivité via l’auto-administration de testostérone. Il relate cette traversée, ce devenir « homme-trans », au fil de chroniques dans Libération entamées comme Beatriz et poursuivies une fois devenu Paul.
Il y développe une philosophie politique dépassant les questions de sexualité et évoque des questions politico-sociales comme le devenir néo-fasciste en Europe, la crise grecque, les luttes zapatistes au Mexique, le conflit en Catalogne.
Car la dualité sexuelle et son épistémologie binaire sont le cadre général de nos sociétés « technopatriarcales et hétérocentrées ». La masculinité s’y définit par le droit des hommes à donner la mort et la féminité par l’obligation des femmes à donner la vie. L’hétérosexualité est à la fois une politique du désir et un régime de gouvernement imposant un système de violence et de domination. Face à ce régime, la culture queer et trans est celle du l’expérimentation du genre et de la non-naturalisation des positions de pouvoir. Les corps sont équivalents, le pouvoir est redistribué.
En devenant Paul, Preciado, « dissident du système genre-genre », met en pratique la révolution sexuelle et politique qu’il appelle de ses vœux. Il propose ainsi une cartographie de technologies du pouvoir aussi bien qu’une guide des nouvelles stratégies de résistance à la norme.Un appartement sur Uranus : chroniques de la traversée [texte imprimé] / Paul B. Preciado . - Paris : Bernard Grasset, 2019 . - 1 vol. (288 p.) ; 18 cm. - (Points Féministe) .
ISBN : 978-2-7578-8965-7 : 7,70 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Au XIX siècle, lorsque l’homosexualité est inventée comme crime et maladie mentale en Europe, l’écrivain Karl Heinrich Ulrich est le premier à se déclarer « uraniste » et à affirmer les droits de « ceux qui aiment différemment ». Après lui, Preciado refuse le protocole médico-légal de changement de sexe et entreprend un projet de transformation de son corps et de sa subjectivité via l’auto-administration de testostérone. Il relate cette traversée, ce devenir « homme-trans », au fil de chroniques dans Libération entamées comme Beatriz et poursuivies une fois devenu Paul.
Il y développe une philosophie politique dépassant les questions de sexualité et évoque des questions politico-sociales comme le devenir néo-fasciste en Europe, la crise grecque, les luttes zapatistes au Mexique, le conflit en Catalogne.
Car la dualité sexuelle et son épistémologie binaire sont le cadre général de nos sociétés « technopatriarcales et hétérocentrées ». La masculinité s’y définit par le droit des hommes à donner la mort et la féminité par l’obligation des femmes à donner la vie. L’hétérosexualité est à la fois une politique du désir et un régime de gouvernement imposant un système de violence et de domination. Face à ce régime, la culture queer et trans est celle du l’expérimentation du genre et de la non-naturalisation des positions de pouvoir. Les corps sont équivalents, le pouvoir est redistribué.
En devenant Paul, Preciado, « dissident du système genre-genre », met en pratique la révolution sexuelle et politique qu’il appelle de ses vœux. Il propose ainsi une cartographie de technologies du pouvoir aussi bien qu’une guide des nouvelles stratégies de résistance à la norme.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13100 SOC PRE Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible Je suis un monstre qui vous parle / Paul B. Preciado
Titre : Je suis un monstre qui vous parle : rapport pour une académie de psychanalystes Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul B. Preciado, Auteur Année de publication : DL2020 Importance : 1 vol. (126 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-82556-2 Prix : 9 EUR Note générale : Discours de l'auteur prononcé le 17 novembre 2019 à l'occasion des journées de l'École de la cause freudienne en France sur le thème "Femmes en psychanalyse" Langues : Français (fre) Mots-clés : genre transidentités psychanalyse Index. décimale : PSY CHA psychanalyse Résumé : En novembre 2019, Paul Preciado s’exprime devant 3500 psychanalystes lors des journées internationales de l’Ecole de la Cause Freudienne à Paris. Devant la profession qui l’a diagnostiqué « malade mental » et « dysphorique du genre », il s’appuie sur Kafka et son Rapport pour une académie, dans lequel un singe parlant discourt devant une assemblée de scientifiques. Loin de toute émancipation, le singe parlant de Kafka explique que son apprentissage du langage ne fut qu’un passage d’une cage à une autre : des barreaux de fer à la subjectivité humaine.
Depuis sa cage de « mutant », il ne s’agit pas pour Preciado de parler de l’homophobie ou la transphobie des pères fondateurs de la psychanalyse, mais de montrer la complicité de celle-ci avec une idéologie de la différence sexuelle datant de l’ère coloniale, aujourd’hui rendue obsolète par les moyens dont nous disposons pour influer sur nos corps et notre façon de procréer.
Surtout, le philosophe lance un appel à la transformation des discours et des pratiques psychologiques et psychanalytiques : dans les années à venir, nous devrons élaborer collectivement une épistémologie capable de rendre compte de la multiplicité des vivants, sans réduire le corps à sa force reproductive hétérosexuelle, et qui ne légitime pas la violence hétéro-patriarcale et coloniale.
La conférence provoque un séisme dans l’auditoire et depuis les associations psychanalytiques se déchirent. Filmé par des smartphones, le discours est mis en ligne et des fragments sont retranscrits, traduits et publiés sur internet sans souci d’exactitude. Afin d’élargir le débat, il importait de publier ce texte dans son intégralité.Je suis un monstre qui vous parle : rapport pour une académie de psychanalystes [texte imprimé] / Paul B. Preciado, Auteur . - DL2020 . - 1 vol. (126 p.) ; 19 cm.
ISBN : 978-2-246-82556-2 : 9 EUR
Discours de l'auteur prononcé le 17 novembre 2019 à l'occasion des journées de l'École de la cause freudienne en France sur le thème "Femmes en psychanalyse"
Langues : Français (fre)
Mots-clés : genre transidentités psychanalyse Index. décimale : PSY CHA psychanalyse Résumé : En novembre 2019, Paul Preciado s’exprime devant 3500 psychanalystes lors des journées internationales de l’Ecole de la Cause Freudienne à Paris. Devant la profession qui l’a diagnostiqué « malade mental » et « dysphorique du genre », il s’appuie sur Kafka et son Rapport pour une académie, dans lequel un singe parlant discourt devant une assemblée de scientifiques. Loin de toute émancipation, le singe parlant de Kafka explique que son apprentissage du langage ne fut qu’un passage d’une cage à une autre : des barreaux de fer à la subjectivité humaine.
Depuis sa cage de « mutant », il ne s’agit pas pour Preciado de parler de l’homophobie ou la transphobie des pères fondateurs de la psychanalyse, mais de montrer la complicité de celle-ci avec une idéologie de la différence sexuelle datant de l’ère coloniale, aujourd’hui rendue obsolète par les moyens dont nous disposons pour influer sur nos corps et notre façon de procréer.
Surtout, le philosophe lance un appel à la transformation des discours et des pratiques psychologiques et psychanalytiques : dans les années à venir, nous devrons élaborer collectivement une épistémologie capable de rendre compte de la multiplicité des vivants, sans réduire le corps à sa force reproductive hétérosexuelle, et qui ne légitime pas la violence hétéro-patriarcale et coloniale.
La conférence provoque un séisme dans l’auditoire et depuis les associations psychanalytiques se déchirent. Filmé par des smartphones, le discours est mis en ligne et des fragments sont retranscrits, traduits et publiés sur internet sans souci d’exactitude. Afin d’élargir le débat, il importait de publier ce texte dans son intégralité.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13101 PSY CHA PRE Livre Bibliothèque de l'EeSI Psychanalyse Disponible Miriam Cahn / Marta Dziewanska
Titre : Miriam Cahn : ma pensée sérielle ; [exposition, Paris, Palais de Tokyo, du 16 février au 14 mai 2023] Type de document : texte imprimé Auteurs : Marta Dziewanska (19..-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Clara Schulmann, Auteur ; Emma Lavigne, Auteur ; Paul B. Preciado, Auteur ; Patricia Falguières, Auteur ; Elisabeth Lebovici (1953-....), Auteur ; Natasa Petre?sin-Bachelez (1976-....), Auteur ; Amin Alsaden (19..-....), Auteur ; Iryna Tsilyk (1982-....), Auteur ; Palais de Tokyo, Collectivité éditrice Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : 2023 Autre Editeur : Paris : Palais de Tokyo Importance : 1 vol. (191 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-041362-8 Prix : 39 EUR Langues : Français (fre) Mots-clés : peinture Index. décimale : MON Monographie Résumé : Façonnée par l’émergence du féminisme de la deuxième vague, la pratique artistique de Miriam Cahn affronte la matérialité du corps et nous confronte à des préoccupations sociopolitiques présentes dans l’actualité. À la fois obsédantes et ambiguës, les œuvres de Miriam Cahn explorent différents aspects de notre réalité corporelle : abjection, vulnérabilité, ignobilité, et nous incitent à regarder en face des événements dont nous sommes si souvent désireux de détourner le regard. L’artiste dresse ainsi un éventail d’images contemporaines de notre humanité et introduit des réflexions à propos des systèmes de violence, du pouvoir, du nucléaire, du féminisme ou de la sexualité.
La publication Miriam Cahn Ma pensée sérielle accompagne la première grande exposition de cette artiste suisse en France. Il s’agit d’une collection de textes qui, plutôt que d’analyser et d’expliquer son œuvre, lui laissent la parole ou permettent à d’autres d’y répondre.Note de contenu : Avec les textes de
Marta Dziewańska et Emma Lavigne, co-commissaires de l’exposition, Amin Alsaden, Paul B. Preciado, Iryna Tsilyk, deux entretiens de Miriam Cahn avec Patricia Falguières, Elisabeth Lebovici et Nataša Petrešin-Bachelez et avec Clara Schulmann et une sélection d’écrits récents de l’artiste.Miriam Cahn : ma pensée sérielle ; [exposition, Paris, Palais de Tokyo, du 16 février au 14 mai 2023] [texte imprimé] / Marta Dziewanska (19..-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Clara Schulmann, Auteur ; Emma Lavigne, Auteur ; Paul B. Preciado, Auteur ; Patricia Falguières, Auteur ; Elisabeth Lebovici (1953-....), Auteur ; Natasa Petre?sin-Bachelez (1976-....), Auteur ; Amin Alsaden (19..-....), Auteur ; Iryna Tsilyk (1982-....), Auteur ; Palais de Tokyo, Collectivité éditrice . - Paris : Flammarion : Paris : Palais de Tokyo, 2023 . - 1 vol. (191 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 28 cm.
ISBN : 978-2-08-041362-8 : 39 EUR
Langues : Français (fre)
Mots-clés : peinture Index. décimale : MON Monographie Résumé : Façonnée par l’émergence du féminisme de la deuxième vague, la pratique artistique de Miriam Cahn affronte la matérialité du corps et nous confronte à des préoccupations sociopolitiques présentes dans l’actualité. À la fois obsédantes et ambiguës, les œuvres de Miriam Cahn explorent différents aspects de notre réalité corporelle : abjection, vulnérabilité, ignobilité, et nous incitent à regarder en face des événements dont nous sommes si souvent désireux de détourner le regard. L’artiste dresse ainsi un éventail d’images contemporaines de notre humanité et introduit des réflexions à propos des systèmes de violence, du pouvoir, du nucléaire, du féminisme ou de la sexualité.
La publication Miriam Cahn Ma pensée sérielle accompagne la première grande exposition de cette artiste suisse en France. Il s’agit d’une collection de textes qui, plutôt que d’analyser et d’expliquer son œuvre, lui laissent la parole ou permettent à d’autres d’y répondre.Note de contenu : Avec les textes de
Marta Dziewańska et Emma Lavigne, co-commissaires de l’exposition, Amin Alsaden, Paul B. Preciado, Iryna Tsilyk, deux entretiens de Miriam Cahn avec Patricia Falguières, Elisabeth Lebovici et Nataša Petrešin-Bachelez et avec Clara Schulmann et une sélection d’écrits récents de l’artiste.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13358 MON CAH Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Disponible Pornotopie / Paul B. Preciado
Titre : Pornotopie : Playboy et l'invention de la sexualité multimédia Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul B. Preciado, Auteur ; Serge Mestre (1952-....), Traducteur Editeur : Paris : Seuil Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (234 p.-[8] p. de pl.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-148350-5 Prix : 22 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Mots-clés : sexualité architecture médias pornographie Playboy Index. décimale : SOC sociologie Résumé : « Je voulais faire de ce Manoir une maison de rêve. Un lieu où travailler et aussi s’amuser, sans les problèmes et les conflits du monde extérieur. À l’intérieur, un célibataire avait le contrôle total de son environnement. Je pouvais passer de la nuit au jour, visionner un film à minuit et commander à dîner à midi, avoir des réunions au milieu de la nuit et des rendez-vous galants l’après-midi.»
Voici le projet de Hugh Hefner, le créateur du magazine Playboy et concepteur du fameux Manoir à l’intérieur duquel il va se confiner pendant plus de quarante ans. Publié pour la première fois en 1953, Playboy n’a pas seulement été le premier magazine érotique populaire des États-Unis ; il a également fini par incarner un style de vie entièrement nouveau, construisant une série d’espaces multimédia et utopiques : manoir, penthouse, clubs, hôtels… tous ultraconnectés, comme s’ils préfiguraient l’ère contemporaine de l’incessante émission-réception d’images et d’informations et d’une vie conçue pour se donner en spectacle. Simultanément, l’invention de la pilule contraceptive donne accès à une technique biochimique qui sépare la sexualité (hétéro) et la reproduction.
Là où on a pour habitude de ne voir que des femmes déguisées en lapin pour le plaisir des hommes, Paul B. Preciado étudie les relations stratégiques entre l’espace, le genre et la sexualité dans des sites liés à la production et à la consommation de pornographie hétérosexuelle restés en marge des histoires traditionnelles de l’architecture : garçonnières, lits rotatifs multimédias ou objets de design.
En combinant les perspectives historiques avec la théorie critique contemporaine, la philosophie de la technologie et un éventail de sources primaires transdisciplinaires – Sade, Ledoux, Restif de la Bretonne, Giedion ou Banham, traités sur la sexualité, manuels médicaux et pharmaceutiques, journaux d’architecture, magazines érotiques, manuels de construction et romans –, Pornotopia explore l’utilisation de l’architecture comme technique biopolitique pour gouverner les relations sexuelles et la production du genre pendant la guerre froide aux États-Unis, et raconte la genèse de la nouvelle masculinité hétérosexuelle des réseaux sociaux d’aujourd’hui.Note de contenu : Postface de l'auteur : "Sick Bunny : Playboy après #MeToo et le SARS-CoV-2", p. 191-[199] Pornotopie : Playboy et l'invention de la sexualité multimédia [texte imprimé] / Paul B. Preciado, Auteur ; Serge Mestre (1952-....), Traducteur . - Paris : Seuil, 2022 . - 1 vol. (234 p.-[8] p. de pl.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-02-148350-5 : 22 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa)
Mots-clés : sexualité architecture médias pornographie Playboy Index. décimale : SOC sociologie Résumé : « Je voulais faire de ce Manoir une maison de rêve. Un lieu où travailler et aussi s’amuser, sans les problèmes et les conflits du monde extérieur. À l’intérieur, un célibataire avait le contrôle total de son environnement. Je pouvais passer de la nuit au jour, visionner un film à minuit et commander à dîner à midi, avoir des réunions au milieu de la nuit et des rendez-vous galants l’après-midi.»
Voici le projet de Hugh Hefner, le créateur du magazine Playboy et concepteur du fameux Manoir à l’intérieur duquel il va se confiner pendant plus de quarante ans. Publié pour la première fois en 1953, Playboy n’a pas seulement été le premier magazine érotique populaire des États-Unis ; il a également fini par incarner un style de vie entièrement nouveau, construisant une série d’espaces multimédia et utopiques : manoir, penthouse, clubs, hôtels… tous ultraconnectés, comme s’ils préfiguraient l’ère contemporaine de l’incessante émission-réception d’images et d’informations et d’une vie conçue pour se donner en spectacle. Simultanément, l’invention de la pilule contraceptive donne accès à une technique biochimique qui sépare la sexualité (hétéro) et la reproduction.
Là où on a pour habitude de ne voir que des femmes déguisées en lapin pour le plaisir des hommes, Paul B. Preciado étudie les relations stratégiques entre l’espace, le genre et la sexualité dans des sites liés à la production et à la consommation de pornographie hétérosexuelle restés en marge des histoires traditionnelles de l’architecture : garçonnières, lits rotatifs multimédias ou objets de design.
En combinant les perspectives historiques avec la théorie critique contemporaine, la philosophie de la technologie et un éventail de sources primaires transdisciplinaires – Sade, Ledoux, Restif de la Bretonne, Giedion ou Banham, traités sur la sexualité, manuels médicaux et pharmaceutiques, journaux d’architecture, magazines érotiques, manuels de construction et romans –, Pornotopia explore l’utilisation de l’architecture comme technique biopolitique pour gouverner les relations sexuelles et la production du genre pendant la guerre froide aux États-Unis, et raconte la genèse de la nouvelle masculinité hétérosexuelle des réseaux sociaux d’aujourd’hui.Note de contenu : Postface de l'auteur : "Sick Bunny : Playboy après #MeToo et le SARS-CoV-2", p. 191-[199] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13098 SOC PRE Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible Queer zones / Sam Bourcier
Titre : Queer zones : la trilogie Type de document : texte imprimé Auteurs : Sam Bourcier, Auteur ; Paul B. Preciado, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Éditions Amsterdam Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (763 p.) Présentation : ill., couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-354-80174-8 Prix : 29 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Queer Zones. La trilogie regroupe les trois volumes du même nom publiés entre 2000 et 2011, dont le désormais classique Queer Zones. Politique des identités et des savoirs, qui a impulsé la théorie et la politique queer en France. On y voit surgir au fil des pages la post-pornographie ainsi que des explorations politiques, théoriques et personnelles qui renouvellent le féminisme, les études de genre et la théorie du genre. S'y croisent Wittig et Foucault, Butler et Despentes, Deleuze-Guattari et Monika Treut, à l'ombre des subcultures et des subjectivités minoritaires, vivantes et dissidentes, proliférantes et militantes. Mêlant, dans un style flamboyant, recherche et critique, chronique et polémique, Sam Bourcier construit un féminisme pro-sexe et biopolitique qui est une réflexion plus large sur les relations entre pouvoir et savoirs, corps et disciplines. Ars erotica, ars theorica, ars politica : la trilogie est l'indispensable boîte à outils de celles et ceux qui veulent sortir des cadres hétéro- et homo-normatifs, du musée de la différence sexuelle et de la binarité - en un mot, vivre et penser comme des queers Queer zones : la trilogie [texte imprimé] / Sam Bourcier, Auteur ; Paul B. Preciado, Préfacier, etc. . - Paris : Éditions Amsterdam, 2018 . - 1 vol. (763 p.) : ill., couv. ill. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-354-80174-8 : 29 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : SOC sociologie Résumé : Queer Zones. La trilogie regroupe les trois volumes du même nom publiés entre 2000 et 2011, dont le désormais classique Queer Zones. Politique des identités et des savoirs, qui a impulsé la théorie et la politique queer en France. On y voit surgir au fil des pages la post-pornographie ainsi que des explorations politiques, théoriques et personnelles qui renouvellent le féminisme, les études de genre et la théorie du genre. S'y croisent Wittig et Foucault, Butler et Despentes, Deleuze-Guattari et Monika Treut, à l'ombre des subcultures et des subjectivités minoritaires, vivantes et dissidentes, proliférantes et militantes. Mêlant, dans un style flamboyant, recherche et critique, chronique et polémique, Sam Bourcier construit un féminisme pro-sexe et biopolitique qui est une réflexion plus large sur les relations entre pouvoir et savoirs, corps et disciplines. Ars erotica, ars theorica, ars politica : la trilogie est l'indispensable boîte à outils de celles et ceux qui veulent sortir des cadres hétéro- et homo-normatifs, du musée de la différence sexuelle et de la binarité - en un mot, vivre et penser comme des queers Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11095 SOC BOU Livre Bibliothèque de l'EeSI Sociologie Disponible The eyes, 11. Transgalactique / Dorothee Smith
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