| Titre : | Étant donnés, 1° l'art, 2° le crime : la modernité comme scène du crime | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Jean-Michel Rabaté (1949-....), Auteur | | Editeur : | Dijon : Les presses du réel | | Année de publication : | DL 2010 | | Collection : | L' Espace littéraire (Dijon), ISSN 1768-8078 | | Importance : | 1 vol. (313 p.) | | Présentation : | couv. ill. | | Format : | 21 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84066-373-7 | | Prix : | 10 EUR | | Note générale : | Recueil de textes issus de diverses revues et publications, 1996-2004
Notes bibliogr. Index | | Langues : | Français (fre) | | Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | | Résumé : | WANTED! On recherche Duchamp, Man Ray, Breton, Dalí… Et si le fait divers criminel était notre version actuelle du ready-made ? Ceci impliquerait de mieux cerner ce qui relie l'avant-garde à l'esthétique du crime. Ainsi Ellroy et Duchamp portent un semblable regard sur le meurtre – ils participent d'une « esthétique » qui remonte à De Quincey et à Kant, à Poe et à Wilde : l'esthétisme pervers comme modernisme qui n'en finit pas de mourir. Cette tradition anarcho-moderniste inclurait aussi l'actionnisme viennois, le peintre Walter Sickert pris pour Jack l'éventreur, de nouvelles pistes sur la mort suspecte du Bergotte de Proust, et même le Da Vinci Code. Si code il y a, Walter Benjamin en fournit la clef en opposant « aura » et « traces ». Quand l'enquête policière sur Léonard de Vinci déloge l'aura-fétiche, le lointain devient proche, le fin limier qui fait parler les toiles remplace le spectateur mystifié par l'Art. Comme le disait Freud, il ne faut avoir peur ni du crime ni du cadavre si l'on veut se donner les moyens d'interpréter jusqu'au bout. | | Note de contenu : | Le fait divers criminel comme version actuelle du ready-made : un pont entre l'histoire de l'avant-garde et l'esthétique du meurtre. |
Étant donnés, 1° l'art, 2° le crime : la modernité comme scène du crime [texte imprimé] / Jean-Michel Rabaté (1949-....), Auteur . - Dijon : Les presses du réel, DL 2010 . - 1 vol. (313 p.) : couv. ill. ; 21 cm. - ( L' Espace littéraire (Dijon), ISSN 1768-8078) . ISBN : 978-2-84066-373-7 : 10 EUR Recueil de textes issus de diverses revues et publications, 1996-2004
Notes bibliogr. Index Langues : Français ( fre) | Index. décimale : | HIST THE Histoire et théorie de l'art | | Résumé : | WANTED! On recherche Duchamp, Man Ray, Breton, Dalí… Et si le fait divers criminel était notre version actuelle du ready-made ? Ceci impliquerait de mieux cerner ce qui relie l'avant-garde à l'esthétique du crime. Ainsi Ellroy et Duchamp portent un semblable regard sur le meurtre – ils participent d'une « esthétique » qui remonte à De Quincey et à Kant, à Poe et à Wilde : l'esthétisme pervers comme modernisme qui n'en finit pas de mourir. Cette tradition anarcho-moderniste inclurait aussi l'actionnisme viennois, le peintre Walter Sickert pris pour Jack l'éventreur, de nouvelles pistes sur la mort suspecte du Bergotte de Proust, et même le Da Vinci Code. Si code il y a, Walter Benjamin en fournit la clef en opposant « aura » et « traces ». Quand l'enquête policière sur Léonard de Vinci déloge l'aura-fétiche, le lointain devient proche, le fin limier qui fait parler les toiles remplace le spectateur mystifié par l'Art. Comme le disait Freud, il ne faut avoir peur ni du crime ni du cadavre si l'on veut se donner les moyens d'interpréter jusqu'au bout. | | Note de contenu : | Le fait divers criminel comme version actuelle du ready-made : un pont entre l'histoire de l'avant-garde et l'esthétique du meurtre. |
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