Titre : | Jean Rustin | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean Clair, Auteur ; Henri Cueco, Auteur ; Ludovic Degroote (1958-....), Auteur | Editeur : | [Besançon] : Editions Virgile | Année de publication : | DL 2011 | Collection : | Carnet d'ateliers | Importance : | 1 vol. (79 p.) | Présentation : | ill. en noir et coul. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-914481-89-2 | Prix : | 15 EUR | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | Résumé : | Les corps d'hommes ou de femmes nus ne se rencontrent pratiquement jamais dans la vie habituelle — sauf en quelques situations remarquables liées à l'amour, à la maladie, à la solitude, à la folie, à la mort, et cette énumération suffit à donner toute sa force au concept du corps nu. L'image que chacun de nous a du corps nu — le sien ou celui de l'autre — est une image ultime, variable, malléable, une création de l'esprit et du désir, un concept presque abstrait (tellement il est chargé d'affectivité) propre à chacun de nous.
Bien sûr chacun choisit — ou ne choisit pas — l'image qu'il souhaite donner de lui-même et du monde. Pour moi, le corps mis en scène, théâtralisé par l'espace vide et clos du tableau, est l'image qui me permet d'exprimer avec violence et de la façon la plus directe les sentiments et les désirs conscients et inconscients qui m'habitent et que je ne saurais traduire autrement que par ces images.
Images que je laisse à d'autres le soin d'interpréter entre l'érotisme, l'obscène, la pornographie, mais aussi la tendresse, la pitié et le sacré. |
Jean Rustin [texte imprimé] / Jean Clair, Auteur ; Henri Cueco, Auteur ; Ludovic Degroote (1958-....), Auteur . - [Besançon] : Editions Virgile, DL 2011 . - 1 vol. (79 p.) : ill. en noir et coul. ; 21 cm. - ( Carnet d'ateliers) . ISBN : 978-2-914481-89-2 : 15 EUR Langues : Français ( fre) Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | Résumé : | Les corps d'hommes ou de femmes nus ne se rencontrent pratiquement jamais dans la vie habituelle — sauf en quelques situations remarquables liées à l'amour, à la maladie, à la solitude, à la folie, à la mort, et cette énumération suffit à donner toute sa force au concept du corps nu. L'image que chacun de nous a du corps nu — le sien ou celui de l'autre — est une image ultime, variable, malléable, une création de l'esprit et du désir, un concept presque abstrait (tellement il est chargé d'affectivité) propre à chacun de nous.
Bien sûr chacun choisit — ou ne choisit pas — l'image qu'il souhaite donner de lui-même et du monde. Pour moi, le corps mis en scène, théâtralisé par l'espace vide et clos du tableau, est l'image qui me permet d'exprimer avec violence et de la façon la plus directe les sentiments et les désirs conscients et inconscients qui m'habitent et que je ne saurais traduire autrement que par ces images.
Images que je laisse à d'autres le soin d'interpréter entre l'érotisme, l'obscène, la pornographie, mais aussi la tendresse, la pitié et le sacré. |
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