Titre : | Que faire avec les ruines ? : poétique et politique des vestiges | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Chantal Liaroutzos, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Centre d'étude et de recherche interdisciplinaire de l'UFR LAC, Editeur scientifique ; Pôle de recherches Sciences de la ville, Editeur scientifique | Editeur : | Rennes : Presses universitaires de Rennes | Année de publication : | 2015 | Collection : | Interférences (Rennes), ISSN 0154-5604 | Importance : | 1 vol. (290 p.-[10] p. de pl.) | Présentation : | ill. en coul. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7535-4027-9 | Prix : | 18 EUR | Note générale : | Textes issus d'un colloque organisé par le Centre CERILAC, Centre d'étude et de recherche interdisciplinaire de l'UFR LAC et le Pôle Sciences de la Ville, Paris, Université Paris-Diderot, 6-8 décembre 2012
Bibliogr. p. 267-278. Index | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | ruine vestige monument | Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | Résumé : | Il est communément admis, au moins, dit-on, depuis la Renaissance, que les ruines puissent poser une question de poétique. Mais encore faut-il que ces ruines en question aient une présence matérielle. Truisme ? En quelque lieu qu'elles soient situées - urbain, rural ou désertique - s'il y a des ruines, c'est qu'on les a laissées, voire parfois installées, là où elles sont. Cela même est à interroger : à quelle négligence, à quel oubli ou à quelles intentions répond l’existence de ces objets qui, en tout état de cause, en appellent à la mémoire ? Et quel rôle ont joué les artistes et les écrivains dans le sort qui leur est ainsi fait ? L'idée qu'on puisse ériger la ruine en monument, peut-être caractéristique de l’époque moderne, répond à des injonctions implicites ou explicites et sans doute diverses, multiples, contradictoires.
Quelle image une société entend-elle donner d'elle- même par l’ostentation, la destruction ou l’abandon des vestiges, qu'ils soient les siens ou ceux de sociétés perçues comme autres ? Tenter de répondre à cette interrogation, ou du moins d'en poser les termes, suppose de ne pas se limiter au champ littéraire, mais de croiser les approches et les démarches. Les Beaux-Arts, l’urbanisme et l'architecture, l’archéologie, ainsi, bien sûr, que la littérature, trouvent dans ces rencontres l’occasion d'échanges privilégiés. |
Que faire avec les ruines ? : poétique et politique des vestiges [texte imprimé] / Chantal Liaroutzos, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Centre d'étude et de recherche interdisciplinaire de l'UFR LAC, Editeur scientifique ; Pôle de recherches Sciences de la ville, Editeur scientifique . - Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2015 . - 1 vol. (290 p.-[10] p. de pl.) : ill. en coul. ; 21 cm. - ( Interférences (Rennes), ISSN 0154-5604) . ISBN : 978-2-7535-4027-9 : 18 EUR Textes issus d'un colloque organisé par le Centre CERILAC, Centre d'étude et de recherche interdisciplinaire de l'UFR LAC et le Pôle Sciences de la Ville, Paris, Université Paris-Diderot, 6-8 décembre 2012
Bibliogr. p. 267-278. Index Langues : Français ( fre) Mots-clés : | ruine vestige monument | Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | Résumé : | Il est communément admis, au moins, dit-on, depuis la Renaissance, que les ruines puissent poser une question de poétique. Mais encore faut-il que ces ruines en question aient une présence matérielle. Truisme ? En quelque lieu qu'elles soient situées - urbain, rural ou désertique - s'il y a des ruines, c'est qu'on les a laissées, voire parfois installées, là où elles sont. Cela même est à interroger : à quelle négligence, à quel oubli ou à quelles intentions répond l’existence de ces objets qui, en tout état de cause, en appellent à la mémoire ? Et quel rôle ont joué les artistes et les écrivains dans le sort qui leur est ainsi fait ? L'idée qu'on puisse ériger la ruine en monument, peut-être caractéristique de l’époque moderne, répond à des injonctions implicites ou explicites et sans doute diverses, multiples, contradictoires.
Quelle image une société entend-elle donner d'elle- même par l’ostentation, la destruction ou l’abandon des vestiges, qu'ils soient les siens ou ceux de sociétés perçues comme autres ? Tenter de répondre à cette interrogation, ou du moins d'en poser les termes, suppose de ne pas se limiter au champ littéraire, mais de croiser les approches et les démarches. Les Beaux-Arts, l’urbanisme et l'architecture, l’archéologie, ainsi, bien sûr, que la littérature, trouvent dans ces rencontres l’occasion d'échanges privilégiés. |
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