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Auteur Julie Bawin
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheL' artiste commissaire / Julie Bawin
Titre : L' artiste commissaire : entre posture critique, jeu créatif et valeur ajoutée Type de document : texte imprimé Auteurs : Julie Bawin, Auteur Editeur : Paris : Éd. des Archives contemporaines Année de publication : 2014 Importance : 1 vol. (293 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8130-0160-3 Prix : 29,50 EUR Note générale : Bibliogr. et webliogr. p. 265-275. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : En 1970, dans les réserves du Musée d’art de la Rhode Island School of Design à Providence, Andy Warhol prépare avec ses collaborateurs le troisième volet de l’exposition Raid the Icebox. Loin de son personnage de dandy aux cheveux platinés et au visage fardé, le pape du Pop art est montré dans un rôle que l’on connaît peu de lui et que pourtant bien des artistes après lui assumeront : celui de commissaire d’exposition.
Aujourd’hui, nous sommes habitués à ce que des plasticiens, des écrivains, des cinéastes, des stylistes, et même des joueurs de football, soient invités à mettre en scène des œuvres conservées dans un musée. Nous ne sommes pas davantage surpris de voir des artistes exposer leurs pairs, diriger des manifestations artistiques internationales, s’associer à des curateurs de profession ou, à l’inverse, être les commissaires de leurs propres expositions. L’artiste serait-il devenu un nouveau professionnel de l’art ou, comme l’aurait dit Marcel Broodthaers, un « administrateur culturel » ? À vrai dire, les choses sont plus complexes car cette figure de l’artiste commissaire, désormais si influente, reste profondément ancrée dans un système de valeurs et d’exigences qui, depuis la fin du XIXe siècle, oscille entre le compromis et la transgression, entre le souci d’être à la fois dans l’institution et hors d’elle.
La visée du présent ouvrage est précisément de montrer comment la figure de l’artiste commissaire s’est imposée au gré d’une histoire longue et complexe qui tient tant aux diverses stratégies déployées par les créateurs qu’aux transformations progressives du paysage institutionnel de l’art. Cette histoire était d’autant plus importante à écrire qu’elle ne révèle pas seulement une évolution du statut de l’artiste et du métier de commissaire, mais un phénomène plus large qui pose la question de l’exposition comme méta-œuvre et, plus encore, comme lieu et instrument de pouvoir.L' artiste commissaire : entre posture critique, jeu créatif et valeur ajoutée [texte imprimé] / Julie Bawin, Auteur . - Paris : Éd. des Archives contemporaines, 2014 . - 1 vol. (293 p.) : couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-8130-0160-3 : 29,50 EUR
Bibliogr. et webliogr. p. 265-275. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : En 1970, dans les réserves du Musée d’art de la Rhode Island School of Design à Providence, Andy Warhol prépare avec ses collaborateurs le troisième volet de l’exposition Raid the Icebox. Loin de son personnage de dandy aux cheveux platinés et au visage fardé, le pape du Pop art est montré dans un rôle que l’on connaît peu de lui et que pourtant bien des artistes après lui assumeront : celui de commissaire d’exposition.
Aujourd’hui, nous sommes habitués à ce que des plasticiens, des écrivains, des cinéastes, des stylistes, et même des joueurs de football, soient invités à mettre en scène des œuvres conservées dans un musée. Nous ne sommes pas davantage surpris de voir des artistes exposer leurs pairs, diriger des manifestations artistiques internationales, s’associer à des curateurs de profession ou, à l’inverse, être les commissaires de leurs propres expositions. L’artiste serait-il devenu un nouveau professionnel de l’art ou, comme l’aurait dit Marcel Broodthaers, un « administrateur culturel » ? À vrai dire, les choses sont plus complexes car cette figure de l’artiste commissaire, désormais si influente, reste profondément ancrée dans un système de valeurs et d’exigences qui, depuis la fin du XIXe siècle, oscille entre le compromis et la transgression, entre le souci d’être à la fois dans l’institution et hors d’elle.
La visée du présent ouvrage est précisément de montrer comment la figure de l’artiste commissaire s’est imposée au gré d’une histoire longue et complexe qui tient tant aux diverses stratégies déployées par les créateurs qu’aux transformations progressives du paysage institutionnel de l’art. Cette histoire était d’autant plus importante à écrire qu’elle ne révèle pas seulement une évolution du statut de l’artiste et du métier de commissaire, mais un phénomène plus large qui pose la question de l’exposition comme méta-œuvre et, plus encore, comme lieu et instrument de pouvoir.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 09576 HIST THE BAW Livre Bibliothèque de l'EeSI Histoire et Théorie de l'Art Disponible Jeanne Susplugas / Jackie-Ruth meyer
Titre : Jeanne Susplugas Type de document : texte imprimé Auteurs : Jackie-Ruth meyer, Auteur ; Julie Crenn, Auteur ; Mario Blaise, Auteur ; Eric Corbobesse, Auteur ; Julie Bawin, Auteur ; Nicole Büsing, Auteur ; Heiko Klaas, Auteur Editeur : Paris : Norma Année de publication : cop. 2016 Importance : 1 vol. (184 pages) Présentation : illustrations Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915542-78-3 Prix : 35 EUR Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Anglais (eng) Résumé : « L’aspirine, c’est le champagne du matin. »
Écrite avec des diodes électroluminescentes, cette installation-slogan est l’une des œuvres-phares de Jeanne Susplugas, artiste régulièrement exposée dans les musées d’art contemporain à travers le monde (Palais de Tokyo, Maison rouge à Paris, musée d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne, Kunst-Werke de Berlin, Biennale de Shanghai, Ulrich Museum of Art de Wichita, aux États-Unis, villa Médicis à Rome…).
Docteur en histoire de l’art, Jeanne Susplugas développe, dès le début des années 2000, un travail portant sur l’enfermement et l’addiction. Elle met en lumière, à travers une multitude de supports, les maux de notre société menant à l’aliénation et à l’enfermement.
Protéiforme – vidéos, installations, mais aussi performances, dessin, sculpture…–, son travail puise notamment sa substance dans la littérature contemporaine ou ancienne, de Lewis Carroll à Frédéric Beigbeder ou Michel Houellebecq, véritable réservoir dans lequel elle isole des phrases qu’elle transforme en œuvres.
Très remarquée, son œuvre a notamment reçu le prix Opline pour l’art contemporain (elle a été sélectionnée par l’artiste Orlan).
Dans cette première monographie largement illutrée, un long entretien de l’artiste avec Jackie Ruth-Meyer revient sur l’ensemble de son parcours ; Julie Crenn s’intéresse au rapport que l’artiste entretient avec la littérature et les mots, Julie Bawin sur l’idée de maison dans le travail de la plasticienne. Éric Corboresse et Mario Blaisse analysent l’idée de Pharmakon dans l’oeuvre de Jeanne Susplugas, tandis que Nicole Büsing et Heiko Klaas reviennent la vision que l’artiste donne du médicament. (note de l'éditeur)Jeanne Susplugas [texte imprimé] / Jackie-Ruth meyer, Auteur ; Julie Crenn, Auteur ; Mario Blaise, Auteur ; Eric Corbobesse, Auteur ; Julie Bawin, Auteur ; Nicole Büsing, Auteur ; Heiko Klaas, Auteur . - Paris : Norma, cop. 2016 . - 1 vol. (184 pages) : illustrations ; 29 cm.
ISBN : 978-2-915542-78-3 : 35 EUR
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Français (fre) Anglais (eng)
Résumé : « L’aspirine, c’est le champagne du matin. »
Écrite avec des diodes électroluminescentes, cette installation-slogan est l’une des œuvres-phares de Jeanne Susplugas, artiste régulièrement exposée dans les musées d’art contemporain à travers le monde (Palais de Tokyo, Maison rouge à Paris, musée d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne, Kunst-Werke de Berlin, Biennale de Shanghai, Ulrich Museum of Art de Wichita, aux États-Unis, villa Médicis à Rome…).
Docteur en histoire de l’art, Jeanne Susplugas développe, dès le début des années 2000, un travail portant sur l’enfermement et l’addiction. Elle met en lumière, à travers une multitude de supports, les maux de notre société menant à l’aliénation et à l’enfermement.
Protéiforme – vidéos, installations, mais aussi performances, dessin, sculpture…–, son travail puise notamment sa substance dans la littérature contemporaine ou ancienne, de Lewis Carroll à Frédéric Beigbeder ou Michel Houellebecq, véritable réservoir dans lequel elle isole des phrases qu’elle transforme en œuvres.
Très remarquée, son œuvre a notamment reçu le prix Opline pour l’art contemporain (elle a été sélectionnée par l’artiste Orlan).
Dans cette première monographie largement illutrée, un long entretien de l’artiste avec Jackie Ruth-Meyer revient sur l’ensemble de son parcours ; Julie Crenn s’intéresse au rapport que l’artiste entretient avec la littérature et les mots, Julie Bawin sur l’idée de maison dans le travail de la plasticienne. Éric Corboresse et Mario Blaisse analysent l’idée de Pharmakon dans l’oeuvre de Jeanne Susplugas, tandis que Nicole Büsing et Heiko Klaas reviennent la vision que l’artiste donne du médicament. (note de l'éditeur)Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10205 MON SUS Livre Bibliothèque de l'EeSI Monographie Disponible