Titre : | Jeanne Susplugas | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jackie-Ruth meyer, Auteur ; Julie Crenn, Auteur ; Mario Blaise, Auteur ; Eric Corbobesse, Auteur ; Julie Bawin, Auteur ; Nicole Büsing, Auteur ; Heiko Klaas, Auteur | Editeur : | Paris : Norma | Année de publication : | cop. 2016 | Importance : | 1 vol. (184 pages) | Présentation : | illustrations | Format : | 29 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-915542-78-3 | Prix : | 35 EUR | Langues : | Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Anglais (eng) | Résumé : | « L’aspirine, c’est le champagne du matin. »
Écrite avec des diodes électroluminescentes, cette installation-slogan est l’une des œuvres-phares de Jeanne Susplugas, artiste régulièrement exposée dans les musées d’art contemporain à travers le monde (Palais de Tokyo, Maison rouge à Paris, musée d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne, Kunst-Werke de Berlin, Biennale de Shanghai, Ulrich Museum of Art de Wichita, aux États-Unis, villa Médicis à Rome…).
Docteur en histoire de l’art, Jeanne Susplugas développe, dès le début des années 2000, un travail portant sur l’enfermement et l’addiction. Elle met en lumière, à travers une multitude de supports, les maux de notre société menant à l’aliénation et à l’enfermement.
Protéiforme – vidéos, installations, mais aussi performances, dessin, sculpture…–, son travail puise notamment sa substance dans la littérature contemporaine ou ancienne, de Lewis Carroll à Frédéric Beigbeder ou Michel Houellebecq, véritable réservoir dans lequel elle isole des phrases qu’elle transforme en œuvres.
Très remarquée, son œuvre a notamment reçu le prix Opline pour l’art contemporain (elle a été sélectionnée par l’artiste Orlan).
Dans cette première monographie largement illutrée, un long entretien de l’artiste avec Jackie Ruth-Meyer revient sur l’ensemble de son parcours ; Julie Crenn s’intéresse au rapport que l’artiste entretient avec la littérature et les mots, Julie Bawin sur l’idée de maison dans le travail de la plasticienne. Éric Corboresse et Mario Blaisse analysent l’idée de Pharmakon dans l’oeuvre de Jeanne Susplugas, tandis que Nicole Büsing et Heiko Klaas reviennent la vision que l’artiste donne du médicament. (note de l'éditeur) |
Jeanne Susplugas [texte imprimé] / Jackie-Ruth meyer, Auteur ; Julie Crenn, Auteur ; Mario Blaise, Auteur ; Eric Corbobesse, Auteur ; Julie Bawin, Auteur ; Nicole Büsing, Auteur ; Heiko Klaas, Auteur . - Paris : Norma, cop. 2016 . - 1 vol. (184 pages) : illustrations ; 29 cm. ISBN : 978-2-915542-78-3 : 35 EUR Langues : Français ( fre) Anglais ( eng) Langues originales : Français ( fre) Anglais ( eng) Résumé : | « L’aspirine, c’est le champagne du matin. »
Écrite avec des diodes électroluminescentes, cette installation-slogan est l’une des œuvres-phares de Jeanne Susplugas, artiste régulièrement exposée dans les musées d’art contemporain à travers le monde (Palais de Tokyo, Maison rouge à Paris, musée d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne, Kunst-Werke de Berlin, Biennale de Shanghai, Ulrich Museum of Art de Wichita, aux États-Unis, villa Médicis à Rome…).
Docteur en histoire de l’art, Jeanne Susplugas développe, dès le début des années 2000, un travail portant sur l’enfermement et l’addiction. Elle met en lumière, à travers une multitude de supports, les maux de notre société menant à l’aliénation et à l’enfermement.
Protéiforme – vidéos, installations, mais aussi performances, dessin, sculpture…–, son travail puise notamment sa substance dans la littérature contemporaine ou ancienne, de Lewis Carroll à Frédéric Beigbeder ou Michel Houellebecq, véritable réservoir dans lequel elle isole des phrases qu’elle transforme en œuvres.
Très remarquée, son œuvre a notamment reçu le prix Opline pour l’art contemporain (elle a été sélectionnée par l’artiste Orlan).
Dans cette première monographie largement illutrée, un long entretien de l’artiste avec Jackie Ruth-Meyer revient sur l’ensemble de son parcours ; Julie Crenn s’intéresse au rapport que l’artiste entretient avec la littérature et les mots, Julie Bawin sur l’idée de maison dans le travail de la plasticienne. Éric Corboresse et Mario Blaisse analysent l’idée de Pharmakon dans l’oeuvre de Jeanne Susplugas, tandis que Nicole Büsing et Heiko Klaas reviennent la vision que l’artiste donne du médicament. (note de l'éditeur) |
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