Titre : | La mort viendra, petite | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jim Thompson (1906-1977), Auteur ; Luc Chomarat, Traducteur | Editeur : | Paris : Rivages | Année de publication : | 1988 | Importance : | 214 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-86930-155-3 | Prix : | 39 F | Langues : | Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Index. décimale : | LITT Littérature | Résumé : | Kid Collins est un brave type, aucun doute là-dessus.
S'il vous tue, c'est que vous l'avez bien cherché. Evidemment, il n'aurait peut-être pas dû quitter l'asile d'aliénés sans autorisation... surtout si c'est pour tomber sur une veuve alcoolique qui hait le monde entier. " La mort viendra, petite, publié en 1956, est un des chefs-d'œuvre de Jim Thompson. Le scénario est l'histoire banale d'un enlèvement mené par un trio très thompsonien [...] : au lieu du criminel honnête, nous avons affaire au fou honnête.
Il finira par se sacrifier, dans un épisode amer qui culmine dans une de ces écrasantes phrases finales dont Thompson avait le secret. " (Geoffrey O'Brien - Polar n° 27). |
La mort viendra, petite [texte imprimé] / Jim Thompson (1906-1977), Auteur ; Luc Chomarat, Traducteur . - Paris : Rivages, 1988 . - 214 p. : couv. ill. en coul. ; 17 cm. ISBN : 2-86930-155-3 : 39 F Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Index. décimale : | LITT Littérature | Résumé : | Kid Collins est un brave type, aucun doute là-dessus.
S'il vous tue, c'est que vous l'avez bien cherché. Evidemment, il n'aurait peut-être pas dû quitter l'asile d'aliénés sans autorisation... surtout si c'est pour tomber sur une veuve alcoolique qui hait le monde entier. " La mort viendra, petite, publié en 1956, est un des chefs-d'œuvre de Jim Thompson. Le scénario est l'histoire banale d'un enlèvement mené par un trio très thompsonien [...] : au lieu du criminel honnête, nous avons affaire au fou honnête.
Il finira par se sacrifier, dans un épisode amer qui culmine dans une de ces écrasantes phrases finales dont Thompson avait le secret. " (Geoffrey O'Brien - Polar n° 27). |
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