Titre : | I proprietari : Bazile_Manzoni | Titre original : | die Besitzer_les propriétaires_the owners | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Institut d'art contemporain, Auteur ; Zentrum für Kunst und Medientechnologie, Auteur | Editeur : | Villeurbanne : Institut d'art contemporain | Année de publication : | 2004 | Importance : | 143 p. | Présentation : | nombreuses ill. en coul., couv. ill. en coul. | Format : | 28 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-905985-66-6 | Prix : | 30 EUR | Note générale : | Textes en français, anglais, italien, allemand et trad. en français et en anglais en fin de vol.
Publ. à l'occasion des expositions "Bernard Bazile : une mesure pour tous", Institut d'art contemporain, Villeurbanne, 29 janvier-18 avril 2004 et "Bazile : ein Mass für alle : Videokumente einer Nachforschung", Centre d'art et de technologie des médias, Carlsruhe, 13 mai-8 août 2004 | Langues : | Anglais (eng) Français (fre) Allemand (ger) Italien (ita) | Mots-clés : | livre d'artiste merda d'artista | Index. décimale : | MON Monographie | Résumé : | Livre d’artiste publié à l’occasion de l’exposition « Une mesure pour tous » (IAC – Institut d’Art Contemporain/FRAC Rhône-alpes, Villeurbanne, 28 janvier- 18 avril 2004), il est constitué de portraits photographiques de collectionneurs institutionnels ou privés avec en regard des extraits de leurs entretiens publiés dans la langue de l’entretien. Une traduction en français et en anglais est proposée en fin de volume.
Le propos de l’exposition dont est issu le livre
Bernard Bazile est un artiste français inclassable. Il s’intéresse depuis plusieurs années à un des symboles de l’avant-garde radicale et à sa trajectoire dans l’histoire et le milieu de l’art depuis sa création : les fameuses boîtes Merda d’artista de l’artiste italien Piero Manzoni. Bazile considère en effet que cette œuvre a depuis 1961, date de sa création, bouleversé et modifié tous les critères de valeur en vigueur dans l’art contemporain. Cette nouvelle œuvre de Bernard Bazile, observation analytique à la fois ludique et provocante, est fondée sur des ensembles de documents-entretiens où les propriétaires s’expriment directement sur l’exemplaire de l’œuvre qu’ils possèdent.Cette nouvelle exposition personnelle de grande ampleur, après celle, très remarquée, organisée par le Centre Georges Pompidou en 1993 (It’s OK to say no !), traduit toute la vitalité de la réflexion de l’artiste sur la société et ses signes. Elle est issue d’une commande passée par l’IAC pour la production d’une exposition destinée à devenir ensuite une œuvre de la collection IAC FRAC Rhône-Alpes. Depuis près de trois ans, Bernard Bazile travaille à la réalisation d’une série de films-documents. Il s’agit d’une véritable plongée dans l’univers du collectionnisme à travers des rencontres et des entretiens avec les propriétaires actuels de Merda d’artista, véritable icône de l’avant-garde radicale produite à l’origine en 90 exemplaires. Bernard Bazile a mené plus de soixante entretiens, invitant les propriétaires privés et publics à parler de leur œuvre dans l’environnement de leurs collections, et il les a tous filmés tenant la pièce à conviction en main. Tous ces reportages-documents constituent, pour une durée totale d’environ 11 heures, une fascinante étude de cas de l’histoire de la production et de la réception de cette œuvre tellement singulière qu’est Merda d’artista, mais aussi un questionnement, plutôt rare, sur les différences entre les valeurs artistiques et les valeurs économiques.L’installation se compose de 16 projections de portraits individuels et de plusieurs projections annexes de documents faisant référence au contexte de la création ou de possession de l’œuvre. Bernard Bazile y examine, sous tous ses aspects, la question de l’importance de cet « objet », à la fois anodin et provocateur, pour la perception et l’évaluation de tout acte créatif depuis son avènement mouvementé. La parole diversifiée des collectionneurs représente en quelque sorte un bilan du rapport de la société avec ses artistes radicaux et, au-delà, avec l’avant-garde, et avec l’histoire des transgressions de tabous, d’interdits et de normes mis en actes par l’art.Une production de l’IAC – Institut d’art contemporain / Collection Frac Rhône-Alpes.Après Villeurbanne, l’exposition sera montrée au ZKM – Zentrum für Kunst und Medientechnologie de Karlsruhe (D) à l’été 2004.Les films ont été réalisés grâce au soutien et à la collaboration de :YN Productions, Lyon ; Les Poissons Volants, Paris ; Hugues Peyret ; Archivio Opera Piero Manzoni, Milan ; et de tous les collectionneurs et personnes interviewées. |
I proprietari = die Besitzer_les propriétaires_the owners : Bazile_Manzoni [texte imprimé] / Institut d'art contemporain, Auteur ; Zentrum für Kunst und Medientechnologie, Auteur . - Villeurbanne : Institut d'art contemporain, 2004 . - 143 p. : nombreuses ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 28 cm. ISBN : 2-905985-66-6 : 30 EUR Textes en français, anglais, italien, allemand et trad. en français et en anglais en fin de vol.
Publ. à l'occasion des expositions "Bernard Bazile : une mesure pour tous", Institut d'art contemporain, Villeurbanne, 29 janvier-18 avril 2004 et "Bazile : ein Mass für alle : Videokumente einer Nachforschung", Centre d'art et de technologie des médias, Carlsruhe, 13 mai-8 août 2004 Langues : Anglais ( eng) Français ( fre) Allemand ( ger) Italien ( ita) Mots-clés : | livre d'artiste merda d'artista | Index. décimale : | MON Monographie | Résumé : | Livre d’artiste publié à l’occasion de l’exposition « Une mesure pour tous » (IAC – Institut d’Art Contemporain/FRAC Rhône-alpes, Villeurbanne, 28 janvier- 18 avril 2004), il est constitué de portraits photographiques de collectionneurs institutionnels ou privés avec en regard des extraits de leurs entretiens publiés dans la langue de l’entretien. Une traduction en français et en anglais est proposée en fin de volume.
Le propos de l’exposition dont est issu le livre
Bernard Bazile est un artiste français inclassable. Il s’intéresse depuis plusieurs années à un des symboles de l’avant-garde radicale et à sa trajectoire dans l’histoire et le milieu de l’art depuis sa création : les fameuses boîtes Merda d’artista de l’artiste italien Piero Manzoni. Bazile considère en effet que cette œuvre a depuis 1961, date de sa création, bouleversé et modifié tous les critères de valeur en vigueur dans l’art contemporain. Cette nouvelle œuvre de Bernard Bazile, observation analytique à la fois ludique et provocante, est fondée sur des ensembles de documents-entretiens où les propriétaires s’expriment directement sur l’exemplaire de l’œuvre qu’ils possèdent.Cette nouvelle exposition personnelle de grande ampleur, après celle, très remarquée, organisée par le Centre Georges Pompidou en 1993 (It’s OK to say no !), traduit toute la vitalité de la réflexion de l’artiste sur la société et ses signes. Elle est issue d’une commande passée par l’IAC pour la production d’une exposition destinée à devenir ensuite une œuvre de la collection IAC FRAC Rhône-Alpes. Depuis près de trois ans, Bernard Bazile travaille à la réalisation d’une série de films-documents. Il s’agit d’une véritable plongée dans l’univers du collectionnisme à travers des rencontres et des entretiens avec les propriétaires actuels de Merda d’artista, véritable icône de l’avant-garde radicale produite à l’origine en 90 exemplaires. Bernard Bazile a mené plus de soixante entretiens, invitant les propriétaires privés et publics à parler de leur œuvre dans l’environnement de leurs collections, et il les a tous filmés tenant la pièce à conviction en main. Tous ces reportages-documents constituent, pour une durée totale d’environ 11 heures, une fascinante étude de cas de l’histoire de la production et de la réception de cette œuvre tellement singulière qu’est Merda d’artista, mais aussi un questionnement, plutôt rare, sur les différences entre les valeurs artistiques et les valeurs économiques.L’installation se compose de 16 projections de portraits individuels et de plusieurs projections annexes de documents faisant référence au contexte de la création ou de possession de l’œuvre. Bernard Bazile y examine, sous tous ses aspects, la question de l’importance de cet « objet », à la fois anodin et provocateur, pour la perception et l’évaluation de tout acte créatif depuis son avènement mouvementé. La parole diversifiée des collectionneurs représente en quelque sorte un bilan du rapport de la société avec ses artistes radicaux et, au-delà, avec l’avant-garde, et avec l’histoire des transgressions de tabous, d’interdits et de normes mis en actes par l’art.Une production de l’IAC – Institut d’art contemporain / Collection Frac Rhône-Alpes.Après Villeurbanne, l’exposition sera montrée au ZKM – Zentrum für Kunst und Medientechnologie de Karlsruhe (D) à l’été 2004.Les films ont été réalisés grâce au soutien et à la collaboration de :YN Productions, Lyon ; Les Poissons Volants, Paris ; Hugues Peyret ; Archivio Opera Piero Manzoni, Milan ; et de tous les collectionneurs et personnes interviewées. |
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