Titre : | Le portrait du diable | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Daniel Arasse, Auteur ; Thomas Golsenne (1975-....), Préfacier, etc. | Editeur : | [Paris] : les Éd. Arkhê | Année de publication : | impr. 2009 | Collection : | }Figurer{, ISSN 2106-4555 | Importance : | 1 vol. (123 p.-XXXII p. de pl.) | Présentation : | ill. en noir et en coul., couv. ill. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-918682-01-1 | Prix : | 14,90 EUR | Note générale : | Bibliogr. p. 119-122. Notes bibliogr. | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | Résumé : | Un cardinal qui n'aimait pas le Jugement Dernier de Michel-Ange fut bien puni par le peintre, qui fit son portrait en Lucifer.
L'anecdote est savoureuse et instructive, mais elle ne montre pas seulement l'indépendance d'esprit du plus grand artiste de la Renaissance. Pour Daniel Arasse, elle est révélatrice d'une évolution culturelle majeure : la disparition de la figure du Diable dans la peinture. Grâce à un examen précis et inventif des textes religieux et des images de la fin du Moyen Age et de la Renaissance, il décrit ici l'émergence de l'image du Diable, son utilisation et son essor, dans le cadre de pratiques dévotionnelles où les images se doivent d'être efficaces.
Puis il montre comment la culture humaniste a rendu caduque cette figure médiévale, et l'a reléguée au rang de superstition. Désormais, le Diable n'est plus l'Autre de l'homme, le Diable est en l'homme. |
Le portrait du diable [texte imprimé] / Daniel Arasse, Auteur ; Thomas Golsenne (1975-....), Préfacier, etc. . - [Paris] : les Éd. Arkhê, impr. 2009 . - 1 vol. (123 p.-XXXII p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 21 cm. - ( }Figurer{, ISSN 2106-4555) . ISBN : 978-2-918682-01-1 : 14,90 EUR Bibliogr. p. 119-122. Notes bibliogr. Langues : Français ( fre) Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | Résumé : | Un cardinal qui n'aimait pas le Jugement Dernier de Michel-Ange fut bien puni par le peintre, qui fit son portrait en Lucifer.
L'anecdote est savoureuse et instructive, mais elle ne montre pas seulement l'indépendance d'esprit du plus grand artiste de la Renaissance. Pour Daniel Arasse, elle est révélatrice d'une évolution culturelle majeure : la disparition de la figure du Diable dans la peinture. Grâce à un examen précis et inventif des textes religieux et des images de la fin du Moyen Age et de la Renaissance, il décrit ici l'émergence de l'image du Diable, son utilisation et son essor, dans le cadre de pratiques dévotionnelles où les images se doivent d'être efficaces.
Puis il montre comment la culture humaniste a rendu caduque cette figure médiévale, et l'a reléguée au rang de superstition. Désormais, le Diable n'est plus l'Autre de l'homme, le Diable est en l'homme. |
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