Titre : | Tony Conrad, Marie Losier : Dreaminimalist | Type de document : | document projeté ou vidéo | Auteurs : | Marie Losier, Auteur ; Tony Conrad, Auteur | Editeur : | Re:Voir Vidéo | Année de publication : | 2011 | Importance : | 1 DVD (56mn) | Présentation : | Noir et blanc et Couleur | Format : | DVD VIDEO | Accompagnement : | 1 brochure (24 p.) | ISBN/ISSN/EAN : | 3493551100881 | Prix : | 66.50 EUR | Langues : | Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Français (fre) | Index. décimale : | DVD | Résumé : | Regroupe "The Flicker" (1966, 30') de Tony Conrad et "Dreaminimalist" (2008, 26') de Marie Losier.
"The Flicker" balaie la réalité et nous transporte dans un autre environnement ; c'est une sorte d'instrument d'expérimentation de la perception. Le réalisateur le considère lui-même comme un genre de film de science-fiction, mais qui, au lieu de nous faire pénétrer dans des mondes méconnus ayant en fait tout à voir avec la terre et développant des structures narratives conventionnelles, nous propose de nous transporter dans une dimension totalement différente, abstraite, et structurée de manière radicalement étrangère à notre environnement. (...) Avec "The Flicker", Tony Conrad use du dispositif cinématographique pour développer des relations de fréquences harmoniques impossibles avec un stroboscope ordinaire. Il y avait, à la base de ce film, un intérêt musical, un intérêt visuel, et un intérêt psychologique" (Victor Gresard).
"Tony Conrad : Dreaminimalist" : "Marie Losier a déjà réalisé des portraits de Richard Foreman, Mike et George Kuchar, Guy Maddin et, aujourd'hui, Genesis P-Orridge et Lady Jaye. Dans son tout premier film, elle se glissait totalement dans le rôle de Jeanne d'Arc et fusionnait avec elle. Elle développe aujourd'hui une superposition du langage des cinéastes dont elle dresse le portrait avec son propre langage, caractérisé par une empathie sans compromis et une joie de la recherche. Marie Losier a su faire revivre l'histoire de l'underground pour ses spectateurs. S'inspirant de la Dream Machine de Brion Gysin, "DreamMinimalist" présente un artiste qui repousse sans cesse les frontières des mediums. Frontières qui apparaissent d'autant plus visibles dans des rêves à petit budget." (Stefanie Schulte Strathaus).
1 brochure (24 p.), textes de Victor Gresard. |
Tony Conrad, Marie Losier : Dreaminimalist [document projeté ou vidéo] / Marie Losier, Auteur ; Tony Conrad, Auteur . - [S.l.] : Re:Voir Vidéo, 2011 . - 1 DVD (56mn) : Noir et blanc et Couleur ; DVD VIDEO + 1 brochure (24 p.). ISSN : 3493551100881 : 66.50 EUR Langues : Anglais ( eng) Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Français ( fre) Index. décimale : | DVD | Résumé : | Regroupe "The Flicker" (1966, 30') de Tony Conrad et "Dreaminimalist" (2008, 26') de Marie Losier.
"The Flicker" balaie la réalité et nous transporte dans un autre environnement ; c'est une sorte d'instrument d'expérimentation de la perception. Le réalisateur le considère lui-même comme un genre de film de science-fiction, mais qui, au lieu de nous faire pénétrer dans des mondes méconnus ayant en fait tout à voir avec la terre et développant des structures narratives conventionnelles, nous propose de nous transporter dans une dimension totalement différente, abstraite, et structurée de manière radicalement étrangère à notre environnement. (...) Avec "The Flicker", Tony Conrad use du dispositif cinématographique pour développer des relations de fréquences harmoniques impossibles avec un stroboscope ordinaire. Il y avait, à la base de ce film, un intérêt musical, un intérêt visuel, et un intérêt psychologique" (Victor Gresard).
"Tony Conrad : Dreaminimalist" : "Marie Losier a déjà réalisé des portraits de Richard Foreman, Mike et George Kuchar, Guy Maddin et, aujourd'hui, Genesis P-Orridge et Lady Jaye. Dans son tout premier film, elle se glissait totalement dans le rôle de Jeanne d'Arc et fusionnait avec elle. Elle développe aujourd'hui une superposition du langage des cinéastes dont elle dresse le portrait avec son propre langage, caractérisé par une empathie sans compromis et une joie de la recherche. Marie Losier a su faire revivre l'histoire de l'underground pour ses spectateurs. S'inspirant de la Dream Machine de Brion Gysin, "DreamMinimalist" présente un artiste qui repousse sans cesse les frontières des mediums. Frontières qui apparaissent d'autant plus visibles dans des rêves à petit budget." (Stefanie Schulte Strathaus).
1 brochure (24 p.), textes de Victor Gresard. |
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